IT IS INDEED SYLVIA BONGO WHO RUNS THE COUNTRY ! C’EST BIEN SYLVIA BONGO QUI DIRIGE LE PAYS !

 

 

 

English version

 

A very well-informed publication on Françafrique establishes the following analysis: despite the fact that the Gabonese constitution does not recognize any provision in the function of first lady of the country, it would be clear that Sylvia is the nerve center of power.

 

Standing aside, pulling the strings from a distance, she would intervene in all important appointments, both to the presidency of the republic, and in important ministries,

 

Premier Rose-Christiane Ossouka-Raponda would only be a figure head as Sylvia Bongo's influence on the functioning of the government is enormous. From the presidency to ministries to government contractors, she decides everything, and her influence has only grown since the stroke that struck Ali Bongo in 2018.

 

It is she who directs the presidential communication through the hack Jessye Ella Ekogha. It was she who appointed Dominic Sudnik as mission envoy to Ali Bongo. It is still she who is responsible for the decision to entrust the management of Gabon's financial wealth to friends of her son Noureddin, the Oceni brothers.

 

She also surrounds herself with ladies-in-waiting, several of whom even have official titles such as Hawa Diarra and Murielle Ndong, respectively Director and Chief of Staff; or Betty Bongo, who serves as a transmission belt with the Bongo-Ondimba family.

 

All those who were not veru close to her were fired from the presidency; such as Jean-Luc Ndong-Amvame, Park Sang Chul, Steed Rey, Arsène Emvahou, Frédéric Bongo etc.

 

In the sensitive sectors of the state apparatus, she also has put her safest auxiliaries: François-Auguste Akomezogho, former Director General of Taxes and now advisor to the Ministry of Public Works; Guy-Patrick Obiang Ndong, head of the Ministry of Health.

 

An army of consultants and lawyers, often Also Europeans, swarms around Sylvia Bongo and help her run the country.

 

For the media and sport, Sylvia Bongo can count on the Frenchman Sébastien Bottari, who organizes through his Swiss company Everest Media, three competitions in Gabon: the Gabon Marathon, 10 km in Port-Gentil, 10 km in Franceville, etc.

 

For business, she is closely linked to companies active in Gabon such as Bolloré, Olam, Perenco, Vivendi, Rougier, etc., which finance her by making up these endowments as contributions to the Sylvia Bongo Foundation.

 

Dear readers here is the portrait of our president. What else can we do!

 

 

 

 

 

Version française

 

Une publication très bien renseignée sur la françafrique établit l’analyse suivante : malgré le fait que la constitution gabonaise ne reconnaisse aucune disposition en la fonction de première dame du pays, force serait de constater que Sylvia est le centre nevralgique du pouvoir.

 

Se tenant à l’écart, tirant les ficelles à distance, elle interviendrait dans toutes les nominations importantes, tant à la présidence de la république, que dans les importants ministères,

 

La première ministre Rose-Christiane Ossouka-Raponda ne serait qu’une figurante tant l’influence de Sylvia Bongo sur le fonctionnement du gouvernement est énorme. De la présidence aux ministères, en passant par les prestataires du gouvernement, elle decide de tout, et son influence n'a fait que s'accroître depuis l'accident vasculaire qui a frappé Ali Bongo en 2018.

 

C’est elle qui dirige la communication presidentielle à travers le factutum Jessye Ella Ekogha. C’est elle qui a fait nommer Dominic Sudnik comme chargé de mission auprès d’Ali Bongo. C’est encore elle qui est responsable de la decision de confier la gestion du patrimoine financier du Gabon par les amis de son fils Noureddin, les frères Oceni.

 

Elle s’entoure aussi de dames de compagnie dont plusieurs ont même des titres officiels telles que Hawa Diarra et Murielle Ndong, respectivement Directrice et Cheffe de cabinet ; ou encore Betty Bongo, qui lui sert de courroie de transmission avec la famille Bongo-Ondimba.

 

Tous ceux qui n’étaient pas ses intimes ont été vires de la présidence ; tels que Jean-Luc Ndong-Amvame, Park Sang Chul, Steed Rey, Arsène Emvahou, Frédéric Bongo etc.

 

Dans les secteurs sensibles de l'appareil d'Etat, elle a aussi placé ses supplétifs les plus surs : de François-Auguste Akomezogho, ex-directeur général des impôts et désormais conseiller au ministère des travaux publics ; à Guy-Patrick Obiang Ndong, à la tête du ministère de la santé.

 

Une armée de consultants et d’avocats, souvent européens aussi fourmille autour de Sylvia Bongo et l’aide à diriger le pays.

 

Pour les media et le sport, Sylvia Bongo peut compter sur le Français Sébastien Bottari, qui organise par le biais de sa société suisse Everest Media, trois compétitions au Gabon : le Marathon du Gabon, 10 km de Port-Gentil, 10 km de Franceville, etc.

 

Pour les affaires, elle est très liée aux entreprises actives au Gabon comme Bolloré, Olam, Perenco, Vivendi, Rougier, etc., qui la financent en maquillant ces dotations comme des contributions à la fondation Sylvia Bongo.

 

Chers lecteurs voici le portrait de notre présidente. On va encore faire comment !