ARE THEY ANNOUNCING TO US THE SOON TO BE RELEASE OF BRICE LACCRUCHE-ALIHANGA? NOUS ANNONCE-T-ON LA PROCHAINE LIBERATION DE BRICE LACCRUCHE-ALIHANGA ?
English
version
In its
latest issue, Africa Intelligence tells us that the Libreville prosecutor's
office is concerned about the weakness of the case against Brice
Laccruche-Alihanga.
The
investigation into Brice Laccruche-Alihanga was carried out jointly by three
special services: the General Directorate of Research (DGR); the General
Directorate of Counter-Intelligence and Military Security (DGCISM or
"B2"); and the General Directorate of Special Services (DGSS).
Apparently,
at the end of a year of investigation, the magistrates would have very little
concrete evidence against Brice Laccruche-Alihanga.
In
addition, some case evidence were allegedly stolen by investigators. This would
be the case with part of the valuables seized during searches of the accused's
home, which would have thus disappeared. The investigation was coordinated by
Ian Gyslain Ngoulou, the current chief of staff to Presidential Affairs
Coordinator Noureddin Bongo. He had previously been sent for a year to Silam,
the telephone interception service of the Gabonese presidency headed by
Frenchman Jean-Charles Solon.
If we are
told that Brice Laccruche-Alihanga's file is empty, it means that he will be
released soon.
Version française
Dans sa dernière livraison, Africa Intelligence nous apprend que le parquet
de Libreville s’inquiéterait de la faiblesse du dossier présenté contre Brice
Laccruche-Alihanga.
L’enquête sur Brice Laccruche-Alihanga a été menée conjointement par trois
services speciaux : la Direction générale des recherches (DGR) ; la
Direction générale des contre-ingérences et de la sécurité militaire (DGCISM ou
"B2") ; et la Direction générale des services spéciaux (DGSS).
Apparemment, au terme d'une année d'enquête, les magistrats n'auraient que
très peu d'éléments concrets contre Brice Laccruche-Alihanga.
En plus, certaines pièces à conviction auraient été volées par les enquêteurs.
Ce serait le cas d’une partie des valeurs saisies lors de perquisitions chez le
prévenu, qui aurait ainsi disparu. L’enquête a été coordonnées par Ian Gyslain
Ngoulou, l'actuel directeur de cabinet du coordinateur des affaires
présidentielles Noureddin Bongo. Ce dernier avait auparavant été détaché
pendant un an au Silam, le service d'interception téléphonique de la présidence
gabonaise dirigé par le Français Jean-Charles Solon.
Si on nous dit que le dossier de Brice Laccruche-Alihanga est vide, c’est
qu’il sera bientôt libéré.
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