THE PROBLEMS OF ITINERANT GABONESE! LA PROBLÉMATIQUE DES GABONAIS ITINÉRANTS !





English version

It is said of an itinerant citizen, a person who defines themselves as being rather cosmopolitan, that is to say who does not really have a point of attachment or a fixed origin. These people are citizens of the universe, who adapt to all circumstances, as long as these provide comfort and security. The moment things get tough, these itinerant citizens never hesitate to pack up and go elsewhere.

There is nothing wrong with being an itinerant citizen. The only problem is that a country cannot be ruled by itinerant citizens.

Gabon has dangerously become the only country in Africa, and perhaps even in the world, whose ruling executive class is entirely made up of itinerant citizens. This is inconceivable!

The episode of Liban Soleman’s entry into the upper echelons of the Rwandan state remind us of the lack of quams by of some itinerants. What would the PDG's courtesans have said if Raymond Ndong-Sima, for example, had been appointed to a major economic structure in Equatorial Guinea? He would have been called all kinds of filthy names. Curiously, all these people remain silent with regard to Liban Soleman.

Because they have chosen opportunism, the itinerants are often skilled speculators who observe the political landscape and insert themselves where there is profit.

We owe hospitality to the itinerants, it's true; but should we let them run the country?

Between Ali Bongo, Sylvia Bongo, Norredin Bongo-Valentin, Accrombessi, Liban Soleman, Laure Bigourd, the Oceni sons, Laccruche-Alihanga, Lee White, and all the backup itinerants who abound in the administration and entirely dominate the national economy, where are the local Gabonese?





Version française

On dit d’un citoyen itinérant, une personne qui se définit comme étant plutôt cosmopolite, c’est-à-dire qu’elle n’a pas vraiment de point d’attache ni d’origine fixe. Ces personnes sont des citoyens de l’univers, qui s’adaptent à toutes circonstances, tant que ces dernières leur procurent confort et sécurité. Le moment où les chosent se corsent, ces citoyens itinérants n’hésitent jamais à plier bagages et aller voir ailleurs.

Il n’y a rien de mal à être citoyen itinérant. Le seul problème est qu’un pays ne peut être dirigé par des citoyens itinérants.

Le Gabon est dangereusement devenu le seul pays en Afrique, et peut être même dans le monde, dont la classe dirigeante de l’exécutif, est entièrement composée de citoyens itinérants. Cela est inconcevable !

L’épisode de l’entrée de Liban Soleman dans les hautes sphères de l’Etat Rwandais, vient nous rappeler le manque d’état d’âme de certains itinérants. Qu’auraient dits les courtisans du PDG, si Raymond Ndong-Sima, par exemple, avait été nommé dans une importante structure économique de la Guinée-Equatoriale ? Il aurait été voué aux gémonies les plus immondes. Curieusement, ce beau monde reste silencieux en ce qui concerne Liban Soleman.

Parce qu’ils ont choisi l’opportunisme, les itinérants sont souvent d’habiles spéculateurs qui observent le paysage politique et s’insèrent là où il y a matière à profit.

Nous devons l’hospitalité aux itinérants, c’est vrai ; mais devons-nous leur laisser diriger le pays ?

Entre Ali Bongo, Sylvia Bongo, Norredin Bongo-Valentin, Accrombessi, Liban Soleman, Laure Bigourd, les fils Osseni, Laccruche-Alihanga, Lee White, et tous les seconds couteaux itinérants qui écument l’administration et coiffent entièrement l’économie nationale, où sont les Gabonais locaux ?

Comments

Popular posts from this blog

GAGAN GUPTA’S MASTERFUL TRICK! LA MAGISTRALE ENTOURLOUPE DE GAGAN GUPTA !