THE BONGO REGIME IS SHAMEFULLY LYING ABOUT THE REALITY OF THE GABON-BRESIL FOOTBALL MATCH. LE REGIME BONGO MENT HONTEUSEMENT AU SUJET DES RÉALITÉS DU MATCH DE FOOTBALL GABON-BRÉSIL

English version

The Gabonese dictatorship has been embarrassed and humiliated by its own incompetence in organizing a simple football match between Gabon and Brazil. Despite the fact that anybody who has access to the internet can go to YouTube and see for themselves, the Bongo regime in its slavish press such as AGP (Gabonese Press Agency) and Gabonews owned by Laure Gondjout the chief of staff of the Gabonese presidential palace, is trying to rewrite history by trying to claim that the circumstances of that match were better than they actually were. Let us review the lies of the regime and let us show you the reality that was on the ground.

1. The electricity was not working
The regime is saying that the match started late because of technical problems. This is a euphemism because the reality is that the electricity was cut and the stadium had to be lit using a generator. This indicates that the electrical grid is still not reliable and abrupt electricity outages are to be anticipated during the upcoming CAN competition.

2. The stadium is far from being ready

(Photos Rougou)



These pictures are clearly showing that the football pitch is not ready for competition just yet. This is not a football playing field that meets international standards. This is shameful and totally unacceptable everywhere else except in Africa. The muddy pitch is explained by the fact that the playing field has not yet settled and the soil is not yet firm. Under these conditions, a little bit of rain transforms the pitch into a mud pit better suited for pigs than for footballers. The Gabonese government media should try to tell the truth once in a while especially when everybody can clearly see the truth. This is a shame.

3. Not very many people were in the stadium

(photos Rougou)


Ali Bongo controlled media in Gabon are saying that there were 35000 spectators at the game. Here are the pictures. The stadium has a capacity of 40000 people and these pictures are showing that at most, only 1/4 of the seats were occupied, which would amount to a maximum of 10000 spectators. Why would the regime say that 35000 people went to the stadium when everybody can look at the video and the picture and discover that at the maximum the number was only about 10000, if that!

4. The stadium has no parking lot
The parking lot of the stadium is just a big open muddy space. People have to park their cars 4 to 5 kilometers away and take buses to go to the stadium. Gabon has only very few buses and it takes forever to transport even a few thousand people.


The display of incompetence by the regime in asking people to use an unfinished facility, is simply astounding. But this is what one gets when a country is led by people whose sole qualification to lead is that they are the son of…, the nephew of…, the daughter of…, the mistress of…

So goes Gabon





Version française

La dictature au pouvoir au Gabon est gênée et humiliée par sa propre incompétence dans l'organisation d'un simple match de football entre le Gabon et le Brésil. Malgré le fait que n'importe qui ayant accès à internet peut aller sur YouTube et de vérifier par lui-même, le régime Bongo dans sa presse servile, comme l'AGP (Agence de Presse Gabonaise) et Gabonews détenue par Laure Gondjout, le secrétaire général de la présidence gabonaise, tente de réécrire l'histoire en essayant de prétendre que les circonstances de ce match étaient meilleures qu'elles ne le furent en réalité. Passons en revue les mensonges du régime et permettez-nous vous démontrer la réalité qui fut sur le terrain.

1. L'électricité ne fonctionnait pas
Le régime dit que le match a démarré tardivement en raison de problèmes techniques. Ceci est un euphémisme, car la réalité est que l'électricité a été coupée et le stade a dû être alimenté à l'aide d'un groupe électrogène. Cela indique que le réseau électrique n'est toujours pas fiable et les pannes d'électricité brusques sont à prévoir au cours de la prochaine CAN.

2. Le stade est loin d'être prêt
Ces images montrent clairement que l'aire de jeu n'est pas prête pour la compétition. Ce n'est pas un terrain de football qui répond aux normes internationales. C'est honteux et serait totalement inacceptable partout ailleurs, sauf en Afrique. Le terrain boueux s'explique par le fait que la surface de jeu ne se soit pas encore tassée et que le sol ne soit pas encore ferme. Dans ces conditions, un peu de pluie transforme le terrain en un bourbier mieux adapté pour des porcs que pour les footballeurs. Les médias du gouvernement gabonais doivent essayer de dire la vérité de temps en temps, surtout quand tout le monde peut vérifier clairement l'exactitude. C'est une honte.

3. Pas grand monde s'est rendu au stade
Les médias contrôlés par Ali Bongo au Gabon disent qu'il y avait 35000 spectateurs au match. Voici les photos. Le stade a une capacité de 40 000 places et ces images montrent que tout au plus, seulement 1/4 des sièges étaient occupés, ce qui reviendrait à un maximum de 10000 spectateurs. Pourquoi le régime dit que 35000 personnes sont allées au stade quand tout le monde peut regarder la vidéo et les photos et découvrir qu'au maximum le nombre n'était que d'environ 10000, et encore!

4. Le stade n'a pas de parking
Le parking du stade est juste un grand espace ouvert boueux. Les gens doivent garer leur voiture 4 à 5 kilomètres du stade et prendre le bus pour s'y rendre. Le Gabon n'a que très peu de bus et il faut une éternité pour le transport de ne serait-ce que quelques milliers de personnes.


L'évidence de l'incompétence du régime qui demande aux gens d'utiliser des installations inachevées, est tout simplement ahurissante. Mais c'est ce que l'on obtient quand un pays est dirigé par des gens dont l'unique qualification pour le leadership est qu'ils sont les fils de ..., neveu de ..., fille de ..., la maîtresse de ...

Ainsi va le Gabon