THE DICTATORSHIP DOES NOT LIKE SOCIAL MEDIA! LA DICTATURE N’AIME PAS LES RÉSEAUX SOCIAUX!
Like any self-respected dictatorship, the
bongo regime does not tolerate any mode of communication that could challenges their
rule. The fact that a dictatorship wants to interfere with the information and communication
the people have access to, is not surprising, nor is it a new subject. In fact,
the importance for autocrats to control the flow of public and private
information is well established.
In the digital age however, it has become a
greater challenge for regimes like that of the Bongos, to limit and control
what the Gabonese people read and watch. Technological progress has vastly
expanded the complexity, reach, and bandwidth of communications; preventing the
Bongo’s regime from shaping the information that the Gabonese people receive.
To solve this problem, the Bongo’s regime
would like to use the law, to curtail social media and the free expression of
the Gabonese people. This will be a new form of draconian censorship.
We must fight them tooth and nails.
We will not give up!
Version française
Comme toute dictature qui
se respecte, le régime bongo ne tolère aucun mode de communication qui pourrait
remettre en cause son pouvoir. Le fait qu’une dictature veuille interférer avec
l’information et la communication auxquelles les gens ont accès, n’est pas
surprenant et n’est pas non plus un nouveau sujet. En fait, l'importance pour
les autocrates de contrôler le flux d'informations publiques et privées est
bien établie.
À l'ère du numérique
cependant, il est devenu plus difficile pour des régimes comme celui des
Bongos, de limiter et de contrôler ce que les Gabonais lisent et regardent. Les
progrès technologiques ont considérablement élargi la complexité, la portée et le
volume des communications ; empêchant ainsi le régime Bongo de façonner les
informations que reçoit le peuple gabonais.
Pour résoudre ce
problème, le régime Bongo voudrait utiliser la législation, pour restreindre
les réseaux sociaux et la libre expression du peuple gabonais. Ce serait une
nouvelle forme de censure draconienne.
Nous devons les combattre
bec et ongles.
On ne lâche rien!
Comments
Post a Comment