ALI BONGO PLAN TO USE THE TERRORIST THREAT TO REMAIN IN POWER. ALI BONGO COMPTE UTILISER LA MENACE TERRORISTE POUR SE MAINTENIR AU POUVOIR

Military vehicles sent by Ali Bongo in Woleu-Ntem
Des véhicules militaires envoyés par Ali Bongo dans le Woleu-Ntem



English version

For some time an intense military activity has been noted in Woleu-Ntem. Concordant testimonies indicate that Ali Bongo’s regime would have introduced weapons and mercenaries in that province. When we add to this the fact that in articles scattered in the Western press by his lobbying firms, Ali Bongo who cannot brag about his economic record, speaks only of the terrorist threat to Gabon; the question to ask dear readers, is why does he do this?

We on this blog, think that to attempt to save his power, Ali Bongo is trying to position himself to the West as the guarantor of security in Central Africa, by exploiting the fear of terrorism to sterilize the political debate and make the international community to give him carte blanche to use repression to get rid of this threat, you can imagine, will be described by the regime as being facilitated by the opposition.

Knowing that his record is unacceptably shabby, Ali Bongo appears to have decided to use the threat of terrorism as an instrument that could help him achieve a fixed political objective: to preserve his power by engaging in a brutal and savage repression.

It is clear that Ali Bongo would want to use the concept of terrorism to stigmatize his opponents and impose a quasi-state of emergency in the country. In view of what is reported in Woleu-Ntem, it can be inferred that Ali Bongo would foment terrorism, behind the scenes, which would enable him to launch an assault on opponents who want to rob him of "HIS" power.

The strategy of Ali Bongo is very simple: to create fear in Woleu-Ntem, use it to the maximum, boost it to derive political benefit consisting for Ali Bongo to promise that only he could stop the terrorists and for that he must be granted unique powers.

Machiavelli wrote in "The Prince": "to keep men in fear is to keep them under great power." Machiavelli wrote that the prince should be feared, but still should not be hated. If he is hated, he turns the people against him, if he is only feared, he maintains his authority and power. Machiavelli said that a people kept in fear remains quiet. They do not dare oppose the power. But a people who abhor their sovereign will want to overthrow him and will follow those who lead the revolt. Ali Bongo wants therefore to manipulate the insecurity and use fear to legitimize his power; to be feared while presenting himself as the protector of the Gabonese people.

A terrorist attack in the north will give Ali Bongo an unexpected opportunity to ensure the continuity of his regime, by using fear; because terrorism is an inexhaustible source of potential dangers that create a strong feeling of insecurity within populations. The fight against terrorism could become for Ali Bongo, the preferred vehicle to maintain the population in a state of submission. Ali Bongo knows that fear is the only way to convince Western powers reluctant to give him their full support. He wants to distract the international community from his untenable economic record, and his unpopularity.

Ali Bongo thinks that the terrorist threat will make people forget the unemployment and job insecurity, and convince the international community to support him because it would need him to fight against terrorism. We must be prepared to defeat this plan of the regime to create terrorist violence in northern Gabon to create a psychosis that Ali Bongo would use to try to stay in power.




Version française

Depuis quelques temps on remarque une intense activité militaire dans le Woleu-Ntem. Des témoignages concordant indiquent que le régime Ali Bongo aurait fait rentrer des armes et des mercenaires dans cette province. Quand on ajoute à cela le fait que dans des articles disséminés dans la presse occidentale par ses cabinets de lobbying, Ali Bongo ne pouvant vanter son bilan économique, ne parle que de la menace terroriste qui pèse sur le Gabon ; la question qu’il faut se poser chers lecteurs, est de savoir pourquoi le fait-il ?

Nous sur ce blog, pensons que pour tenter de sauver son pouvoir, Ali Bongo essaie de se présenter aux occidentaux comme gage sécuritaire en Afrique Centrale, en instrumentalisant la peur du terrorisme pour stériliser le débat politique et faire en sorte que l’opinion internationale lui donne carte blanche pour utiliser la répression pour se débarrasser de cette menace qui, vous vous en doutez, sera décrite par le pouvoir comme étant facilitée par l’opposition.

Sachant que son bilan soit inadmissiblement minable, Ali Bongo semble avoir décidé de se servir de la menace terroriste comme instrument pouvant l’aider à atteindre un objectif politique déterminé : celui de conserver son pouvoir en se livrant à une répression sauvage et brutale.

Il est clair qu’Ali Bongo veuille utiliser le concept du terrorisme pour stigmatiser ses opposants, et imposer un quasi état d’urgence dans le pays. Au vu de ce qui se signale au Woleu-Ntem, on peut en déduire qu’Ali Bongo voudrait fomenter des actes de terrorisme, en coulisses, qui lui permettraient de se lancer à l’assaut des opposants qui veulent lui ravir « SON » pouvoir.

La stratégie d’Ali Bongo est très simple : créer la peur dans la Woleu-Ntem, l’utiliser, l’amplifier au maximum pour en tirer un bénéfice politique consistant pour Ali Bongo de promettre que seul lui puisse arrêter les terroristes et pour cela, il faille lui accorder des pouvoirs uniques.

Machiavel écrit dans « Le Prince » : « Maintenir les hommes dans la peur, c’est les maintenir sous un grand pouvoir. » Machiavel écrit que le prince doit être craint, mais cependant ne doit pas être haï. S’il est haï, il retourne le peuple contre lui, s’il est seulement craint, il maintient son autorité et son pouvoir. Machiavel dit qu’un peuple maintenu dans la peur reste tranquille. Il n’ose plus s’opposer au pouvoir. Mais un peuple qui abhorre son souverain voudra le renverser et il suivra ceux qui le conduiront à la révolte. Ali Bongo veut donc manipuler l’insécurité et utiliser la peur pour légitimer son pouvoir ; pour être craint tout en se présentant comme le protecteur des Gabonais.

Une attaque terroriste dans le nord du pays fournirait à Ali Bongo l’occasion inespérée d’assurer la pérennité de son régime, par la peur ; car le terrorisme est une source inépuisable de dangers potentiels qui créent un fort sentiment d’insécurité dans les populations. La lutte contre le terrorisme pourrait devenir pour Ali Bongo, le véhicule privilégié pour maintenir les populations en état de soumission. Ali Bongo sait que la peur soit le seul moyen de convaincre les régimes occidentaux réticents à lui accorder leur soutien inconditionnel. Il veut détourner l’attention de la communauté internationale de son bilan économique indéfendable, et de son impopularité.

Ali Bongo pense que la menace terroriste fera oublier aux gens le chômage et la précarité, et convaincra la communauté internationale de le soutenir car elle aurait besoin de lui pour lutter contre le terrorisme. Nous devons nous préparer à faire échec à ce plan du régime de créer des violences terroristes dans le nord du Gabon pour créer une psychose dont Ali Bongo se servirait pour tenter de se maintenir au pouvoir.

Comments

  1. la communauté internationale s'en fout des peuples africains ! ils soutiendront Ali pour leurs intérets et la richesse du Gabon;Ali n'a pas besoin de parler de terrorisme pour avoir le soutien de l'occident.nous devons craindre pour nos propres vies.les mercenaires seront dans le nord pour surveiller MINKEBE et pour tuer les populations dans les forets si jamais ils s'opposaient à son projet de truquer les élections dans le woleu-ntem!

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  2. Possible, votre propos est valide.

    Merci

    Charlie

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