THE SCHOOL BENCH, THIS SYMBOL THAT HAS BEEN DELIBERATELY DEVALUED IN GABON. LE TABLE-BANC, CE SYMBOLE QU’ON A VOLONTAIREMENT DÉVALORISÉ AU GABON








English version

Until the end of the 1970s, that is to say the period during which Omar Bongo had not yet made irreparable damage to Gabon, we observed the following:

1. All schools in Gabon were equipped with the same types of benches, made to accommodate two pupils. The child who was at the Saint Joseph School in Libreville, at the Libreville Urban School, at the Akebe Ville Public School, or at the Gamba Public School, sat exactly on the same benches.

2. Studies in halftimes were virtually unknown in Gabon.

3. Whether children were in private Catholic schools, in state schools or in public schools, education was free because it was 100% subsidized by the state.

4. All schools were accredited and there was no proliferation of questionable schools.

5. School supplies were distributed free of charge to students at the beginning of the year.

6. Any Gabonese student who obtained the baccalaureate had a scholarship and the cycles were well regulated. After a law degree in Gabon, one knew where to go do their master's degree in France and then their doctorate. It was automatic. In these conditions, the cheating was minimal since the students were generally treated the same way (except if one was called Mborantsuo of course).

Dear readers, we can continue to give you examples that would make you cry. Today, with all the wood in Gabon, there are not enough benches in the classrooms. The facts are clear, the Bongos have deliberately killed Gabonese education because a population of educated Gabonese would have been quite harmful to them.

Today, the Gabonese school is in a very bad shape. Some even say that it is dying. This is done on purpose !


We will not give up





Version française

Jusqu’à la fin des années 70, c’est-à-dire la période pendant laquelle Omar Bongo n’avait pas encore fait d’irréparables dégâts au Gabon, on observait ceci :

1. Toutes les écoles du Gabon étaient équipées de mêmes types de table-bancs, a buvard, fait pour accommoder deux élèves. L’enfant qui était à l’école Saint Joseph de Libreville, à l’école Urbaine de Libreville, à l’Ecole publique d’Akébé Ville, ou à l’Ecole Publique de Gamba était assis exactement sur les mêmes table-bancs.

2. La mi-temps était pratiquement inconnue au Gabon.

3. Que les enfants soient dans les écoles privées catholiques, dans les écoles conventionnées ou dans les écoles publiques, l’enseignement était gratis car subventionné à 100% par l’Etat.

4. Toutes les écoles étaient agréées et il n’y avait pas de prolifération d’écoles douteuses.

5. Les fournitures scolaires étaient distribuées gratuitement aux élèves en début d’années.

6. Tout élève Gabonais qui obtenait le bac avait la bourse et les cycles étaient bien régulés. Après une licence en droit au Gabon, on savait où on devait aller faire sa maitrise en France puis son doctorat. C’était automatique. Dans ces conditions, les passe-droits étaient minimaux vu que les étudiants étaient généralement logés à la même enseigne (sauf si on s’appelait Mborantsuo évidement).

Chers lecteurs, nous pourrons continuer à vous citer des exemples qui vous feraient pleurer. Aujourd’hui, avec tout le bois qu’il y a au Gabon, il n'y a pas assez de table-bancs dans les salles de classe. La sentence est claire, les Bongo ont délibérément tué l’éducation Gabonaise car une population de Gabonais éduqués leur aurait été assez néfaste.

Aujourd’hui, l'école gabonaise va très mal. Certains la donne même agonisante. C’est fait exprès !


On ne lâche rien !

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