RICHARD ATTIAS IN THE LINE OF FIRE OF THE INDIGNANTS! RICHARD ATTIAS DANS LA LIGNE DE MIRE DES INDIGNÉS !




English version

After the Lionel Messi’s clinker, Ali Bongo is about to loosen, for the fourth time, the purse strings of the Gabonese treasury to finance the rhinestones and glitter forum organized for him by Richard Attias: The New York Forum Africa. But as has become tradition, a group of diehard outraged Gabonese, intends to oppose that waste of public money which Gabon cannot reasonably afford. But Ali Bongo can care less; the essential for him is to have fun!

The Indignant movement, and all the thinking Gabonese, know that the New York Forum Africa is in no way consistent with the objectives they consider important for Gabon. A simple, concise, timely and honest analysis would necessarily lead to this verdict. The sycophantic sentences of Alain Claude Bilié Bi Nzé here, or Richard Attias there, speaking of a complacency record for an unnecessary forum, will not change anything.

In a country where reality inexorably reflects the obvious conclusion of the rooting of unemployment, deindustrialization, the failure of investment symbolized by the image of the desert that was supposed to have been a marina, the fragility of institutions whose consequence is the stifling of the Gabonese people in arbitrary shackles; time should be devoted to responsible behavior, and not to foolishness!

There is no better demonstration of lasting love for one’s country, than to take a strong stand against waste, given the gravity of the financial, social and political moment. The Indignant as all thinking Gabonese, in an energic, firm and fearless manner, would once again say to Ali Bongo and Richard Attias: no to the mediatization of stupidity, time is to maximum responsibility and the Gabonese people have the right to be represented by an entire political class imbued with an awareness of the severity of the condition of the country and will not add to that by more squandering of public money. The holding of the New York Forum Africa, like the arrival of Lionel Messi, although viewed as propaganda opportunities by Ali Bongo, now contribute only to discredit him because the Manichaeism from which these events come from is no longer accepted.

The Gabonese indignant, like the rest of the population, want more than ever a serious and professional governance without rhinestones or sequins. They are no longer willing to be lulled by ridiculous extravagances. Their freedom of action, thought and reflection requires them to change the course of history, by repudiating the politics of celebrity and pomp that Ali Bongo promotes by surrounding himself ostentatiously with the stars he loves. The Gabonese people have other habits. They would like Gabon to be led according to the principles of the old school, that is to say: discretion, modesty, strategic calculation, and effectiveness in the search for solutions that have a positive impact on the collective.

But contrary to this, the Gabonese people have a President who wants to appear everywhere; from an awkward presence at the Maracana, to Port-Gentil on the presidential red carpet along with Lionel Messi. Only worshiping money, he does not hesitate to spend on a false diplomatic residence in Paris or Washington. He wants to live like a celebrity, like a "Kardashian" (and not as a head of State), and uses the same code with astonishing bad taste. The problem is that all this is done using public money, with a thinly veiled cynicism. The display to the open of almost monarchical pomp by Ali Bongo gives nausea to the Gabonese people.

So, the Indignant Gabonese do not want, absolutely not, the useless Richard Attias forum which outcomes are dubious. The New York Forum Africa is just a way for Ali Bongo to finance his external supporters. One way to launder money drawn from the national treasury. It is this fool's bargain that the Indignant and all those who have chosen to expose the imposture and fight to help in the emancipation of the Gabonese, plan to once again castigate. When the price of oil is falling and the country is experiencing serious problems of treasuries; squandering billions in Attias nonsense is really not a priority!




Version française

Après le couac Lionel Messi, Ali Bongo s’apprête à délier pour la quatrième fois, les cordons de la bourse de la trésorerie gabonaise, pour financer le forum strass et paillettes que lui organise Richard Attias : le New York Forum Africa. Mais comme cela est devenu la tradition, un groupe d’irréductibles indignés Gabonais, compte bien s’opposer à ce gaspillage de deniers publics dont le Gabon ne peut raisonnablement se permettre. Mais Ali Bongo s’en fiche ; l’essentiel étant qu’il s’amuse !

