DINA’S MURDER, THE TURKISH GOVERNMENT TRIES TO INTIMIDATE JOURNALISTS AND THUS COVER UP THE TRUTH! ASSASSINAT DE DINA, LE GOUVERNEMENT TURC ESSAIE D’INTIMIDER LES JOURNALISTES ET DONC D’ÉTOUFFER LA VÉRITÉ !
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Traduction française
L’énigme de la détention
à Karabük ! Les journalistes couvrant l’enquête de Dina la Gabonaise sont
libres
Ali Sencer Arslan,
caméraman de la DHA, et Murat Özelci, reporter de BRTV, qui ont rapporté les
dernières images de la ressortissante Gabonaise Jeannah Danys Dinabongho
Ibouanga, dont le corps sans vie a été retrouvé dans la rivière Filyos à
Karabük, ont été placés en détention.
Arslan et Özelci étaient
entré dans un restaurant pour manger à Karabük et des policiers en civil sont
venus vers eux. Les journalistes ont été emmenés au poste de police pour
recueillir leurs déclarations. La raison de la détention d’Arslan et d’Özelci
n’a pas pu être connue.
D’autre part, alors que
le voile du secret sur la mort continuait à être entretenue, les dernières
images de Dina ont été diffusés et elle a été vue en train de courir pieds nus
dans la rue.
POUR LE BUREAU DU
PROCUREUR : IL N’Y A PAS EU D’ARRESTATIONS
Une déclaration est venue
du bureau du procureur général de Karabük au sujet de l’incident. Le bureau du
procureur a affirmé que les journalistes n’avaient pas été arrêtés.
Il est devenu nécessaire
de faire cette déclaration afin d’informer le public des allégations dans
certains organes de presse selon lesquelles un journaliste aurait été détenu
par le parquet général de Karabük.
Le 26 mars 2023, une
décision de confidentialité a été prise par le tribunal pénal de paix de
Karabük dans le dossier d’enquête concernant le décès d’une étudiante étrangère
dans la province de Karabük. Bien que la décision de confidentialité ait été
connue du journaliste concerné, il a été inculpé en vertu de l’article 285 du
Code pénal turc au motif qu’il avait violé le secret de l’enquête en accédant à
certaines images en disant qu’il avait l’autorisation du procureur.
Conformément à l’article, la défense du journaliste en question en tant que
suspect a été considérée et aucune décision de détention n’a été prise.
POUR LE JOURNALISTE
ARSLAN: LA DÉTENTION A BEL ET BIEN EU LIEU
Dans sa déclaration après
la détention, Arslan a affirmé qu’ils avaient été placés en détention et a
déclaré :
« Nous avons été
placés en garde à vue au motif que nos nouvelles d’aujourd’hui violaient
l’enquête. Cependant, ils nous ont dit au préalable qu’ils nous avaient invités
à les rencontrer au poste de police, qu’ils nous y invitaient pour discuter.
Lorsque nous sommes arrivés à la police, nous avons appris que nous devions être
détenus. Après avoir fait notre déposition, nous avons été libérés. »
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