A NEW CAPTAIN ON THE TITANIC THAT IS THE 2012 AFRICAN CUP OF NATIONS IN GABON. UN NOUVEAU CAPITAINE SUR LE TITANIC QU’EST LA COUPE D’AFRIQUE DES NATIONS 2012 AU GABON

Jules Ogouebandja



English version

All is not well in the Bongos paradise. At about 50 days from the start of the CAN 2012, Ali Bongo has decided that because every dress rehearsal seems to indicate that Gabon is in no way and no how ready to host this event, the problem must be the person at the head of the organizing committee, poor Jules Ogouebandja. This organizing committee, also called COCAN, has had 3 leaders in one year, not exactly a sign of confidence from team Ali Bongo. With only 50 days, before hitting the iceberg in January 2012, the solution for Ali Bongo is to appoint another mafia boss of the Bongo family business, Christian Kerangall, to run this organization committee.

What is funny, is that Ali Bongo and his henchmen have been trying to tell the Gabonese people that the iceberg was not there, that it was not visible, that their project of CAN 2012 like was said for the Titanic, was unsinkable; that all the constructions were successful, that everything was built on time and successfully and so on and so forth. But the Gabonese people saw that the first test against Brazil was an utter disaster, an embarrassment. Then the second test against a Chinese team was even worse because the Gabonese people stayed home and did not go to the stadium. However, instead of asking the real questions and looking at the real lessons from his own incompetence, Ali Bongo decided to scapegoat Jules Ogouebanja. But it is not Jules Ogouebandja who messed up the field of that stadium. It was the Chinese company and the “infamous” quality control group that is led by Bechtel and is being paid billions of CFA to audit these work sites, what did they do? Why didn’t the experts from Bechtel know that the electricity was a liability at that stadium? Who is going to fire the Chinese company or Bechtel? Nobody!

Everything that is happening right now for CAN 2012, we had predicted it on this blog. But like for the sinking of the Titanic, Ali Bongo suffers from hubris to the point where he ignores any opinion that is based on logic but contradicts his own dogma. For him, if the rules say that a stadium has to be ready 6 months before the competition, that means that in Gabon the turf could be changed 50 days before the competition and the result would be perfect. When thinking Gabonese people ask: “please give us an example of a stadium that has received an important competition that did not have a playable pitch 50 days before that competition?” They cannot provide a single example. But Ali Bongo is always right, miracles will happen and the stadium will be somehow ready, so they think. We see a pattern of behavior with Ali Bongo; when he screws up, he always fires somebody. This is like in medieval times when something bad happened in some kingdom, the king had to blame some poor lad who was invariably beheaded, even if he had nothing to do with what happen. The reality is that CAN 2012 is a disaster because Ali Bongo is stupid, plain and simple. Everything he does is done from the standpoint of sheer stupidity:

a) When he decided to demolish the homes in Libreville, even before he built any of the 5000 houses a year he promised, that was sheer stupidity.

b) When he decided to fire the employees of the ministry of housing, without any reason, that was absolute stupidity.

c) When he decided to invite Brazil play on a mud pit and thus showing just how ridiculous Gabon is, that was Nobel prize level stupidity.

d) When he inaugurated the Agondjé stadium in front of nobody, that was the apotheosis of the zenith of stupidity.

Ali Bongo’s intellectual laziness is a serious liability for Gabon. Instead of using facts and proper analyses, he resorts to using his cronies like Kerangall, as if they are magicians or alchemists who can make miracle happen like strip a pitch bare and replace it by new grass that is perfect within 50 days. This is just insane and will never work. But when asked, Ali Bongo and the idiots who surround him repeat like parrots: "Without a Doubt" the CAN will take place. But that is not the question. The question is will the CAN 2012 occur under good circumstances, this blog has been saying no for a long time and the facts are proving this blog to be right. A country cannot be led with gut-instinct of faith-based certainty. A country must be led by using principles like facts, science, the laws of nature and of physics and a heavy dose of reality and truth. At the moment, for CAN 2012, Ali Bongo and his cronies are just rearranging the chairs on the deck of the Titanic and the iceberg is moving closer and closer.

So goes Gabon


Version française

Tout ne va pas bien dans le paradis des Bongo. A environ 50 jours du début de la CAN 2012, Ali Bongo a décidé que, parce que chaque répétition générale semble indiquer que le Gabon n'est d’aucune façon prêt à accueillir cet événement, le problème doit être la personne à la tête du comité organisateur, le pauvre Jules Ogouebandja. Ce comité d'organisation, aussi appelé COCAN, a eu trois leaders en un an, pas exactement un signe de confiance dans l'équipe d'Ali Bongo. Avec seulement 50 jours avant de frapper l'iceberg en Janvier 2012, la solution pour Ali Bongo est de nommer un autre chef de la mafia familiale Bongo, Christian Kerangall, pour diriger ce comité d'organisation.

