PAIN AND TERROR AS MEANS TO CONTROL A POPULATION! DOULEUR ET TERREUR COMME MOYENS DE CONTROLE D’UNE POPULATION!

 



 

English version

 

Dear readers, as the atrocities of the Bongo regime have sent once again Gabon into deep mourning; it is good to stop for a moment and ask ourselves why are we increasingly witnessing this escalation of violence, more gratuitous and more amore deadly, by this regime.

 

For this blog, the degree of violence of this regime is inversely proportional to its capacity to control the country. In other words, the more this regime feels threatened of losing control of the country, the more it reacts with unheard-of violence against its populations.

 

But dear readers, how long are we going to tolerate this trauma? Until when will the Gabonese law enforcement agencies be forced to betray the oaths made to the population that they should protect, but kill and injure? Until when will entire families have to accept the slaughter of their children? For how long will parents have to continue to contain their anger towards this regime?

 

Courageous and stoic, the Gabonese, deeply affected by this physical and psychological war that the regime is waging on them, take the blows and still hold back. But the rash is smoldering; the lava is ready to come out of the volcano to flow over the country. The fed-up sentiment is too noticeable. The burden of the damages caused by this regime is becoming too heavy to bear.

 

When to ask you not to beat on pans, the regime believes that the most appropriate message would be to spread the brains of a few compatriots on the asphalt; such horrors do not encourage good feelings and a harmonious living together in the long term. A population that is terrorized, which begins to jump at the slightest noise behind a bush, always ends up getting used to it and defying its torturers.

 

The Bongo regime must know that war is rarely beautiful and has never been kind to the enemies of the people. The hawks of this regime will not say that they were not warned.

 

  

 

Version française

 

Chers lecteurs, au moment où les atrocités du régime Bongo endeuillent profondément une fois de plus, une fois de trop, le Gabon; il est bon de nous arrêter un moment et nous demander mais pourquoi donc observons nous cette escalade de violence de plus en plus gratuite et de plus en plus meurtrière, par ce régime.

 

Pour ce blog, le degré de violence de ce régime est inversement proportionnel à sa capacité de contrôle du pays. En d’autres termes, plus ce régime se sent menacé de perte de contrôle du pays, plus il réagit avec une violence inouïe face à ses populations.

 

Mais chers lecteurs, jusqu’à quand allons-nous tolérer ces traumatismes? Jusqu’à quand vont les forces de l’ordre Gabonaises être obligées de trahir les serments faits à la population qu'ils devraient protéger, mais tuent et blessent ? Jusqu’à quand des familles entières devront accepter le massacre de leurs enfants? Pendants combien de temps des parents devront continuer de contenir leur colère envers ce régime ?

 

Courageux et stoïques, les Gabonais profondément atteints par cette guerre physique et psychologique que leur livre le régime, encaissent les coups et se retiennent encore. Mais l’éruption couve ; la lave est prête à sortir du volcan pour se déverser sur le pays. Le ras le bol est trop perceptible. Le poids des malheurs causés par ce régime devient trop lourd à porter.

 

Quand pour vous demander de ne point battre sur des casseroles, le régime estime que le message le plus approprié serait d’étaler la cervelle de quelques compatriotes sur le macadam ; de telles horreurs n'incitent pas à de bons sentiments et à un harmonieux vivre ensemble sur le long terme. Une population que l’on terrorise, qui commence à sursauter au moindre bruit derrière un buisson, finit toujours par développer une accoutumance et défier ses tortionnaires.

 

Le régime Bongo doit savoir que la guerre est rarement belle et n'a jamais été tendre envers les ennemis des peuples. Les faucons de ce régime ne diront pas qu’ils n’avaient pas été avertis.

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