UNTIL WHEN WOULD THE GABONESE PEOPLE TOLERATE A POLITICAL LANDSCAPE THAT IS JUST AN ALIBI? JUSQU'A QUAND LES POPULATIONS GABONAISES TOLERERONT-ELLES UN PAYSAGE POLITIQUE QUI N’EST QU’UN ALIBI?
One of the many candidates promising the moon, while everybody knows that a parliamentarian in the Bongo national assembly is just there to accept what the Bongos want
Un des nombreux candidats qui promettent la lune, alors que tout le monde sait qu’un parlementaire dans l’assemblée nationale des Bongo, est là pour accepter les désirs des Bongo
English version
While the Bongo's regime henchmen are filling the news in Gabon with tin foil conspiracies and political allegations of coup and other foolishness, the real substance of political discourse gradually dissipates unguarded. This is exactly what the regime wants. This is why the Gabonese people should always be reminded of what is really important, so they would not let themselves distracted by the juvenile mischief and ill tailored political stories orchestrated by Ali Bongo's press trying to orient the Gabonese people toward the unreasonable and illogical.
The sordid eyesores unfolding in Libreville, where like blood hound desperados, Ali Bongo's henchmen are going around demolishing homes and throwing entire families on the street with nowhere to go. At the same time, the regime is asking the population to go vote in the legislative election, but without providing an ounce of guarantee that the voting would be fair. Last but not least, a major scandal was uncovered involving Ali Bongo's cabinet director, Maixent Accrombessi, who was caught in Benin using a presidential plane for what appeared to be illicit activities; also, the confirmation in a new book that Omar Bongo did finance Nicholas Sarkozy's run for the French presidency. However, the Gabonese public is noticing that while all of this is occurring, some members of the "opposition" are, instead of asking for investigations and for the truth to come out and assurance that elections are fair in Gabon, hiding their faces in the sand of greed and saying that they would answer Ali Bongo's call and participate in fraudulent legislative elections. The reality is that these people are caught in the gabonese political circus in which the opposition can be created and financed by the Bongo regime. The purpose of such an opposition is to serve as a democratic alibi for the despotic regime.
It is clear to both the simple and sophisticated political observer, that the regime is engaged in a not-so-disguised push to consolidate power across the nine geo-political regions of Gabon. To accomplish this, the regime must sedate and tame any meaningful political opposition. The operators and leaders of the regime have made no secret of it. These people have no interest in observing: fairness, openness and true transparency. This is why, be it for non-governmental organizations or opposition political parties, the regime perpetrates systematic hold-ups of independent organizations as it cannot and will not allow independent organizations to exist in Gabon. It is because of this method that the regime resorts in attempting to destabilize the independent civil society, such as the movement "Ça Suffit Comme Ça" and real political opposition. This is the only strategy left for the Bongos, because:
1) The weak popular support for the regime's policies, despite media hype by the omnipotent PDG, a party that has been in power since 1967 with no change of government or its entourage.
2) Only disunity amongst the democratic opposition or what purports to be so, would allow the regime to be regarded in any kind of positive light by the people.
3) As long as the regime has no plan for change or a real social project to promote a different Gabon, no real alternative should ever be allowed to take root in Gabon.
Dear readers, this is why the opposition is being constantly weakened by repression and the free civil society is constantly under attack from a regime suffering from the effects of worsening living standards for the population, a deteriorating economic and political environment, tarnished by of numerous scandals, where fortunes are amassed from nepotism spanning over 44 years and youth unemployment reaches 60%, with tight controls of the press and the mass media. This is why the Bongos have to put forward political parties as alibis for pseudo political pluralism.
Version française
Alors que les sbires du régime Bongo emplissent les media du pays avec des histoires de conspirations ridicules et d'allégations politiques de coup d'état et autres sottises, la vraie substance de l’actualité politique se dissipe progressivement sans surveillance. C'est exactement ce que veut le régime. C'est pourquoi le peuple gabonais doit toujours être rappelé de ce qui est vraiment important, de sorte qu'il ne se laisse pas divertir par des faits des mineurs et une historiographie politique adaptée et orchestrée par la presse d’Ali Bongo qui essaie d'orienter le peuple gabonais vers le déraisonnable et l’illogique.
Les horreurs sordides se déroulant en ce moment à Libreville, où, comme des desperados avides d’infliger des souffrances et des supplices, les sbires d'Ali Bongo vont démolir des habitations et jettent ainsi des familles entières dans la rue, n’ayant pas tout autre refuge. Dans les mêmes temps, le régime invitent les populations à aller voter lors des élections législatives, mais sans fournir une once de garantie que le scrutin serait équitable. Enfin, où un scandale majeur a été découvert impliquant directeur de cabinet d'Ali Bongo, Maixent Accrombessi, qui a été pris au Bénin en train d’utiliser un avion présidentiel pour ce qui semblait être des activités illicites et aussi, la confirmation dans un nouveau livre que Omar Bongo a financé Nicolas Sarkozy candidat à la présidence française. Toutefois, le public gabonais doit remarquer que tandis que tout cela se produit, certains membres de «l'opposition» gabonaises, au lieu de demander des enquêtes et d’exiger la vérité et l'assurance que les élections soient justes au Gabon, préfèrent se cacher le visage dans les sables de la cupidité et disant qu'ils vont répondre à l'appel d'Ali Bongo de participer à des élections législatives frauduleuses. La réalité est que ces gens sont pris dans le cirque politique gabonais au sein duquel l'opposition peut être créée et financée par le régime Bongo. Le but d'une telle opposition est de servir d'alibi démocratique pour le régime despotique.
