DAWRY DOES EXIST IN EUROPE; BUT IN OTHER FORMS! LA DOT EXISTE BEL ET BIEN EN EUROPE ; MAIS SOUS D’AUTRES FORMES !
Many Africans think that getting
married with a dowry is something typically and only African. Mistake, the
dowry is a universal tradition. It exists in all cultures and traditions on all
continents.
In the West, people are made
to believe that the dowry is long gone, as the idea that marriage and money can
be associated today offends sensibilities, because group think would like all
cultures to adopt the European and Western norm which is that of the supposed
gratuitousness of feelings of love. But the reality is that even in the West,
the dowry is still paid but in disguise.
The historical truth remains
that the changes in Western marriage practices are relatively recent. Indeed,
the dowry still has considerable social and economic importance in Europe
today. In France, for example, until the 1960s, women had to marry by bringing
a dowry. Today, if this practice is no longer so direct, the parents of the
brides or grooms, on one side or the other, make financial
"donations" to the new couple to help them start their life together,
which are nothing more or less than dowries in disguise.
Dear readers, let us refuse
from the outset to rush into a somewhat easy European ethnocentrism that tells
us that dowry as practiced by Africans is a barbaric phenomenon. Far from it; our
dowry is only a symbol of family consolidation and is dependent on the
recognition that the wife will enrich the husband's family and that in
recognition of this, gifts must be presented to the family that will be
amputated from their daughter. In the West, one of the families may decide to
contribute to the consolidation of the marriage of their daughter or son, by
offering them the down payment of the purchase of an apartment, the purchase of
a vehicle, the payment of honeymoon, etc., symbolizing the consolidation of
this couple whose balance and success will enrich both families.
Dear readers, our ancestors
were not crazy and when the West asks us to get rid of our traditions, agreeing
to do so is not always a good idea.
Version française
En occident, on fait croire aux gens que la dot
est révolue depuis longtemps, tant l'idée que l'on puisse associer mariage et
argent heurte aujourd'hui les sensibilités, car la pensée unique voudrait que
toutes les cultures adoptent la norme européenne et occidentale qui est celle de
la supposée gratuité des sentiments amoureux. Mais la réalité est que même en
occident, la dot se paie toujours mais de manière déguisée.
La vérité historique reste que les changements
dans les pratiques matrimoniales occidentales soient relativement récents. En effet,
la dot a aujourd’hui encore, une importance sociale et économique considérable en
Europe. En France par exemple, jusqu’à dans les années 1960, les femmes
devaient se marier en apportant une dot. Aujourd’hui si cette pratique n’est
plus aussi directe, les parents des mariées, d’un côté ou de l’autre, font des « dons »
financiers au nouveau couple pour les aider à commencer leur vie commune, qui
ne sont ni plus ni moins que des dots déguisées.
Chers lecteurs, refusons d'emblée de nous
engouffrer dans un ethnocentrisme européen un peu facile qui nous dit que la
dot telle que pratiquée par les Africains est un phénomène barbare. Loin de là ;
notre dot n’est qu’un symbole de la consolidation familiale et est tributaire
de la reconnaissance du fait que l’épouse va enrichir la famille de l’époux et
qu’en reconnaissance de cela, des présents doivent être présentés à la famille
qui se verra amputée de leur fille. En occident, l’une des familles peut décider
de contribuer à la consolidation du mariage de leur fille ou de leur fils, en
leur offrant l’apport personnel de l’achat d’un appartement, l’achat d’un véhicule,
le paiement de vacances de noces, etc., symbolisant la consolidation de ce
couple dont l’équilibre et le succès viendra enrichir les deux familles.
Chers lecteurs, nos ancêtres n’étaient pas des
fous et quand l’occident nous demande de nous débarrasser de nos traditions, accepter
de le faire n’est pas toujours une bonne idée.
" M. grandet est devenu l’homme le plus riche du district de Saumur en rachetant les terres du clergé, et il souhaite marier sa fille (Eugénie) à un bon parti afin d’obtenir une dot importante ..." ceci est lié à un roman de Balzac - lecture obligatoire en classe de 3 ième au Gabon au Lycée.
ReplyDeleteNos magistrats, et nos gouvernants sont connectés à une réalité.
Peu importe LES évidences, ils et elles posent des actes DESTRUCTEURS car c'est leur réalité.
Exactement, merci
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