ALI BONGO’S LAWYER LOSES HERSELF ON GABON TELEVISION. L’AVOCAT D’ALI BONGO, MAITRE DUMONT-BEGHI SE FOURVOIE SUR GABON TELEVISION





English version

Ali Bongo’s lawyer, Ms. Dumont-Beghi, went on Gabon TV to try to justify why the false papers of her client should be considered authentic by the Gabonese people.

The most comical passage of her explanation is when she said that the transcription errors observed from one birth certificate to another, in the panoply of false documents presented by Ali Bongo, are due to the fact that the poor souls who transcribed these documents were operating manually. These people, dear readers, according to Ms. Dumont-Beghi, read Albert Bongo on one register and transcribed Albert Bernard Bongo on the other (without any reason since Albert Bongo had not yet started to use the first name Bernard in 1959); they read in one register Alain Bongo and transcribed on the other Ali Bongo (although Bongo did convert to Islam only more than 20 years later). Ms. Dumont-Beghi says that we should understand these errors because these people were operating in the pre-fax and pre-photocopying era. But about the birth certificate Akagassa established in 2009, during an era when fax and photocopying already existed! Ms. Dumont-Beghi did not explain why her client Ali Bongo, himself, said on RFI that it was a fake and that they should not talk about it anymore.

No, but Ms. Dumont-Beghi takes the Gabonese people for idiots! When one knows that it is in the pocket of the taxpayers that her legal fees are drawn, it's disgusting!




Version française

L’avocat d’Ali Bongo, Maître Dumont-Beghi, est passée sur la Gabon Télévision pour essayer de justifier pourquoi les faux papiers de son client devraient être considérés comme authentiques, par les Gabonais.


Le passage le plus comique de son explication est quand elle a affirmé que les erreurs de transcription observées d’un acte de naissance à l’autre, dans la panoplie de faux actes présentés par Ali Bongo, sont dues au fait que les pauvres bougres qui faisaient ces transcriptions opéraient de manière manuelle. Ces derniers, chers lecteurs, d’après Maître Dumont-Beghi, lisaient sur un registre Albert Bongo et transcrivaient Albert Bernard Bongo sur l’autre (sans aucune raison puisqu’Albert Bongo n’avait pas encore commencé à utiliser le prénom Bernard en 1959); sur un registre ils lisaient Alain Bongo et sur l’autre ils transcrivaient Ali Bongo (même si les Bongo ne se convertiront à l’Islam que plus de 20 ans plus tard). Maître Dumont-Beghi affirme que nous devrions comprendre ces erreurs car ces gens opéraient à l’ère pré-fax et pré photocopieuses. Mais à propos de l’acte de naissance Akagassa, établi en 2009, à une ère où le fax et la photocopie existaient déjà! Maître Dumont-Beghi n’a pas expliqué pourquoi son client Ali Bongo lui-même, a dit sur RFI que c’était un faux et qu’il ne fallait pas revenir là-dessus

Non mais Maître Dumont-Beghi prend les Gabonais pour des cons ! Quand on sait que c’est dans la poche du contribuable que sont puisés ses honoraires, c’est révoltant !

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