Ce qui est drôle, c'est que Ali Bongo et ses sbires ont tenté en vain de convaincre le peuple gabonais que l'iceberg était pas là, qu'il n'était pas visible, que leur projet de la CAN 2012, comme on disait pour le Titanic, était insubmersible, que toutes les constructions avaient réussies, que tout a été réalisé dans les temps et avec succès et ainsi de suite. Mais le peuple gabonais a vu que le premier test contre le Brésil a été un désastre absolu, une gêne et une honte. Puis le deuxième test contre une équipe chinoise a été encore pire parce que le peuple gabonais resté à la maison et n’est pas allé au stade. Cependant, au lieu de poser les vraies questions et tirer les véritables leçons de sa propre incompétence, Ali Bongo a décidé de trouver un bouc-émissaire en Jules Ogouebanja. Mais ce n'est pas Jules Ogouebandja qui a foiré le gazon de ce stade. C'est la société chinoise et le "fameux" groupe de contrôle de qualité qui est dirigé par Bechtel et est payé en milliards de francs CFA mensuels pour la vérification de ces chantiers, qu'ont-ils faits? Pourquoi les experts de Bechtel ne savaient pas que l'électricité était un risque dans ce stade et qu’il fallait des groupes électrogènes? Qui va congédier l'entreprise chinoise ou Bechtel? Personne!

Tout ce qui se passe actuellement pour la CAN 2012, nous l’avions prédit sur ce blog. Mais comme pour le naufrage du Titanic, Ali Bongo souffre d'orgueil au point où il ignore toute opinion qui est fondée sur la logique, mais contredit ses propres dogmes. Pour lui, si les règles disent qu’un stade doit être prêt six mois avant la compétition, cela signifie que le gazon au Gabon pourrait être changé 50 jours avant la compétition et le résultat serait parfait. Quand les gabonais pensants leur demandent: «s'il vous plaît donner nous un exemple d'un stade qui a reçu une importante compétition, qui n'avait pas un terrain jouable 50 jours avant cette compétition ?» Ils ne peuvent pas fournir un seul exemple. Mais Ali Bongo a toujours raison, des miracles se produiront et le stade sera prêt, ainsi pensent-ils. Nous voyons une tendance de comportement avec Ali Bongo, qui indique que quand il fait une connerie, il la corrige en limogeant toujours quelqu'un. C'est comme à l'époque médiévale, quand quelque chose de mauvais se passait dans certains royaumes, le roi s’amusait à blâmer de pauvres gens qui étaient invariablement décapitées, même si elles n'avaient rien à voir avec ce qui s’était passé. La réalité est que la CAN 2012 est un désastre parce qu’Ali Bongo est stupide, simplement et clairement. Tout ce qu'il fait est fait du point de vue de la pure stupidité:

a) Quand il a décidé de démolir les maisons, à Libreville, avant même qu'il ait construit l'une des 5000 maisons par an qu’il a promis, ça a été de la pure stupidité.

b) Quand il a décidé de renvoyer les employés du ministère de l’habitat, sans aucune raison, encore de la stupidité absolue.

c) Quand il a décidé d'inviter le Brésil jouer sur un champ de boue et montrant ainsi à quel point le Gabon est ridicule, cela a été la stupidité de niveau prix Nobel.

d) Quand il a inauguré le stade d’Agondjé devant des tribunes vides, ça a été l'apothéose de l'apogée de la bêtise.

La paresse intellectuelle d’Ali Bongo est un sérieux handicap pour le Gabon. Au lieu d'utiliser des faits concrets et des analyses appropriées, il a recourt à l'aide d’acolytes tel Kerangall, comme s’ils étaient des magiciens ou des alchimistes qui peuvent faire des miracles comme dépouiller un terrain à nu et le remplacer par du gazon neuf qui devient parfait en 50 jours. C'est absolument fou et cela ne marchera jamais. Mais lorsqu'on leur pose la question, Ali Bongo et les idiots qui l'entourent répètent comme des perroquets: «Sans aucun doute" la CAN aura lieu. Mais ce n'est pas la question. La question est de savoir si la CAN 2012 aura lieu dans de bonnes conditions. Ce blog a répondu depuis longtemps déjà par un « non » et les faits donnent raison à ce blog. Un pays ne peut pas être dirigé avec l'instinct de survie et les certitudes basées sur la foi. Un pays doit être mené en utilisant des principes comme des faits logiques, la science, les lois de la nature et de la physique et une bonne dose de réalité et de vérité. À l'heure actuelle, pour la CAN 2012, Ali Bongo et ses acolytes ne font que réarranger les chaises sur le pont du Titanic et l'iceberg se rapproche de plus en plus.

Ainsi va le Gabon

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