FRANCE'S SHARE OF RESPONSIBILITY IN THE ABUSES COMMITTED BY THE BAC IN GABON! LA PART DE RESPONSABILITÉ DE LA FRANCE DANS LES EXACTIONS COMMISES PAR LA BAC AU GABON !
English version
The
actions shown by videos made by Gabonese citizens, of members of the Police
Anti-Crime Brigade, describe and relate more to a death squad than to a citizen
protection unit.
The
Anti-Crime Brigade (BAC) is an offshoot of the French national police services.
It was created in 1994 by Charles Pasqua, then French Minister of the Interior.
As
everything that is done in France must be reproduced in Gabon, a BAC was also set
up within the Gabonese police and the trainers of this Gabonese BAC are members
of the French BAC made available to the Gabonese police by the French Embassy
in Gabon.
If the Gabonese
Bac is being trained by members of the French BAC; if the Gabonese BAC uses
this training to torture, and engage in extra judicial killings of the Gabonese
people, we can conclude that the French instructors have taught the Gabonese
BAC members to violate human rights, and to become notorious torturers and
murderers; not defenders of peace.
As such,
the French government can be held responsible!
Les agissements que nous
montrent les vidéos faites par des Gabonais, des membres de la Brigade Anticriminalité
de la police, décrivent et relèvent plus d'un escadron de la mort que d’une unité
de protection des citoyens.
La Brigade Anticriminalité
(BAC), est une émanation des services de la police nationale française. Elle a été
créée en 1994 par Charles Pasqua, alors ministre français de l'Intérieur.
Comme tout ce qui est
fait en France doit être reproduit au Gabon, une BAC a été aussi mise sur pied
au sein de la police Gabonaise et les formateurs de cette BAC Gabonaise sont
des membres de la BAC française mis à la disposition des gabonais par l’ambassade
de France au Gabon.
Si la Bac gabonaise est
formée par des membres de la BAC française ; si la BAC gabonaise utilise cette
formation pour torturer, et se livrer à des exécutions extrajudiciaires du
peuple gabonais ; on peut en conclure que les instructeurs français ont
appris aux membres de la BAC gabonaise à violer les droits de l'homme, et à
devenir des tortionnaires et assassins notoires ; pas des défenseurs de la
paix.
A ce titre, le
gouvernement français peut être tenu pour responsable !
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