BGFI BANK IS THE TRUE ECONOMY AND FINANCE MINISTRY OF GABON! LA BGFI BANK EST EN FAIT LE VRAI MINISTÈRE DE L’ÉCONOMIE ET DES FINANCES DU GABON!
English
version
An Africa
Intelligence article tells us how the BGFI Bank dominates, dictates and totally
colonizes the attributions of the Gabonese Ministry of Economy and Finance.
Indeed, it
is the BGFI which heads the "domestic debt" task force set up by
Noureddin Bongo-Valentin. In a normal country, it would be the technicians of
the Gabonese Ministry of the Economy who would do this kind of work; but in
Gabon, it is the BGFI agents who order the Gabonese state which claims of the
state should be paid, and which should be classified as fraudulent.
It should
be remembered that this banking group, led by Henri-Claude Oyima, a member of
the Bongo-Odimba family, has been the initiator of an economic interest group
called "Club de Libreville" since 2018; which had already carried out
a repayment operation of Gabonese domestic debt amounting to CFA Franc 310
billion. You will understand that it is the BGFI that determines what the
Ministry of the Economy should do.
Noureddin
Bongo-Valentin's task force has 21 members, including Pierre Duro, one of
Henri-Claude Oyima's advisers. The Gabonese director of taxes Gabin Otha
Ndoumba, who has a representative in this task force, is none other than the
son of Patrice Otha, the president of BGFIBank.
Even more
worrying, Africa Intelligence tells us that certain companies to which the
Gabonese state owes debts, have been asked to return 0.5% of the amount owed to
them to BGFI, officially for operating costs. This, dear readers, is simply
racketeering!
Dear
readers, you would have understood that the strong involvement of the BGFI Bank
in the Gabonese senior financial civil service, makes regulators and
decision-makers of the public sector, completely in the tank for this bank.
Version française
Un article d’Africa Intelligence nous démontre comment la BGFI bank domine,
dicte et colonise totalement les attributions du ministère Gabonais de
l’économie et des finances.
En effet, c’est la BGFI qui dirige la task force "dette intérieur"
mise en place par Noureddin Bongo-Valentin. Dans un pays normal, ce seraient
les techniciens du ministère gabonais de l’économie qui feraient ce genre de
travail ; mais au Gabon, ce sont les agents de la BGFI qui ordonnent a l’Etat
Gabonais, quelle créances de l'Etat doit être payée, et quelle autre devrait être
classifiée comme frauduleuse.
Il faut se souvenir que ce groupe bancaire, dirigé par Henri-Claude Oyima, membre
de la famille Bongo-Odimba, est depuis 2018, l’initiateur d'un groupe d'intérêt
économique baptisé « Club de Libreville » ; qui avait déjà mené
une opération de remboursement de la dette intérieure gabonaise d'un montant de
310 milliards de francs CFA. Vous comprendrez que c’est la BGFI qui détermine
ce que doit faire de ministère de l’Economie.
La task force de Noureddin Bongo-Valentin compte 21 membres, dont Pierre
Duro, l'un des conseillers de Henri-Claude Oyima. Le directeur Gabonais des
impôts Gabin Otha Ndoumba, qui dispose d'un représentant au sein de cette task
force, n’est autre que le fils de Patrice Otha, le président de BGFIBank.
Plus inquiétant encore, Africa Intelligence nous dit certaines entreprises à
qui l’Etat gabonais devrait des créances, se sont vues demandées de reverser
0,5 % du montant de leur créance à la BGFI, officiellement pour frais de
fonctionnement. Cela chers lecteurs, est tout simplement du racket !
Chers lecteurs, vous aurez compris que la forte intrication de la BGFI Bank
dans la haute fonction publique financière gabonaise, rend régulateurs et
décideurs du secteurs public, complètement à la solde de cette banque.
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