THE CORRUPT GABONESE AMBASSADOR TO THE USA IS GIVEN A BEAT DOWN. LE CORROMPU AMBASSADEUR DU GABON AUX USA EST MIS KO

Michael Moussa is carried to the ambulance after the beat down
Michael Moussa est transporté vers l’ambulance après la raclée plénipotentiaire
(photo Gabonlibre.com)



The Gabonese government press in overdrive
La presse gouvernementale en branle





English version

The news was made public on Friday, a couple of photographs of the Gabonese ambassador to the USA, Michael Moussa-Adamo, on the excellent website Gabonlibre.com, showed him on a stretcher being carried toward an balance by medics. Apparently, he had just suffered a beat down. But while the Gabonese government controlled media went into overdrive and cited a Gabonese individual as the perpetrator of this beat down, this blog has been unable to obtain information from the Washington DC police as to the truth of the story. At this very moment, the circumstances of this beat down are yet to be made clear and as such anything the Gabonese regime would say can just be considered propaganda. Only an official version from the Washington police could represent anything having to do with reality.

However, the Gabonese people have every reason to be upset with Michael Moussa-Adamo. For one thing, he is an absolutely corrupt individual. His corruption is not just speculation from this blog, but has in fact been established by an inquiry of the US senate published in a report entitled: “KEEPING FOREIGN CORRUPTION OUT OF THE UNITED STATES: FOUR CASE HISTORIES”. In this document, at page 122, there is a paragraph entitled: “Purchase of C-130 Aircraft”. This paragraph describes the following:

“From 2005 to 2007, President Omar Bongo also employed Mr. Birrell’s services to obtain authorization to purchase six U.S.-built C-130 aircraft from the Government of Saudi Arabia. The United States had originally sold these military grade aircraft to Saudi Arabia with restrictions on any future transfer or sale. To comply with the Arms Export Act, Saudi Arabia had to obtain the U.S. State Department’s approval prior to selling the C-130 aircraft to Gabon. At the direction of President Omar Bongo, Mr. Birrell undertook extensive efforts to obtain U.S. approval of the sale. After that approval was provided, however, the aircraft sale did not take place. During the course of this transaction, an entity called Ayira transferred $17 million from Gabon into the Grace Group accounts at United Bank to pay for the purchase of the C-130 aircraft. Mr. Birrell declined to explain to the Subcommittee what he knew about Ayria or to clarify the relationship between Ayira and President Omar Bongo. Mr. Birrell wire transferred $9.2 million of the Ayira funds to an account in the name of President Omar Bongo at a bank in the country of Malta. In addition, Mr. Birrell used the Ayira funds to send wire transfers totaling over $4.2 million to President Bongo’s senior adviser, Abass Haidara Cherif, and another $1 million to a handful of “consultants.” By accepting the $17 million and initiating subsequent wire transfers at the apparent direction of President Omar Bongo or his senior advisers, Mr. Birrell allowed his corporate accounts to be used as a conduit for millions of dollars in suspect funds. As compensation for his efforts, Mr. Birrell requested $850,000 plus expenses which, at one point, exceeded $253,000. Mr. Birrell declined to disclose to the Subcommittee how much he was actually paid.”

“Around the same time that Mr. Birrell filed the new application, he wire transferred nearly $750,000 in consulting fees to persons outside of the United States. On November 16, 2005, The Grace Group Client Escrow Account wire transferred $496,500 to Michael Moussa at Rothschild Bank in Monaco. The wire transfer documentation included the notation: “Business Consulting Agreement.” On November 18, 2005, The Grace Group Client Escrow Account wire transferred $250,000 to Maxime Gandzion at KBC Bank in Brussels. The wire transfer documentation included the notation: “Consulting Fee.” The Subcommittee attempted to contact both individuals to inquire about their role in the C-130 transaction, but was unable to reach either individual, and Mr. Birrell declined to provide contact information for either person.”

Dear readers, this official document from the US senate clearly indicate that Micheal Moussa was the recipient of money stolen from the Gabonese treasury and funneled through bogus purchase that never happen, back to Bongo and his cronies, with the help of business men willing to play the role of accomplice for a hefty fee. This shows clearly who Michael Moussa is.

You can read the full report at this link.




