CHADI MOUKARIM, DICTATORSHIPS DO NOT HAVE ANY QUALMS! CHADI MOUKARIM, LES DICTATURES N’ONT PAS D’ÉTAT D’ÂME!
English version
Chadi
Moukarim, the mayor of the 5th district of Libreville, was beaten by
the police in Libreville. He was trying to prevent the destruction by the
police, of a pre-school.
What is
more important is that Chadi Moukarim is one of the most zealous and ardent supporters
of Ali Bongo. The fact that he was beaten down, proves that dictatorships do
not respect anything; they have no qualms in brutalizing their own if the circumstances
dictate that they do so.
Hopefully
the beating of Chadi Moukarim will be a lessons to those who support the
regime and think that this dictatorship cares about them. They must realize
once and for all that this is a corrupt, terror-peddling regime, which
massacres and starves its own people and will not blink if they had to attack
their own supporters.
Version française
Chadi Moukarim, le maire
du 5e arrondissement de Libreville, a été agressé par la police à Libreville.
Il essayait d'empêcher la destruction par la police d'une école maternelle.
Ce qui est plus important
à comprendre, est que Chadi Moukarim soit l'un des partisans les plus zélés et
les plus ardents d'Ali Bongo. Le fait qu'il ait été tabassé prouve que les
dictatures ne respectent rien; elles n'ont aucun scrupule à brutaliser les
leurs, si les circonstances le leur dictent.
Espérons que le passage à
tabac de Chadi Moukarim sera une leçon pour ceux qui soutiennent le régime et
pensent que cette dictature se soucie d'eux. Ils doivent se rendre compte une
fois pour toutes qu’il s’agit d’un régime corrompu et de terreur, qui massacre
et affame son propre peuple et qui ne clignerait pas des yeux s’il devait
attaquer ses propres partisans.
Comments
Post a Comment