Il est clair aussi bien à l'observateur politique simple que sophistiqué, que le régime est engagé dans un effort qui n'est pas si déguisé, pour consolider son pouvoir à travers les neuf régions géopolitiques du Gabon. Pour ce faire, le régime doit calmer et apprivoiser toute opposition politique significative. Les opérateurs et les dirigeants du régime n'en font d’ailleurs aucun secret. Ces gens n'ont aucun intérêt à observer les principes démocratiques que sont: l'équité, l'ouverture et la transparence véritable. C'est pourquoi, que ce soit pour les organisations non gouvernementales ou les partis politiques d'opposition, le régime commet des hold-up systématique des organisations indépendantes, car il ne peut pas et ne permettra pas aux organisations indépendantes d'exister au Gabon. C'est à cause de cette méthode que le régime tente de déstabiliser la société civile indépendante, comme le mouvement "ça suffit Comme Ça" et ce qui tient de réelle opposition politique. C'est la seule stratégie qui reste aux Bongo, car:
1) La faiblesse du soutien populaire pour les politiques du régime en dépit de l’abattage médiatique par le tout-puissant PDG, un parti qui a été au pouvoir depuis 1967, sans changement de type de gouvernement ou d’entourage.
2) Seule la désunion de l'opposition démocratique ou de ce qui est censé l’être, permettrait au régime de pouvoir être considéré de manière positive par la population.
3) Tant que le régime n'a aucun plan pour le changement ou un véritable projet social visant à promouvoir un Gabon différent, pas de réelle alternative ne devrait jamais être autorisé à prendre racine au Gabon.
Chers lecteurs, voici pourquoi l'opposition est constamment affaiblie par la répression et que la société civile libre est continuellement attaquée par un régime qui souffre des effets de la dégradation des conditions de vie de la population, d’une détérioration de l'environnement économique et politique, de son ternissement par de nombreux scandales, où des fortunes sont amassées à partir du népotisme qui s'étend sur plus de 44 ans et où le chômage des jeunes atteint 60%, tout ceci avec des contrôles stricts de la presse et des médias de masse. Voici pourquoi les Bongo tiennent à mettre en avant des partis politiques alibis d’un pseudo pluralisme politique.
Un des nombreux candidats qui promettent la lune, alors que tout le monde sait qu’un parlementaire dans l’assemblée nationale des Bongo, est là pour accepter les désirs des Bongo
English version
While the Bongo's regime henchmen are filling the news in Gabon with tin foil conspiracies and political allegations of coup and other foolishness, the real substance of political discourse gradually dissipates unguarded. This is exactly what the regime wants. This is why the Gabonese people should always be reminded of what is really important, so they would not let themselves distracted by the juvenile mischief and ill tailored political stories orchestrated by Ali Bongo's press trying to orient the Gabonese people toward the unreasonable and illogical.
The sordid eyesores unfolding in Libreville, where like blood hound desperados, Ali Bongo's henchmen are going around demolishing homes and throwing entire families on the street with nowhere to go. At the same time, the regime is asking the population to go vote in the legislative election, but without providing an ounce of guarantee that the voting would be fair. Last but not least, a major scandal was uncovered involving Ali Bongo's cabinet director, Maixent Accrombessi, who was caught in Benin using a presidential plane for what appeared to be illicit activities; also, the confirmation in a new book that Omar Bongo did finance Nicholas Sarkozy's run for the French presidency. However, the Gabonese public is noticing that while all of this is occurring, some members of the "opposition" are, instead of asking for investigations and for the truth to come out and assurance that elections are fair in Gabon, hiding their faces in the sand of greed and saying that they would answer Ali Bongo's call and participate in fraudulent legislative elections. The reality is that these people are caught in the gabonese political circus in which the opposition can be created and financed by the Bongo regime. The purpose of such an opposition is to serve as a democratic alibi for the despotic regime.
It is clear to both the simple and sophisticated political observer, that the regime is engaged in a not-so-disguised push to consolidate power across the nine geo-political regions of Gabon. To accomplish this, the regime must sedate and tame any meaningful political opposition. The operators and leaders of the regime have made no secret of it. These people have no interest in observing: fairness, openness and true transparency. This is why, be it for non-governmental organizations or opposition political parties, the regime perpetrates systematic hold-ups of independent organizations as it cannot and will not allow independent organizations to exist in Gabon. It is because of this method that the regime resorts in attempting to destabilize the independent civil society, such as the movement "Ça Suffit Comme Ça" and real political opposition. This is the only strategy left for the Bongos, because:
1) The weak popular support for the regime's policies, despite media hype by the omnipotent PDG, a party that has been in power since 1967 with no change of government or its entourage.