Version française

La nouvelle a été rendue publique ce vendredi, deux photographies de l'ambassadeur du Gabon aux Etats-Unis, Michael Moussa-Adamo, sur l’excellent site Gabonlibre.com, le montraient sur une civière en cours d’évacuation par une équipe médicale, vers un hôpital. Apparemment, il venait de subir un KO technique. Mais alors que les médias contrôlés par le gouvernement gabonais y vont de toutes les spéculations, allant jusqu'à citer un citoyen gabonais comme l'auteur de cette raclée extraordinaire et plénipotentiaire, ce blog a été incapable d'obtenir des renseignements de la police de Washington DC quant aux faits réels de cette histoire. En ce moment même, les circonstances de la correction subie par l’ambassadeur ne sont pas encore claires et par conséquent, tout ce que le dirait régime gabonais serait simplement de la propagande. Seule une version officielle de la police de Washington pourrait représenter quelque chose ayant à voir avec la réalité.

Cependant, le peuple gabonais a toutes les raisons d’avoir de la déconsidération pour Michael Moussa-Adamo. Car, c’est un individu absolument corrompu. Sa corruption n'est pas seulement la spéculation de ce blog, mais a en fait été établie par une enquête du Sénat américain publiée dans un rapport intitulé: «Garder La Corruption Hors des États-Unis: quatre cas". Dans ce document, à la page 122, il y a un paragraphe intitulé: «Achat d'avions C-130". Ce paragraphe décrit les éléments suivants:

«De 2005 à 2007, le président Omar Bongo a également employé les services de M. Birrell pour obtenir l'autorisation d'acheter six avions C-130 de construction américaine, du gouvernement de l'Arabie saoudite. Les Etats-Unis avaient vendu, à l'origine, ces appareils militaires à l'Arabie saoudite avec des restrictions sur un éventuel futur transfert ou vente. Pour se conformer à la loi sur les exportations d'armes, l'Arabie Saoudite a dû obtenir l'approbation du Département d'Etat américain avant de vendre les avions C-130 au Gabon. À la direction du président Omar Bongo, M. Birrell a entrepris des efforts considérables pour obtenir l'approbation des Etats-Unis pour cette vente. Après l’obtention de cette approbation, cependant, la vente des avions n'a pas eu lieu. Au cours de cette opération, une entité appelée Ayira a transféré 17 millions de dollars provenant du Gabon dans les comptes du groupe à la United Bank sous prétexte de payer pour l'achat des avions C-130. M. Birrell a refusé d'expliquer au Sous-comité ce qu'il savait sur Ayria ou de clarifier la relation entre Ayira et le président Omar Bongo. M. Birrell a viré 9,2 millions de dollars des fonds Ayira sur un compte au nom du président Omar Bongo dans une banque de Malte. En outre, M. Birrell a utilisé ces fonds Ayira pour envoyer des virements totalisant plus de 4,2 millions à un haut conseiller du président Bongo, Abass Haidara Cherif, et 1 million de dollar à une poignée de «consultants». Pour avoir accepté 17 millions de dollars provenant du Gabon et initier des virements ultérieurs dans la direction apparente du président Omar Bongo ou ses principaux conseillers, M. Birrell a permis à ses comptes d'entreprise d’être utilisé comme conduite pour des millions de dollars de fonds suspects. En compensation de ses efforts, M. Birrell a demandé 850 000 $ plus des frais de depenses qui, à un moment donné, dépassaient 253 000 $. M. Birrell a refusé de divulguer à la Sous-commission à combien il a été effectivement payé."

«Vers la même époque que M. Birrell a déposé la demande, il a transféré près de $ 750 000 en frais de consultation à des personnes hors des États-Unis. Le 16 Novembre 2005, Le compte client du groupe Grâce a viré 496 500 $ à Michael Moussa sur un compte de la Banque Rothschild à Monaco. La documentation du virement inclus les notations: "agrément de consultation." Le 18 Novembre 2005, le groupe Grâce a viré 250 000 $ à Maxime Gandzion chez la KBC Bank à Bruxelles. La documentation virement inclus les notations: "honoraires de consultation ». Le Sous-Comité a tenté de communiquer avec ses deux individus pour se renseigner sur leur rôle dans la transaction des C-130 de, mais a été incapable d’entrer en contact avec elles et M. Birrell a refusé de fournir les coordonnées de ces personnes."

Chers lecteurs, ce document officiel du Sénat des États-Unis indique clairement que Michael Moussa était l’un des destinataires de l'argent volé au Trésor gabonais et canalisé à travers de faux achats écrans qui permettent un retour de l’ascenseur de ces détournements vers Bongo et ses acolytes, avec l'aide d'hommes d'affaires désireux de jouer le rôle de complice moyennant des honoraires significatifs. Cela montre clairement qui est Michael Moussa.

Le rapport du sénat américain peut être lu sur ce lien.

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