THE CAVIAR CHARITY OF SYLVIA BONGO MUST STOP TO MOCK THE POOR PEOPLE OF GABON! QUE LA CHARITÉ CAVIAR DE SYLVIA BONGO ARRÊTE DE SE FOUTRE DES GABONAIS DESOEUVRÉS !

Sylvia Bongo among the Gabonese misery
Sylvia Bongo au milieu de la misère gabonaise
Photo: Gabonreview



English Version


The hypocrisy of Sylvia Bongo, the wife of Ali Bongo, knows no bounds. While all Gabonese know her lavish lifestyle at their expense because the money allowing her to live better than Croesus comes from the national treasury, this woman is once again went to dirty her white pants on the misery of the poor victims of Moanda who do not want charity, but decent and sustainable living conditions.


Unable to meet the most basic needs of the Gabonese people, the regime sends as a palliative, Sylvia Bongo and some photographers-cameramen, to promise mountains and marvels to these poor people who are at the zero degrees of poverty and vulnerability; promises that will naturally never be kept. The proof?


After haven gone to cry at the Maternity of the General Hospital of Libreville, what has Sylvia Bongo done for that hospital? Where are we today?


After having made a holdup on of the fight against ritual crimes in Gabon, with the complicity of some who will have to answer for themselves in front of history when the time comes, have these crimes slowed in Gabon? How many sponsors have been arrested?


Everyone knows that the concerns of this lady have nothing to do with the poverty that could affect Moanda; she spends most of her time with great pomp in the most expensive areas of London, a private jet with crew waiting constantly on the airport’s tarmac to take a her on a ride to other five stars destinations towards multiplicities of shopping sessions in exclusive boutiques, to dinners in the world's most prestigious restaurants etc. The problems of poverty and insecurity in Gabon are not the heart of the existence of Sylvia Bongo. The problems of Gabon, a country where the population is facing serious difficulties of poverty, do not seem to worry Sylvia Bongo; thus this blog finds it extremely inappropriate that this lady continues to use the Gabonese poor as common mascots to be exhibited before the cameras to feel good. This shit must stop. This lady does not care about poverty of the Gabonese people as much as she cares about her first tampons and that, we should say it, loud and clear.


Those who like Sylvia Bongo benefit from the looting, theft and plundering of Gabon, must not return to the scene of their crimes and pretend to be Mother Theresas when the consequences of their crimes make victims of the people. They should not take the Gabonese people for naive fools ignoring that a large share of responsibility for their poverty lies with those who buy villas in the West for hundreds of millions of Euros with the money that could be used for the development of Gabon. People like Sylvia Bongo and her father are only pirates who came to the Gabonese coast to enrich themselves, without further sentiment or consideration for the local people.


Could Sylvia Bongo come and explain where she draws her standard of living from? Could she tell us with what occupation she was able to afford a foothold in one of the most expensive areas of London and a private jet? So she must not come to annoy people by visiting those her stealing and plundering kill, let die, make sick, make poor.


We cannot continue to kowtow to grant passes and close your eyes, before these practices that demean and dishonor Gabon!



Version française


L’hypocrisie de Sylvia Bongo, l’épouse d’Ali Bongo, ne connait donc point de limite. Alors que tous les Gabonais connaissent son fastueux train de vie, à leur dépend car l’argent lui permettant de vivre mieux que Crésus provient de la trésorerie nationale, cette femme est encore allée dernièrement salir son beau pantalon blanc, sur la misère des pauvres sinistrés de Moanda qui ne demandent pas la charité, mais des conditions de vie décentes et durables.


Incapable de répondre aux besoins les plus élémentaires des gabonais, le régime envoie en palliatif, Sylvia Bongo et quelques photographes-cameramen, promettre monts et merveilles à ces pauvres populations qui sont au degré zéro de la pauvreté et de la vulnérabilité; des promesses qui ne seront naturellement jamais tenues. La preuve?


Après être allé pleurer à la maternité de l’Hôpital Général de Libreville, qu’a fait Sylvia Bongo pour cet hôpital ? Où en sommes-nous aujourd’hui?


Apres avoir fait un hold-up sur la lutte contre les crimes rituels au Gabon, avec la complicité de certains qui s’expliqueront le temps venu devant l’histoire, ces crimes ont-ils ralenti au Gabon? Combien de commanditaires ont été arrêtés?


Tout le monde sait que les préoccupations de cette dame n’ont rien à voir avec la pauvreté qui pourrait sévir à Moanda; elle qui passe le clair de son temps en grande pompe dans les quartiers les plus chères de Londres, un jet privé avec équipage l’attendant en permanence sur le tarmac de l’aéroport pour l’emmener en balade vers d’autres destinations cinq étoiles, vers des multiplicités de séances de shopping dans les boutiques de luxe, de dîners dans les restaurants les plus prestigieux du monde etc. Les problèmes de pauvreté et de précarité au Gabon ne sont pas au cœur de l’existence de Sylvia Bongo. Les problèmes du Gabon, pays où la population est en proie à de graves problèmes de pauvreté, ne semblent pas préoccuper Sylvia Bongo; alors ce blog trouve extrêmement déplacé que cette dame continue à se servir des pauvres gabonais comme de vulgaires mascottes qu’on exhibe devant les caméras pour se donner bonne conscience. Ces conneries doivent s’arrêter. Cette dame se fiche de la pauvreté des Gabonais comme de ses premiers tampons hygiéniques et ça il nous faut le dire haut et fort.


Que ceux qui comme Sylvia Bongo profitent du pillage, du vol et de la spoliation des Gabonais, ne reviennent pas sur les lieux de leurs crimes jouer aux mères Theresa quand les conséquences de leurs crimes font des victimes. Qu’on ne prennent pas les Gabonais pour des naïfs ignorant qu’une importante part de responsabilité de leur pauvreté incombe à ceux qui achètent des villas en occident pour des centaines de millions d’Euros avec l’argent devant servir au développement du Gabon. Les gens comme Sylvia Bongo et son père ne sont que des pirates venus sur les côtes gabonaises s’enrichir, sans autre forme de procès ni de considération pour les populations locales.


Que Sylvia Bongo vienne donc nous expliquer d’où elle tire son niveau de vie!? Qu’elle nous dise avec qu’elle activité professionnelle elle a pu s’offrir un pied à terre dans un des quartiers les plus chères de Londres et un jet privé? Donc qu’elle ne vienne pas emmerder les gens en rendant visite à ceux que son vol et son pillage tuent, laissent mourir, rendent malades, rendent pauvres.


On ne peut pas continuer à faire des courbettes, à accorder des passes droit et à fermer les yeux, devant ces pratiques qui avilissent et déshonorent le Gabon!

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