Le mouvement des indignés, et l’ensemble des Gabonais pensants, savent que le New York Forum Africa n’est aucunement en cohérence avec les objectifs qu’ils estiment être importants pour le Gabon. Une analyse simple, concise, rapide et honnête rend obligatoirement ce verdict. Ce ne sont pas les petites phrases d’équilibristes d’Alain Claude Bilié Bi Nzé par-ci, ou de Richard Attias par-là, dressant des bilans de complaisance à un forum inutile, qui y changeront quoi que ce soit.

Dans un pays où la réalité nous renvoie inexorablement au dur constat patent de l’enracinement du chômage, de la désindustrialisation, de la panne de l’investissement symbolisée par l’image de ce désert qui aurait dû être une marina, de la fragilisation des institutions dont la conséquence est l’étouffement des Gabonais dans un carcan d’arbitraire; le temps devrait être à la responsabilité et non au fayotage !

Il n’y a pas de meilleur gage d’amour durable pour son pays, que de prendre fermement position contre le gaspillage, devant la gravité de la situation financière, sociale et politique du moment. Les indignés, comme tous les Gabonais pensants, de manière pétillante, ferme et sans peur, diront encore une fois à Ali Bongo et à Richard Attias : non à une médiatisation de la bêtise, l’heure est à la responsabilité maximale et les Gabonais sont en droit d’être représentés par une classe politique toute entière pénétrée de la conscience de la gravité de l’état du pays et de la volonté de ne pas y ajouter en dilapidant de plus belle l’argent public. La tenue du New York Forum Africa, comme la venue de Lionel Messi, bien que vues comme des opportunités de propagande par Ali Bongo, ne contribuent aujourd’hui qu’à le discréditer, car le manichéisme d’où viennent ces évènements, n’est plus accepté.

Les indignés Gabonais, comme le reste de la population, veulent plus que jamais d’une gouvernance sérieuse et professionnelle, sans strass, ni paillettes. Ils ne sont plus prêts à se laisser endormir par des extravagances dérisoires. Leur liberté d'action, de pensée et de réflexion leur impose de changer le cours de l'histoire, en répudiant la politique people et le faste qu’affectionne Ali Bongo en s’affichant ostensiblement avec les stars dont il raffole. Le peuple Gabonais a d’autres mœurs. Il voudrait bien que le Gabon soit dirigé selon les principes de la vieille école, c'est-à-dire la discrétion, la modestie, le calcul stratégique et l’efficacité dans la recherche des solutions ayant un impact positif sur le collectif.

Mais contrairement à cela, les Gabonais sont affublés d’un Président qui tient à s’afficher partout ; d’une présence comme un cheveu dans la soupe au Maracana, jusqu’à Port-Gentil sur le tapis rouge présidentiel en compagnie de Lionel Messi. Ne vénérant que l'argent, il ne se prive pas de dépenser pour une résidence faussement diplomatique à Paris ou à Washington. Il veut vivre comme une célébrité, comme un « Kardashian » (et non comme un chef d’Etat), et use des mêmes codes avec une légèreté stupéfiante. Le problème est que tout ceci est fait en utilisant l'argent public, avec un cynisme à peine voilé. L’étalage au grand jour des fastes presque monarchiques d'Ali Bongo donne la nausée aux Gabonais.

Alors, les indignés Gabonais ne veulent pas, mais absolument pas, du forum bidon de Richard Attias aux retombées douteuses. Le New York Forum Africa n’est qu’une façon pour Ali Bongo de financer ses soutiens externes. Une façon de blanchir l’argent puisé dans la trésorerie nationale. C’est ce marché de dupes que les indignés et tous ceux qui ont choisi de dénoncer les impostures et de se battre pour aider à l’émancipation des Gabonais, entendent encore fustiger. Quand le prix du pétrole est à la baisse et que le pays connait de gros problèmes de trésoreries ; engloutir des milliards dans les bêtises d’Attias n’est vraiment pas une priorité !

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