THESE WOMEN WHO EMBODY THE DICTATORSHIP. CES FEMMES QUI INCARNENT LA DICTATURE

English version

Recently, was celebrated in Libreville the International Day of African Women. As shown in the photo above, these women who participated in this bullshit met around Marie Madeleine Mborantsuo. What a symbol!

When we know all the harm that women like Mborantsuo do to Africans in general and to Gabonese in particular, regarding the suppression of the truth and the trampling of the dignity of the people, we wonder what victim of the Bongo’s dictatorship would go to feast with the executioners such as Mborantsuos.

For many Gabonese women, Mborantsuo is synonymous with the suffering endured by the people since 1993, that is to say for 25 years.

Much physical, psychological or even professional violence, inflicted on Gabonese by this regime which exploit feminine vulnerabilities: the sofa promotions sofas (or Mborantsuo promotions), forced kounabelism etc.

Much moral tortures inflicted to the girls that members of the regime target as prey for their beds. So many degradation they have subjected upon the Gabonese woman they claim to celebrate today.

No, we will not give up!

Version française

Récemment se célébrait à Libreville la journée internationale de la femme Africaine. Comme le montre la photo ci-dessus, ces les femmes qui ont participé à cette connerie se sont retrouvées autour de Marie Madeleine Mborantsuo. Tout un symbole !

Quand on sait tout le mal que des femmes comme Mborantsuo font à l’Afrique en général et au Gabon en particulier, au sujet de la suppression de la vérité et du piétinage de la dignité des peuple, on se demande bien quelle victime de la dictature des Bongo irait festoyer avec les bourreaux que sont les Mborantsuo.

Pour de nombreuses femmes Gabonaises, Mborantsuo est synonyme des souffrances endurées par le peuple depuis 1993, c’est-à-dire 25 ans.

Que de violences physiques, psychologiques ou même professionnelles, infligées aux Gabonaises par ce régime qui table sur les vulnérabilités féminines : les promotions canapés (ou promotions Mborantsuo), le kounabelisme forcé etc.

Que de tortures morales faites aux jeunes filles que les membres du régime ciblent comme proies pour ébats. Quelle dégradation n’ont-ils pas subir a la femme gabonaise qu’ils prétendent célébrer aujourd’hui ?

Non, on ne lâche rien !