Ms. DUMONT-BEGHI, ABOUT THESE TRANSCRIPTION ERRORS YOU CALL MINOR... (PART ONE). Me DUMONT-BEGHI, À PROPOS DE CES ERREURS DE TRANSCRIPTION QUE VOUS QUALIFIEZ DE MINEURES… (PREMIÈRE PARTIE)






English version

We all know that the role of a lawyer is to defend their client. It is to this end that the lawyer is retained and paid; and in the case of Ms. Dumont-Beghi, handsomely paid. We're not going to engage here in personal attacks on the lawyer because that would be a waste of time and take us in a tangent that would distance us from the essential. Here, we will use logic, the law, common sense and verifiable and verified facts to confuse the defense of Ms. Dumont-Beghi and prove to our readers that Ali Bongo’s perjury is established and remains so. We will do this in a series of posts, even if by writing so much, our fingers bleed; because it is the future of our country that is in question. Ms. Dumont-Beghi has France as a country; she lives there in peace in an atmosphere where the law always prevails in the end. We however, we only have Gabon as a country and we are tired of being forced to live in an imposed obscurantism. We say no and will demolish the defense of Ms. Dumont-Beghi point by point!

We note that, in law, perjury is a crime of lying or producing false testimony before the legal authorities; that is to say before the law. Therefore, by producing false documents in an application for election; file submitted to the CENAP under the jurisdiction of the Interior Ministry and the Constitutional Court, Ali Bongo committed perjury before the Gabonese Republic.

We open up the argued hostilities by going to 1959 to the Brazzaville General Hospital, and we wish to point out to our readers that the story of the incredible birth of Ali Bongo will be examined in full, that is to say, by affixing to the words of Josephine Nkama and her brother Jean Boniface Assélé, all the numerous fake documents that have been produced and you will see the contortions that the logic of this narrative of falsehood would submit to you in order to make this whole huge hoax stand.

The ASNOM, the Amicale of Naval and Overseas Health Association, a French organization, considers that France did build in Black Africa, ten great colonial hospitals. Among these ten hospitals there was the Brazzaville General Hospital. This hospital, opened in 1957, and was considered the most modern in Black Africa and its services were entrusted to French military doctors.

Brazzaville was declared capital of the AEF in 1910. The AEF consisted of Gabon, Middle-Congo, Oubangui-Chari and Chad. The capital of the general government was set in Brazzaville and it is therefore in Brazzaville that will be installed the archives of the general government of the AEF. This is what Augustin Mizele writes on page 313 of a report whose title is "REFORME DU SYSTEME D'ETAT CIVIL EN REPUBLIQUE POPULAIRE DU CONGO" under "Historique du système d'état civil congolais"


On 12 April 1934, the Standing Committee of the Government of the AEF then issued an order regulating for the first time, indigenous civil status. "In AEF, declarations of birth and death of people governed by local customs, those of marriages and children recognitions which occurred following the same customs are recognized, received and recorded in accordance with the provisions of this order." But these statements were voluntary, except in regard to active or retired military personnel and their descendants, indigenous people belonging to the administrative staff, the native chiefs recognized by the administration and their descendants, the descendants of all persons having been declared.

In 1940, a decree number 927 of 13 December organizing indigenous civil status in the AEF made compulsory the declarations of weddings. Other statements hitherto remained optional, except for the persons mentioned previously.

The order number 1054 of 12 May 1944 amended the previous order, and made mandatory all declarations regarding civil status.



The first question we would like to ask Me-Dumont Beghi is:

How to understand that a child born in 1959, of a military father enlisted in the French army, in the most modern Black African Hospital, run by French military doctors, had his declaration of birth and birth certificate handwritten by the administration of the AEF, which by the way had already implemented the typing method and stamp pad, as we can confirm by presenting a birth certificate of the AEF dating back to 1954? On this birth certificate of the AEF, everything is typed, and the document is signed by the administrator and officially stamped as proof of its authenticity. The document presented as Ali Bongo’s birth certificate issued in Brazzaville does have any mention making it official: no administrator’s signature or stamp of the colonial administration or header of the AEF. We can accept a birth certificate that was written by hand, but without signature of the administrator or official stamp? No!
Why, Ms. Dumont-Beghi?

Was there a shortage of administrative paper in Brazzaville on 10 February 1959?
Were the typist secretaries on strike?
Did the stamps disappear from offices?
Why, Ms. Dumont-Beghi? Enlighten us!

Tighten your belt because this is only the start of the avalanche that will last as long as necessary because the imposture will not prosper!



Version française

Nous savons tous que le rôle d’un avocat est de défendre son client. C’est à cette fin que l’avocat est retenu et payé ; et dans le cas de Maître Dumont-Beghi, grassement payé. Nous n’allons donc pas ici y aller dans des attaques personnelles sur cet avocat car ce serait perdre du temps et aller dans une tangente qui nous éloignerait de l’essentiel. Nous userons ici de la logique, du droit, du bon sens et des faits vérifiables et vérifiés, pour confondre la défense de Me Dumont-Beghi et prouver à notre lectorat que le parjure d’Ali Bongo est établi et reste entier. Nous ferons ceci dans une série de billets, même si à force d’écrire, nos doigts doivent saigner ; car c’est de l’avenir de notre pays dont il s’agit. Me Dumont-Beghi a la France comme pays, elle y vit en paix dans une ambiance où le droit fini toujours par l’emporter. Nous, nous n’avons que le Gabon comme pays et nous ne supportons plus d’être forcés d’y vivre un obscurantisme imposé. Nous disons non et allons démolir la défense de Me Dumont-Beghi, point par point!

