IN GABON, THERE IS NEVER SMOKE WITHOUT FIRE. AU GABON IL N’YA JAMAIS DE FUMÉE SANS FEU
English version
Olam is performing miracles in Gabon; this is what we can learn from the study commissioned by the regime to our friend Mays-Mouissi. There are no other conclusions to come to when we read the rendering summary provided by Gabonreview.
We do not accuse Mays-Mouissi of anything. The report is simply implacable; his study, which was attended by the entire regime’s upper echelon, caresses Olam. This is a study commissioned by Olam and which the Ali Bongo’s bots relayed in real time on the internet.
We will not talk much but history tells us that in Gabon, when the behavior of men and women defies your logic and the one they have accustomed you to have about them, they have often found a fording for crossing. It is now necessary to listen to them with the third ear and to look at them with the third eye.
Who contacted Mays-Mouissi for this contract? Why was he chosen and not one of the many regime’ sycophants who would have taken pleasure in telling us that Olam was a divine enterprise? Why put Marc Ona on an economic platform that rehabilitates a company decried in Gabon? Who are they trying to influence? Who benefits from the crime? As would have said in his incomparable voice, the late Pierre Bellemare?
In the coming weeks we may become aware of the "Bantu" economic analysis that advocates conciliation and numerical appeasement.
For us, meanwhile, we will not give up!
Traduction française
Olam fait des miracles au Gabon, voici ce qu’on peut retenir de l’étude commandée par le régime à notre ami Mays-Mouissi. Il n’y a pas d’autres conclusions quand on lit le rendu qu’en a fait Gabonreview.
Nous n’accusons Mays-Mouissi de rien du tout. Le constat est simplement implacable ; son étude à laquelle assistait tout le gratin du régime, caresse Olam dans le sens du poil. C’est une étude qui lui a été commandée par Olam et les bots d’Ali Bongo l’on relayé en temps réel sur internet.
Nous ne parlerons pas beaucoup mais l’histoire nous apprend qu’au Gabon, quand le comportement des hommes et des femmes défi votre logique et celle à laquelle ils vous ont habituée, c’est qu’ils ont souvent trouvé un gué pour la traversée. Il faut désormais les écouter avec la troisième oreille et les regarder avec le troisième œil.
Qui a contacté Mays-Mouissi pour ce marché ? Pourquoi a-t-il été choisi et pas un des nombreux supplétifs du régime qui se serait fait un malin plaisir à nous dire qu’Olam est une entreprise divine? Pourquoi mettre Marc Ona sur un plateau économique qui réhabilite une entreprise décriée au Gabon ? Qui cherche-t-on à influencer ? A qui profite le crime ? Comme l’aurait dit dans son inégalable voix, le regretté Pierre Bellemare ?
Dans les prochaines semaines nous aurons peut-être connaissance de l’analyse économique « bantou » qui prône la conciliation et les rapprochements chiffrés.
Nous, pendant ce temps-là, on ne lâche rien !
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