ALI BONGO SAID IN A SPEECH THAT POLITICS IS NOT WAR; SO, WHY IS HE SENDING SOLDIERS TO TRY TO INTIMIDATE THE OPPOSITION? ALI BONGO A DIT DANS UN DISCOURS, QUE LA POLITIQUE N’ETAIT PAS LA GUERRE ; ALORS, POURQUOI ENVOIE-T-IL LES MILITAIRES TENTER D’INTIMIDER L’OPPOSITION ?

The Gabonese military blocking roads to prevent opposition rallies against the Bongo regime
L’armée gabonaise bloquant les rues pour empêcher les manifestations de l’opposition contre le régime Bongo






English version

In a propaganda speech by Ali Bongo, made in Ntoum which is a small town located about 40 km from Libreville, Ali Bongo said the following regarding the upcoming legislative elections:
"This is not war and it is freely that you should choose the parliamentary candidates. Your voice is important; no one should intimidate you and tell you not to vote."
The speech was televised on Gabonese television channels and it is obvious that Ali Bongo was talking to his partisans. But the hypocrisy and contradiction becomes unbearable when one discovered that the same Ali Bongo has consistently sent military forces to try to prevent the opposition and the members of the movement “Ça Suffit Comme Ça”, from exercising their rights to free speech and to free assembly. It is clear that for Ali Bongo, only the PDG and its satellites have the privilege of these rights and the opposition must be tamed via military boots.

Once more, Ali Bongo is caught in a lie, because he says one thing and does the opposite. Because Gabonese security forces directly following Ali Bongo’s orders, have consistently attempted to undermine if not block opposition rallies called to protest the regime's handling of coming parliamentary elections, it can be concluded that the regime is maintaining a climate of fear and intimidation in a segment of the population it considers not aligned behind its ideas. This is a classic example of the modus operandi always found in totalitarian regimes. Opposition supporters can plan to hold a protest at a given location, but invariably, military and paramilitary forces would try to prevent them from gathering and exercising their rights as citizens. The same obstructive tactics are never observed when members of the PDG organize their political rallies. But if a coalition of opposition groups and members of the civil society try to organize to prevent Ali Bongo and his henchmen from rigging elections, then the military is deployed to intimidate them.

How can Gabon be considered to respect human rights, when the military is trying to block peaceful citizens from exercising their freedom and asking for free and fair elections? It is worth noting that these activities by the opposition are being conducted within the law. These events clearly indicate that the Bongo regime is afraid of the powerful message of the opposition and the movement “Ça Suffit Comme Ça”. The regime is afraid that the Gabonese population would start forming opinions that may be challenge Ali Bongo presidency and start demanding that a limit be put to his regime. Whatever Ali Bongo and his military are trying to achieve by trying to intimidate the people, this blog feels that a serious acceleration of events may be at work in Gabon and that those in power might find themselves very soon in the irreversible position of a fallen regime; meaning a regime that is impossible to sustain its existence. The starting point is for the Gabonese public to clearly state and manifest the view that it has no intention whatsoever in keeping Ali Bongo in power.

So goes Gabon



Version française


Dans un discours de propagande prononcé à Ntoum, qui est une petite ville située à environ 40 km de Libreville ; Ali Bongo a déclaré ce qui suit concernant les prochaines élections législatives:
"Ce n'est pas la guerre et c'est librement que vous allez choisir les candidats aux élections législatives, Votre voix est importante, personne ne doit vous intimider et vous dire de ne pas aller voter."
Ce discours a été retransmis sur les chaînes de télévision gabonaises et il est évident qu’Ali Bongo s’adressait à ses partisans. Mais l'hypocrisie et la contradiction deviennent insupportable quand on sait que le même Ali Bongo envoie continuellement les forces militaires pour tenter d'empêcher l'opposition et les membres du mouvement "Ça suffit Comme Ça", d'exercer leurs droits à la liberté d'expression et d’association. Il est clair que pour Ali Bongo, seul le PDG et ses satellites ont le privilège de ces droits et l'opposition doit être apprivoisée par le truchement des bottes militaires.

Une fois de plus, le mensonge d’Ali Bongo est exposé, parce qu'il dit une chose et fait son contraire. Parce que les forces de sécurité gabonaises suivant directement les ordres d'Ali Bongo, tentent systématiquement de miner, quand elles ne bloquent pas, les rassemblements de l'opposition ayant pour but de protester contre la manipulation par le régime, des prochaines élections législatives, on peut conclure que le régime instaure un climat de peur et d'intimidation dans un segment de la population qu'il ne considère pas aligné derrière lui. Ceci est un exemple classique du mode opératoire que l’on retrouve toujours chez les régimes totalitaires. Les partisans de l'opposition peuvent se préparer à organiser une manifestation à un endroit donné, mais invariablement, les forces militaires et paramilitaires seraient envoyées pour essayer de les empêcher de se réunir et d'exercer leurs droits de citoyens. Les mêmes tactiques obstructives ne sont jamais observées lorsque les membres du PDG organisent leurs meetings politiques. Mais si une coalition de groupes d'opposition et des membres de la société civile tente de s'organiser pour empêcher Ali Bongo et ses guignols de truquer les élections, l'armée est déployée pour tenter de les intimider.

Comment peut-on considérer que le Gabon de respecte les droits de l’homme, lorsque l'armée tente d’empêcher de paisibles citoyens d'exercer leur liberté et demander la tenue d'élections libres et transparentes? Il est à noter que ces activités par l'opposition sont menées en accord avec la loi. Ces événements indiquent clairement que le régime Bongo a peur du puissant message de l'opposition et du mouvement "Ça suffit Comme Ça". Le régime a peur que la population gabonaise commence à se former des opinions qui peuvent à terme défier la présidence d’Ali Bongo et exiger qu’une limite soit imposée à son régime. Quel que soit ce que fassent Ali Bongo et ses militaires en tentant d'intimider les gens, ce blog est d'avis qu’une accélération d’événements est peut-être en cours au Gabon et que ceux au pouvoir pourraient se retrouver très bientôt dans la situation irréversible d'un régime destiné à la déchéance ; ce qui signifie un régime qui trouverait le maintien de son existence impossible. Le point de départ est pour le public gabonais d’énoncer clairement et de manifester l'opinion qu'il n'a aucune intention de garder Ali Bongo au pouvoir.

Ainsi va le Gabon

Comments

  1. Halo, je suis Helena Julio de l'Équateur, je veux bien parler de M. Benjamin sur ce sujet. me donne un soutien financier lorsque toutes les banques de ma ville ont refusé ma demande de m'accorder un prêt de 500000,00 USD, j'ai essayé tout ce que j'ai pu pour obtenir un prêt de mes banques ici en Équateur mais elles m'ont toutes refusé parce que mon crédit était faible mais avec la grâce de Dieu, j'ai appris l'existence de M. Benjamin alors j'ai décidé d'essayer de demander le prêt. si Dieu le veut, ils m'accordent un prêt de 500 000,00 USD la demande de prêt pour laquelle mes banques ici en Equateur m'ont refusé, c'était vraiment génial de faire affaire avec eux et mon entreprise va bien maintenant. Contactez-nous par e-mail / WhatsApp si vous souhaitez leur demander un prêt. 247officedept@gmail.com Contact WhatsApp: + 1-989-394-3740.

    ReplyDelete

Post a Comment

Popular posts from this blog

GAGAN GUPTA’S MASTERFUL TRICK! LA MAGISTRALE ENTOURLOUPE DE GAGAN GUPTA !