2) Only disunity amongst the democratic opposition or what purports to be so, would allow the regime to be regarded in any kind of positive light by the people.
3) As long as the regime has no plan for change or a real social project to promote a different Gabon, no real alternative should ever be allowed to take root in Gabon.
Dear readers, this is why the opposition is being constantly weakened by repression and the free civil society is constantly under attack from a regime suffering from the effects of worsening living standards for the population, a deteriorating economic and political environment, tarnished by of numerous scandals, where fortunes are amassed from nepotism spanning over 44 years and youth unemployment reaches 60%, with tight controls of the press and the mass media. This is why the Bongos have to put forward political parties as alibis for pseudo political pluralism.
Version française
Alors que les sbires du régime Bongo emplissent les media du pays avec des histoires de conspirations ridicules et d'allégations politiques de coup d'état et autres sottises, la vraie substance de l’actualité politique se dissipe progressivement sans surveillance. C'est exactement ce que veut le régime. C'est pourquoi le peuple gabonais doit toujours être rappelé de ce qui est vraiment important, de sorte qu'il ne se laisse pas divertir par des faits des mineurs et une historiographie politique adaptée et orchestrée par la presse d’Ali Bongo qui essaie d'orienter le peuple gabonais vers le déraisonnable et l’illogique.
Les horreurs sordides se déroulant en ce moment à Libreville, où, comme des desperados avides d’infliger des souffrances et des supplices, les sbires d'Ali Bongo vont démolir des habitations et jettent ainsi des familles entières dans la rue, n’ayant pas tout autre refuge. Dans les mêmes temps, le régime invitent les populations à aller voter lors des élections législatives, mais sans fournir une once de garantie que le scrutin serait équitable. Enfin, où un scandale majeur a été découvert impliquant directeur de cabinet d'Ali Bongo, Maixent Accrombessi, qui a été pris au Bénin en train d’utiliser un avion présidentiel pour ce qui semblait être des activités illicites et aussi, la confirmation dans un nouveau livre que Omar Bongo a financé Nicolas Sarkozy candidat à la présidence française. Toutefois, le public gabonais doit remarquer que tandis que tout cela se produit, certains membres de «l'opposition» gabonaises, au lieu de demander des enquêtes et d’exiger la vérité et l'assurance que les élections soient justes au Gabon, préfèrent se cacher le visage dans les sables de la cupidité et disant qu'ils vont répondre à l'appel d'Ali Bongo de participer à des élections législatives frauduleuses. La réalité est que ces gens sont pris dans le cirque politique gabonais au sein duquel l'opposition peut être créée et financée par le régime Bongo. Le but d'une telle opposition est de servir d'alibi démocratique pour le régime despotique.
Il est clair aussi bien à l'observateur politique simple que sophistiqué, que le régime est engagé dans un effort qui n'est pas si déguisé, pour consolider son pouvoir à travers les neuf régions géopolitiques du Gabon. Pour ce faire, le régime doit calmer et apprivoiser toute opposition politique significative. Les opérateurs et les dirigeants du régime n'en font d’ailleurs aucun secret. Ces gens n'ont aucun intérêt à observer les principes démocratiques que sont: l'équité, l'ouverture et la transparence véritable. C'est pourquoi, que ce soit pour les organisations non gouvernementales ou les partis politiques d'opposition, le régime commet des hold-up systématique des organisations indépendantes, car il ne peut pas et ne permettra pas aux organisations indépendantes d'exister au Gabon. C'est à cause de cette méthode que le régime tente de déstabiliser la société civile indépendante, comme le mouvement "ça suffit Comme Ça" et ce qui tient de réelle opposition politique. C'est la seule stratégie qui reste aux Bongo, car:
1) La faiblesse du soutien populaire pour les politiques du régime en dépit de l’abattage médiatique par le tout-puissant PDG, un parti qui a été au pouvoir depuis 1967, sans changement de type de gouvernement ou d’entourage.
2) Seule la désunion de l'opposition démocratique ou de ce qui est censé l’être, permettrait au régime de pouvoir être considéré de manière positive par la population.
3) Tant que le régime n'a aucun plan pour le changement ou un véritable projet social visant à promouvoir un Gabon différent, pas de réelle alternative ne devrait jamais être autorisé à prendre racine au Gabon.
Chers lecteurs, voici pourquoi l'opposition est constamment affaiblie par la répression et que la société civile libre est continuellement attaquée par un régime qui souffre des effets de la dégradation des conditions de vie de la population, d’une détérioration de l'environnement économique et politique, de son ternissement par de nombreux scandales, où des fortunes sont amassées à partir du népotisme qui s'étend sur plus de 44 ans et où le chômage des jeunes atteint 60%, tout ceci avec des contrôles stricts de la presse et des médias de masse. Voici pourquoi les Bongo tiennent à mettre en avant des partis politiques alibis d’un pseudo pluralisme politique.
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