IN GABON, POWER IS RESOLUTLY ADDICTIVE. AU GABON, LE POUVOIR EST RÉSOLUMENT ADDICTIF

English version

In Gabon the frenzied quest for the exercise of power, despite its possession since 1967, by the Bongo family, has become an addiction as strong as that which afflicts individuals developing little by little over time a dependence and strong addiction to a drug. The Bongos are now hooked!

The Bongo's addiction to power, that is to say, the money that is guaranteed by the state’s bosom, has obviously resulted in a form of catastrophic taking over of the entire state apparatus intended normally to maintain the balance of our society and not to be used for the benefit of the uncontrollable consumption of a single and same family.

The Bongos’ addiction leads to a conservation of power which considerably weakens our living together.

When one knows that the exercise of the power is tiring in the long run, physically and psychologically; when we look at the state of Gabon, we must inevitably arrive at the conclusion that we are led by very sick people.

We must stop this addiction. That's why we must not give up!

Version française

Au Gabon la quête effrénée pour l’exercice du pouvoir, malgré sa possession depuis 1967, par la famille Bongo, est devenue une addiction aussi forte que celle qui afflige les individus développant petit à petit au fil du temps une dépendance et forte accoutumance à un stupéfiant. Les Bongo sont désormais des accrocs !

L’addiction des Bongo au pouvoir, c’est-à-dire aux prébendes que leurs garantissent les mamelles de l’Etat, a entraîné évidement une forme de parasitage catastrophique de tout l’appareil étatique destiné à maintenir l’équilibre de notre société et non à être utilisé au profit de la consommation incontrôlable d’une seule et même famille.

L’addiction des Bongo entraine une conservation de pouvoir qui fragilise considérablement notre vivre ensemble.

Quand on sait que l’exercice du pouvoir use à la longue, physiquement et psychologiquement ; quand on regarde l’état du Gabon, nous devons arriver inévitablement à la conclusion que nous soyons dirigés par des grands malades.

Nous devons stopper cette addiction. Voilà pourquoi nous ne devons rien lâcher !