OSSOUKA-RAPONDA WOULD LIKE TO CONTROL GABONESE CONVERSATIONS! OSSOUKA-RAPONDA VOUDRAIT CONTRÔLER LES CONVERSATIONS DES GABONAIS !
English
version
Dictatorships
prefer to remain unaccountable to anyone. They wish for the people to remain
uninformed. As such, social media are a huge challenge to dictatorships. The
answer for authoritarian regime is simple: censorship!
Dictatorships
dislike anything that potentially challenges the narrative they want people to embrace.
Social
media allow the Gabonese people to have uncensored conversations, without
government’s interference. This is what Ossouka-Raponda would like to control.
She wants to prevent the digital freedom of the Gabonese people.
To
survive, an authoritarian regime must control information through its official
press. For such regimes, it is necessary to:
1. Limit
free expression
2.
Discredit the opposition
3. Filter
the information.
Consequently,
any manifestation of independence in terms of communication will be judged to
be subversive. The best means of communication today is social media, because
the users themselves are the regulators of these networks. A user will readjust
their social network according to its relevance and credibility. The user is no
longer a passive consumer of information, but an active actor. This is what the
regime is not afraid of.
We will
not give up!
Version française
Les dictatures préfèrent ne rendre de comptes à personne. Elles souhaitent
que les peuples restent mal informés. En tant que tels, les médias sociaux
représentent un énorme défi pour les dictatures. La réponse pour un régime
autoritaire est simple : la censure !
Les dictatures n'aiment pas tout ce qui pourrait contester le récit
qu'elles veulent que les gens adoptent.
Les réseaux sociaux permettent au peuple gabonais d’avoir des conversations
non censurées, sans ingérence du gouvernement. C'est ce que souhaite contrôler
Ossouka-Raponda. Elle veut empêcher la liberté numérique du peuple gabonais.
Pour subsister, un régime autoritaire doit impérativement contrôler
l’information via sa presse officielle. Pour de tels régimes, il faut :
1. Limiter la libre
expression
2. Discréditer l’opposition
3. Filtrer les informations.
En conséquence, toute manifestation d’indépendance en termes de
communication, sera jugée comme étant subversive. Le meilleur moyen de
communication est aujourd’hui les réseaux sociaux, car les utilisateurs sont
eux-mêmes les régulateurs de ces réseaux. Un utilisateur réajustera son réseau
social en fonction de sa pertinence et de sa crédibilité. L’utilisateur n’est
plus un consommateur passif de l’information, mais un acteur actif. C’est cela
dont a peur le régime.
On ne lâche rien !
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