DICTATORS LIKE CARESSES; FIFA AND OUR KOUNABELISTS HAVE UNDERSTOOD THIS ! LES DICTATEURS AIMENT LES CARESSES ; CELA, LA FIFA ET NOS KOUNABELISTES L’ONT COMPRIS !
English version
The President of FIFA, Gianni Infantino, presented the first "FIFA Peace Prize" to Donald Trump. This act is for us one more piece of flattery which proves that authoritarian figures love to be flattered so much; psychology and political science offer several explanations for this phenomenon.
Many authoritarian leaders exhibit narcissistic or megalomaniacal personality traits, characterized by an exaggerated sense of their own importance, a constant need for admiration, and a lack of empathy. Flattery and prestigious awards (like a peace prize) serve to publicly validate this grandiose self-image.
The praise confirms their belief that they are exceptional and deserve superior recognition to others, even if this recognition comes from a source not traditionally associated with the domain in question (like a peace prize awarded by a football organization, or even the Oligui-Nguema a ne Josué repeated by the most hardline of our Kounabelists).
In authoritarian regimes, where power relies less on democratic consensus, flattery serves to legitimize the leader and their actions in the eyes of the public and the elite. If external figures or prestigious institutions recognize them, it strengthens their position.
By accepting flattery, these leaders surround themselves with people who won't question them. Criticism or disagreement is perceived as betrayal or weakness. Flattery becomes a means of filtering information and ensuring they only hear what they want to hear.
The entourage of an authoritarian leader (advisors, officials, external organizations) often uses flattery strategically. This allows them to gain favors, obtain advantages, or ensure the leader remains in good spirits and doesn't turn against them. It's a tactic for political survival or negotiation.
The more the leader is flattered, the more they expect it, and the more they distrust those who don't flatter them, creating a circle where servility is rewarded and honesty is punished. This is the obvious case of C’BON.
Version française
Le président de la FIFA, Gianni Infantino, a remis le premier "Prix de la paix de la FIFA" à Donald Trump. Cet acte est pour nous une flagornerie de plus qui prouve que les personnalités autoritaires aiment tant être flattées, la psychologie et la science politique offrent plusieurs pistes d'explication à ce phénomène.
De nombreux dirigeants autoritaires présentent des traits de personnalité narcissiques ou mégalomanes, caractérisés par un sens exagéré de leur propre importance, un besoin constant d'admiration et un manque d'empathie. La flatterie et les récompenses prestigieuses (comme un prix de la paix) servent à valider publiquement cette image de soi grandiose.
La louange confirme leur conviction qu'ils sont exceptionnels et qu'ils méritent une reconnaissance supérieure à celle des autres, même si cette reconnaissance vient d'une source qui n'est pas traditionnellement associée au domaine en question (comme un prix de la paix décerné par une organisation de football, ou encore les Oligui-Nguema a ne Josué, que répètent les plus jusqu’au-boutistes de nos Kounabelistes
Dans les régimes autoritaires, où le pouvoir repose moins sur le consensus démocratique, la flatterie sert à légitimer le dirigeant et ses actions aux yeux du public et de l'élite. Si des figures extérieures ou des institutions prestigieuses le reconnaissent, cela renforce sa position.
En acceptant la flatterie, ces dirigeants s'entourent de personnes qui ne les remettront pas en question. La critique ou le désaccord sont perçus comme une trahison ou une faiblesse. La flatterie devient un moyen de filtrer les informations et de s'assurer de n'entendre que ce qu'ils veulent entendre.
L'entourage d'un dirigeant autoritaire (conseillers, officiels, organisations externes) recourt souvent à la flatterie de manière stratégique. Cela leur permet de gagner des faveurs, d'obtenir des avantages, ou de s'assurer que le dirigeant restera de bonne humeur et ne se retournera pas contre eux. C'est une tactique de survie politique ou de négociation.
Plus le dirigeant est flatté, plus il s'attend à l'être, et plus il se méfie de ceux qui ne le flattent pas, créant un cercle où la servilité est récompensée et l'honnêteté punie. C’est le cas patent de C’BON.

Comments
Post a Comment