GABON DISTINGUISHES ITSELF, BUT NOT AS ONE WOULD WANT! LE GABON SE DISTINGUE, MAIS PAS COMME ON L’ENTEND!
English version
In the magazine “National Review”, Jay Nordlinger mentions Gabon, but not in the way one would be proud about. To read the original article, click here.
Version française
Dans le magazine "National Review", Jay Nordlinger mentionne Gabon, mais pas d’une façon dont on pourrait être fier. Nous vous traduisons l’article ci-dessous.
De retour de Bakou
Par Jay Nordlinger, le 3 Juin 2016
Dans mon " Journal d’Oslo" d’aujourd'hui - Partie IV - je mentionne l'Azerbaïdjan. C’est "un endroit moche," dis-je. "Il a été gouverné par deux hommes, le père et le fils, depuis 1993-. Les Aliyev." Puis je commente que: «c'est rien. La Syrie a été gouvernée par deux hommes, le père et le fils, depuis 1970."
D'accord, mais le Gabon les bat tous les deux: Il est dirigé par une autre équipe de père et fils - les Bongo - depuis 1967.
Mais ce n’est rien, car une famille Kim est au pouvoir en Corée du Nord depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. Ils en sont à leur troisième Kim. En aurait-il un quatrième?
Les Duvalier, en Haïti, ont régné pendant près de 30 ans: 1957 à 1986. Vous vous souvenez de Papa Doc et son fils bébé. Les Castro à côté à Cuba eux les ont surpassés, d’une grande marge: le frère N° 1 a pris le pouvoir en 1959; le frère n° 2 est au pouvoir en ce moment; son fils Alejandro - que le président Obama a rencontré chaleureusement plus tôt cette année – attend son tour.
Les enfants suivent les parents en politique - et d'autres domaines - dans les démocraties, aussi. J'ai exploré tout cela dans un essai l'année dernière, "La question dynastique." Depuis lors, un monsieur nommé Trudeau est devenu premier ministre du Canada. Il y avait un premier ministre Trudeau quand j’étais enfant. Attendez un peu, et vous pourrez en obtenir un autre.
Je vais terminer par quelques colles: nommez un grand musicien qui est né et a grandi à Bakou (Azerbaïdjan). Exact, Rostropovich. Nommez un grand joueur d'échecs de Bakou. Exact, Kasparov.
Okay, je m’en vais (Merci Baku).
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