IN A REPUBLIC, WHO HAS A RIGHT TO CIVILIAN AND MILITARY HONORS? DANS UNE RÉPUBLIQUE, QUI A DROIT AUX HONNEURS CIVILS ET MILITAIRES ?

 

 

To watch click here

Pour regarder cliquer ici

  

 

English Version

 

In all the self-respected republics of the world, the civil and military honors which must be paid to the dignitaries of the State are codified by precise administrative texts. Gabon in this sense uses the same texts as France and most of the countries of the European Union.

 

The review of civil and military administrations, or of the troops of the security forces, is reserved exclusively for honors rendered to Heads of State and their protocolary following, or to high-ranking security force officials. During sovereign trips across the country, the various administrative officials (ministers, general secretaries of administration, prefects, governors, senior officials of the state administration, etc.), may receive civil and military honors, if and only if, the framework of the visit is a matter of State.

 

A political party official who goes to visit supporters in a national region is not entitled to any civil or military honor, because this visit has absolutely nothing to do with the State; even though the members of this party run the state and exercise power.

 

Dear readers, the civil and military honors received by the Secretary General of the PDG during his visit to Bitam are a departure from Gabonese texts and the first who should be offended are those who claim to lead the country! But when you have uneducated people at the head of a republic, here is the result! Bullshit !

  

 

 

Version française

 

Dans toutes les républiques du monde qui se respectent, les honneurs civils et militaires qui doivent être rendus aux dignitaires de l’Etat sont codifiés par des textes administratifs précis. Le Gabon en ce sens utilise les mêmes textes que la France et la plupart des pays de l’Union Européenne.

 

La revue des administrations civiles et militaires, ou des troupes des forces de sécurité, est réservée exclusivement aux honneurs rendus aux chefs d'Etat et sa suite protocolaire ; ou encore aux hauts gradés des forces de sécurité. Pendant les déplacements régaliens à travers le pays, les différents responsables administratifs (ministres, secrétaires généraux d’administration, préfets, gouverneurs, hauts cadres de l’administration d’Etat, etc.), peuvent recevoir des honneurs civils et militaire, si et seulement si, le cadre de la visite est régalien.

 

Un responsable de parti politique qui irait visiter des militants dans une contrée nationale n’a droit à aucun honneur civil ou militaire, car sa visite n’a strictement rien avoir avec l’Etat ; même si les membres de ce parti dirigent l’Etat et exercent le pouvoir.

 

Chers lecteurs, les honneurs civils et militaires qu’a reçu le Secrétaire Général du PDG lors de sa visite a Bitam, sont une entorse aux textes Gabonais et les premiers qui devraient s’en offusquer sont ceux qui prétendent diriger le pays ! Mais lorsqu’on a des incultes à la tête d’une république, voici le résultat ! Du n’importe quoi !