CONTRARY TO GABON, IN SOUTH AFRICA, NO ONE ASKED FOR A DIALOGUE WITH JACOB ZUMA. CONTRAIREMENT AU GABON, EN AFRIQUE DU SUD, PERSONNE N’A DEMANDÉ DE DIALOGUE AVEC JACOB ZUMA

English version

As the people of South Africa had wanted, Jacob Zuma has resigned as president. People are saying “good riddance” and unlike what is happening in Gabon, no one ever asked for a dialogue with Jacob Zuma to resolve the crisis. People wanted one thing, his resignation; and that is what they got.

The South African activists and politicians were relentless in asking for Zuma’s resignation, because they wanted to put an end to his presidency that has been mired in scandals and corruption. They said that their country deserved better and they constitutionally obtained that resignation.

While Zuma did not agree with the people’s decision, he had no choice but to resign, because South Africa is a true democracy and the people have sovereignty. In such a system, unlike what is going on in Gabon, a single individual cannot be allowed to indefinitely do untold harm to the country.

On Ali Bongo’s watch in Gabon for example, more people are unemployed than ever before, and more people live in poverty. He steals elections and has killed a number of Gabonese citizens who were asking for their vote to be counted (see the list above); yet he is still in power and some opposition leaders are even asking for a dialogue with him to patch things up and resolve the crisis.

Meanwhile, on Jacob Zuma’s watch, corruption and graft of state funds was uncovered. This was enough for the people to ask for his resignation; and no one asked for a dialogue with Zuma so he could stay in power.

In Gabon, a dictatorship, Ali Bongo and Mborantsuo only have disdain for the will of the people. In a democracy such as South Africa, the will of the people is sacred.

We will not give up!

Traduction française

Comme le souhaitait le peuple Sud-Africain, Jacob Zuma a démissionné de son poste de Président. Les gens disent "bon débarras" et contrairement à ce qui se passe au Gabon, personne n'a jamais demandé un dialogue avec Jacob Zuma pour résoudre la crise. Les gens ne voulaient qu’une chose, sa démission; et c'est ce qu'ils ont obtenue.

Les activistes et les politiciens Sud-Africains ont implacablement demandé la démission de Zuma, parce qu'ils voulaient mettre un terme à sa présidence embourbée dans des scandales et affaires de corruption. Ils disaient que leur pays méritait mieux et ils ont obtenu cette démission sur une base constitutionnelle.

Alors que Zuma n'était pas d'accord avec la décision du peuple, il n'avait d'autre choix que de démissionner, car l'Afrique du Sud est une véritable démocratie et le peuple est souverain. Dans un tel système, contrairement à ce qui se passe au Gabon, un seul individu ne peut pas continuer à faire indéfiniment des torts incalculables au pays.

Sous la présidence d'Ali Bongo au Gabon par exemple, plus de Gabonais sont au chômage que jamais auparavant, et plus de Gabonais vivent dans la pauvreté. Il truque les élections et a tué un certain nombre de citoyens gabonais qui ne demandaient que leur vote soit respecté (voir la liste ci-dessus); Pourtant, il est toujours au pouvoir et certains dirigeants de l'opposition demandent même un dialogue avec lui pour arranger les choses et résoudre la crise.

Pendant ce temps, sous le magistère de Jacob Zuma, des affaires de corruption et détournements des fonds publics furent découvertes. C'en etait assez pour que le peuple demande sa démission; et personne n'a souhaité un dialogue avec Zuma pour permettre à ce dernier de rester au pouvoir.

Au Gabon, une dictature, Ali Bongo et Mborantsuo n'ont que du dédain pour la volonté du peuple. Dans une démocratie comme l'Afrique du Sud, la volonté du peuple est sacrée.

On ne lâche rien !