ALI BONGO’S CROCODILE TEARS REGARDING GABONESE EDUCATION. LES LARMES DE CROCODILE D’ALI BONGO AU SUJET DE L’ÉDUCATION GABONAISE
English version
Ali Bongo has just declared that Gabonese education today is devastated. Well, after 50 years in power here is what the regime he embodies has made of the country.
For 50 years, this regime has been promoting debauchery and laziness. All the strong academics were systematically fought, to make room for yes men who like parrots, repeated to their students what regime wanted them to consider important.
30 or 40 years ago, all young Gabonese wanted to become technocrats or academics; because they were very respected by society. But little by little, Omar Bongo killed this desire for competence by promoting mediocrity and favoritism at all levels. This one was appointed minister in a sensitive field such as finance, industry, petroleum, energy, health or education, etc.; while they had no qualifications apart from being a relative of the Bongo family, or zealously wearing the Bongo shirt.
It became more important to campaign or rather to make noise on one’s attachment to the Bongos to be noticed, than to have useful skills for the country. The result of such a regime over the years? Zero!
The people who run Gabon today; we are talking about the hard core of the regime, have no ability to run the country. Put these people in a competitive environment, they would occupy the last places. Their only weapon is often griotism.
That Gabonese national education today is a disaster is only the consequence of this poor governance, and is obvious. The culprits of this situation are known. Ali Bongo just needs to look at himself in the mirror!
We will not give up!
Version française
Ali Bongo vient de déclarer que l’éducation gabonaise était aujourd‘hui sinistrée. Ben, après 50 ans de pouvoir voici ce que le régime qu’il incarne a fait du pays.
Depuis 50 ans, ce pouvoir fait la promotion de la débauche et du moindre effort. Tous les universitaires à poigne ont été systématiquement combattus, pour faire la place à des béni-oui-oui qui comme des perroquets, répétaient à leurs étudiants ce que régime voulait qu’ils considèrent comme étant important.
Il y a 30 ou 40 ans, tous les jeunes Gabonais voulaient devenir technocrates ou universitaires ; car ces derniers étaient très respectés par la société. Mais petit à petit, Omar Bongo a tué ce désir de compétence en faisant la promotion de la médiocrité et du favoritisme à tous les niveaux. Un tel fut nommé ministre dans un domaine sensible comme les finances, l’industrie, le pétrole, l’énergie, la santé ou l’éducation, etc. ; alors qu’il n’avait aucune qualification en dehors d’être un parent de la famille Bongo, ou de porter a zèle la chemise Bongo.
Il devint plus important de militer ou plutôt de faire du bruit sur son attachement aux Bongo pour se faire remarquer, que d’avoir des compétences utiles pour le pays. Le résultat d’un tel régime au fil des années ? Zéro !
Les gens qui dirigent le Gabon aujourd’hui ; nous parlons du noyau dur du régime, n’ont aucune capacité à diriger le pays. Mettez ces gens dans un environnement compétitif, ils occuperaient les dernières places. Leur unique fait d’arme est souvent le griotisme.
Que l’éducation nationale gabonaise soit aujourd’hui sinistrée n’est que la conséquence de cette mal gouvernance, est un évidence. Les coupables de cette situation sont connus. Il suffit à Ali Bongo de se regarder dans la glace !
On ne lâche rien !
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