WHO ARE THE ACCOMPLICES IN THE FINANCIAL ADMINISTRATION? QUI SONT LES COMPLICES DANS L’ADMINISTRATION FINANCIÈRE ?
Dear
readers, Noureddin Bongo-Valentin's task force is doing theater, to amuse the
Gabonese people and distract them from the real issues.
Indeed,
how to reconcile the following inconsistencies:
1. The
state signs a contract to rehabilitate the university with well-known
construction companies.
2. These
contracts do stipulate that at the time of signature, the State must pay these
companies a deposit, or a provision of 30% of the amount, to begin work.
3. These
same contracts say that after 50% execution, the state would send an inspection
team to the field and if the inspections are successful and satisfactory, the
state would again pay 30% of the amount.
4.
Finally, the contracts indicate that at the end of the work, the State would verify
the good delivery of the specifications and if everything complies with the
contract, the State would pay to the companies having carried out the work, the
remainder of 40% that.
Dear
readers, when the administration refuses to do its job and becomes complicit to
dishonest construction companies, it cannot complain after finding out that it
has paid for unrealized work. The culprits must be sought at the top of the
Gabonese State. No need to go arrest small fish and do a show of justice!
Version française
Chers lecteurs, la task force de Noureddin Bongo-Valentin fait du théâtre,
pour amuser les gabonais et les détourner des vraies questions.
En effet, comment réconcilier les incohérences suivantes :
1.
L’état signe un contrat
de réhabilitation de l’université avec des sociétés de BTP bien connues sur la
place.
2.
Ces contrats stipulent
bien qu’au moment de la signature, l’Etat doit verser à ces sociétés un acompte,
ou une provision de 30% du montant, pour commencer les travaux.
3.
Ces mêmes contrats disent
qu’après exécution de 50%, l’Etat enverrait une équipe d’inspection sur le
terrain et si les inspections sont concluantes et satisfaisantes, l’Etat
verserait à nouveaux 30% du montant.
4.
Les contrats indiquent
enfin qu’à la fin des travaux, l’Etat irait constater la bonne livraison du
cahier de charges et si tout est conforme au contrat, l’Etat paierait aux sociétés
ayant réalisées les travaux, le reliquat de 40%.
Chers lecteurs, quand l’administration refuse de faire son travail et se
rend complice des sociétés de BTP malhonnêtes, elle ne peut pas se plaindre après
avoir découvert qu’elle aurait payé pour des travaux non réalisés. Les
coupables doivent être recherchés au sommet de l’Etat gabonais. Ce n’est pas la
peine d’aller arrêter du menu fretin et faire de la justice spectacle !
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