Nous signalons qu’en droit, le parjure est un crime qui consiste à mentir ou à produire un faux témoignage, devant les autorités légales, c'est-à-dire devant la loi. Par conséquent, en produisant des faux documents dans un dossier de candidature à une élection ; dossier soumis à la CENAP sous la juridiction du ministère de l’Intérieur et de la Cour Constitutionnelle, Ali Bongo a commis un parjure devant la République Gabonaise.

Nous ouvrons les hostilités argumentaires en allant en 1959 à l’Hôpital Général de Brazzaville, et voulons signaler à nos lecteurs, que le récit de la naissance rocambolesque d’Ali Bongo sera examiné de manière entière, c'est-à-dire en apposant les dires de Joséphine Nkama et son frère Jean Boniface Assélé, aux documents tous plus faux les uns que les autres qui ont été produits et vous verrez les contorsions mensongères que la logique de cette narration voudraient vous soumettre pour que l’ensemble de cette énorme supercherie puisse tenir debout.

L’ASNOM, l’association Amicale Santé Navale et d’Outre-Mer, une organisation française, considère que la France avait construit en Afrique Noire dix grands hôpitaux coloniaux. Parmi ces dix hôpitaux il y avait l’Hôpital Général de Brazzaville. Cet hôpital, inauguré en 1957, fut considéré comme le plus moderne d’Afrique Noire et ses services furent confiés aux médecins militaires Français.

Brazzaville fut déclarée capitale de l’AEF en 1910. L’AEF c’était le Gabon, le Moyen-Congo, l’Oubangui-Chari et le Tchad. La capitale du gouvernement général est fixée à Brazzaville et c’est donc à Brazzaville que seront installés les services d’archives du gouvernement général de l’AEF. Voici ce qu’écrit Augustin Mizele à la page 313 d’un rapport dont le titre est: «REFORME DU SYSTEME D'ETAT CIVIL EN REPUBLIQUE POPULAIRE DU CONGO », sous la rubrique « Historique du système d'état civil congolais » :


Le 12 Avril 1934, la Commission Permanente du Gouvernement de 1'AEF prit alors un arrêté réglementant pour la première fois l'état civil indigène. "En AEF, les déclarations de naissance et de décès des personnes régies par les coutumes locales, celles des mariages et des reconnaissances d'enfants intervenues suivant les mêmes coutumes sont constatées, reçues et enregistrées conformément aux dispositions du présent arrêté". Mais ces déclarations furent facultatives sauf en ce qui concerne les militaires en service ou retraites et leurs descendants, les indigènes appartenant aux cadres administratifs, les chefs indigènes reconnus par l'administration et leurs descendants, les descendants de toutes personnes avant fait l'objet d'une déclaration.

En 1940, un arrêté numéro 927 du 13 décembre réorganisant 1'etat civil indigène en AEF rendit obligatoire les déclarations de mariages. Les autres déclarations restèrent jusqu'alors facultatives, sauf pour les personnes précitées.

L'arrêté numéro 1054 du 12 mai 1944 modifiant l'arrêté précédent, rendit obligatoire toutes les déclarations concernant l'état civil.



La première question que nous venons poser à Me Dumont-Beghi est la suivante :

Comment comprendre qu’un enfant né en 1959, d’un père militaire enrôlé dans l’armée française, dans l’hôpital le plus moderne d’Afrique Noire, administré par les médecins militaires Français, ait vu sa déclaration de naissance et son acte de naissance rédigés à la main, par l’administration de l’AEF qui était déjà passé à la méthode dactylo et au cachet tampon, comme nous le confirmons en vous présentant un acte de naissance de l’AEF datant de 1954 ? Sur cet acte de naissance de l’AEF, tout y est dactylographié, et le document est signé de l’administrateur et le tampon officiel fait foi de son authenticité. Le document présenté comme l’acte de naissance d’Ali Bongo délivré à Brazzaville ne comporte aucune mention l’officialisant : ni signature d’administrateur, ni tampon de l’administration coloniale, ni entête de l’AEF. On peut accepter qu’un acte de naissance ait été écrits à la main, mais sans signature de l’administrateur ni tampon officiel ? Non !
Pourquoi, Madame Dumont-Beghi ?

Y-avait-il pénurie de papier administratif à Brazzaville le 10 Février 1959 ?
Les secrétaires dactylos étaient–elles en grève ?
Les tampons avaient-ils disparus des bureaux ?
Pourquoi, Madame Dumont-Beghi ? Eclairez-nous !

Serrez votre ceinture car ceci n’est que le début de l’avalanche qui va durer aussi longtemps que nécessaire car l’imposture ne prospèrera pas !

Comments

Popular posts from this blog

GAGAN GUPTA’S MASTERFUL TRICK! LA MAGISTRALE ENTOURLOUPE DE GAGAN GUPTA !