AS ONE OF OUR READERS SAYS: « WHAT IS BEING PLAYED WITH OLAM IS SAD ». COMME DIT UN DE NOS LECTEURS: « CE QUI SE JOUE AVEC OLAM EST DÉSOLANT !»
English version
According to our readers, what has just happened with OLAM is very sad. The details will eventually come out. Much money would have been distributed to soften some of our irreducibles of yesteryears.
A very wise reader points out the following points:
1. The methodology described in the report does not include any economic impact analysis model used to determine the actual impact of these activities on the economy.
2. There are only descriptive data; hence, did the government authorities refuse to provide certain information about OLAM's activities?
3. Another curiosity is that there were no thanks by the author, for the financing of the study; at the beginning of the report as is usually in this case. It looks like there is some discomfort. Yet, for McKinsey's analysis, it was clear that it was the Gabonese State that commissioned and paid for the study on poverty in Gabon.
4. Why would our brothers not clearly and openly say who commissioned the study? They did not get up one morning and decide to do a study on OLAM by charity, to educate the people.
5. Why did these brothers decide to soil their own credibility like this? The financial compensation must logically have been worth the effort.
Dear readers, we will not give up!
Version française
D’après nos lecteurs, ce qui vient de se passer avec OLAM est très triste. Les détails finiront par sortir. Beaucoup d'argent aurait été distribué pour ramollir certains de nos irréductibles d’hier.
Un lecteur très avisé nous fait remarquer les points suivants :
1. La méthodologie décrite dans le rapport ne comporte aucun modèle d'analyse d'impact économique utilisé pour déterminer l'impact réelle des activités sur l'économie.
2. On n’y trouve que des données descriptives ; d’où la question de savoir si les autorités gouvernementales ont refusé de communiquer certaines informations sur les activités d’OLAM?
3. Autre curiosité, il n’y a pas eu de remerciements fait par l’auteur, pour le financement de l'étude ; au début du rapport comme est généralement d’usage. On dirait qu’il y a une certaine gêne. Pourtant, pour l'analyse du cabinet McKinsey, il était bien clair que c’est l'Etat gabonais qui avait commandé et payé l'étude sur la pauvreté au Gabon.
4. Pourquoi nos frères ne disent pas clairement et ouvertement qui a commandé l'étude? Ils ne se sont pas levés un beau matin et auraient décidé de faire une étude sur OLAM par charité, pour éduquer le peuple.
5. Pourquoi ces frères ont décidé de salir autant leur propre crédibilité? La compensation financière devait logiquement en valoir la chandelle.
Chers lecteurs, nous ne lâcherons rien !
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