INTELLECTUALS PUT ASLEEP BY CARREERISM. LES INTELLECTUELS ASSOUPIS PAR LE CARRIERISME





English Version

Dear readers, the above image provides an overview of the contemptuous feeling Guy Rossatanga-Rignault has for some Gabonese who dare to remind him of his image; that is to say, that of an "intellectual "who, aware of his primary careerist choices, does everything to evade being examined by his compatriots.

The context of this exchange is that a compatriot has submitted to Guy Rossatanga-Rignault, one of our posts on Gabonese intellectuals; along with a review of the human rights record of the Ali Bongo’s regime. The response of our encyclopaedist is before you; he treats our compatriots to be a fool, without further ado. Instead of a potentially enriching exchange, Mr. Rossatanga-Rignault prefers to shorten things, "fool" as they say in the neighborhood, quickly, well done! Mr. Rossatanga-Rignault thinks that he only owes this compatriot his contempt; a compatriot who, we remind you, even pays his salary...

Informed of this exchange, we wanted to bring it to the public square, because it tells us more about the situation of having to wear an intellectual straitjacket, by the regime’s educated members. No one could challenge our opinion that Guy Rossatanga-Rignault is today, because of his compromise as a member of a detestable regime at any point of view, an intellectual "Sleeping Beauty", struggling to awaken from his heavy moral slumber, but oh so well paid, to serve Ali Bongo.

If one is charitable, they would say that Guy Rossatanga-Rignault is now an extremely passive intellectual vis-à-vis the Gabonese abuse at the hands of the regime he serves; but more direct people would outright say that Guy Rossantaga-Rignault was never anything else than a careerist who knows that it is Ali Bongo who butters his bread, and is desperate to preserve his economic privilege of the moment. It is noted that burning ambition, coupled with an established complacency, prohibits Guy Rossatanga-Rignault from having an honest discussion with his compatriots on the anachronism of the Ali Bongo regime he serves, and universal legal and democratic tenets that many Gabonese demand.

Guy Rossatanga-Rignault seems to think that at no time the authority of the regime he serves will end; he forgets that sooner or later the end of reign will be effective. Therefore, to rely on disregard of those on the right side of history; to defend and serve a regime based on lies, to serve a man who beaten at the polls, does not accept the new political order which the Gabonese people want, and reverses the voting results by a circumvention of the rules; does not necessarily leave much room for intellectual considerations.

Guy Rossatanga-Rignault is currently in Gabon at the service what intellectual truth? Can he speak in universal terms and give moral positions on general, social and political issues in Gabon? When one has awareness and knowledge of the powerful denunciation of religious intolerance by Voltaire; of the vibrant defense of republican liberty by Rousseau; of the eloquent diatribe of Victor Hugo against Napoleonic despotism, or of the impassioned plea of Emile Zola for justice during the Dreyfus Affair? Can we still classify Guy Rossatanga-Rignault among the intellectuals in the classic sense of the term?

So when a discussion thematizes the spirit of regime’s intellectuals and he is asked to comment, unable to respond with a convincing argument against that postulate, what else is there for him to say?



Version française

Chers lecteurs, l’image ci-dessus vous donne un aperçu du sentiment contempteur qu’a Guy Rossatanga-Rignault de certains Gabonais qui osent lui rappeler l’image qui est la sienne, c'est-à-dire celle d’un « intellectuel » qui, conscient de ses choix premiers carriéristes, fait tout pour se dérober de l’examen de ses compatriotes.

Le contexte de cet échange est qu’un compatriote a soumis à Guy Rossatanga-Rignault, la lecture d’un de nos billets sur les intellectuels Gabonais ; et aussi d’un bilan des droits de l’homme du régime Ali Bongo. La réponse de notre encyclopédiste est devant vous ; il traite le compatriote d’imbécile, sans autre forme de procès. En place d’un échange potentiellement enrichissant, Monsieur Rossatanga-Rignault préfère écourter les choses : « imbécile » comme on dit au quartier, vite fait, bien fait ! Monsieur Rossatanga-Rignault estime ne devoir à ce compatriote que le mépris ; compatriote qui, nous vous le rappelons, paie quand même son salaire…

Informés de cet échange, nous avons voulu le porter sur la place publique, car il nous avise un peu plus sur la situation du port d’une camisole de force intellectuelle, par les instruits du régime. Personne ne pourrait contester notre opinion que Guy Rossatanga-Rignault ne soit plus aujourd’hui, du fait de sa compromission au sein d’un régime détestable à tout point de vue, qu’un intellectuel « au bois dormant », peinant à s’éveiller de son lourd sommeil moral mais oh combien rémunérateur, de faire valoir d’Ali Bongo.

Si on est charitable, on dira que Guy Rossatanga-Rignault est désormais un intellectuel extrêmement passif vis-à-vis des abus que subissent les Gabonais aux mains du régime qu’il sert ; mais des personnes plus directes diront carrément que Guy Rossatanga-Rignault n’ait jamais été qu’un carriériste qui sait que c’est Ali Bongo qui beurre ses tartines, et reste prêt à tout pour préserver ses acquis matériels du moment. On remarque que l’ambition dévorante, doublée d’une complaisance établie, interdit à Guy Rossatanga-Rignault d’avoir un échange honnête avec ses compatriotes sur l’anachronisme du régime Ali Bongo qu’il sert, et les canons juridiques et démocratiques universelles que bien des Gabonais réclament.

Guy Rossatanga-Rignault semble penser qu’à aucun moment, l’autorité du régime qu’il sert prendra fin ; il oublie que tôt ou tard, la fin de règne sera effective. Donc s’appuyer sur le mépris de ceux qui sont du bon côté de l’histoire; de défendre et servir un régime basé sur le mensonge, servir un homme qui, battus aux urnes, n’accepte pas le nouvel ordre politique auquel aspire les Gabonais et fait que les résultats du vote soient inversés par un contournement des règles ; ne laissent forcement pas beaucoup de place aux considérations intellectuelles.

Guy Rossatanga-Rignault est aujourd’hui au Gabon, au service de quelle vérité intellectuelle? Peut-il parler en termes universels et donner des positions morales sur des questions générales, sociales et politiques au Gabon ? Quand on a conscience et connaissance de la puissante dénonciation de l’intolérance religieuse par Voltaire ; de la vibrante défense de la liberté républicaine par Rousseau ; de l’éloquente diatribe de Victor Hugo contre le despotisme napoléonien, ou le plaidoyer passionné d’Émile Zola pour la justice pendant l’Affaire Dreyfus ? Peut-on encore classer Guy Rossatanga-Rignault au rang des intellectuels, au sens classique du terme ?

Alors, lorsqu’un débat thématise l’état d’esprit des intellectuels du pouvoir et qu’il lui est demandé un commentaire, ne pouvant répondre par un contre-argument convainquant, que lui reste-il à répondre ?

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