ALI AND SYLVIA BONGO WELL PRIORITIZED CHARITY BEGINS…IN LONDON! LA CHARITÉ BIEN ORDONNÉE D’ALI ET SYLVIA BONGO COMMENCE…Á LONDRES!

Sylvia Bongo at a Photo-op in the middle of the Gabonese misery
Sylvia Bongo se faisant filmer pour la propagande, au milieu de la misère gabonaise
(Photo: Cocom)



The Mayfair neighborhood in London, far away from the Gabonese misery
Le quartier Mayfair de Londres, loin de la misère gabonaise
(Photo: Telegraph)



English version

"Charity begins with oneself." Ali and Sylvia Bongo seem to have a very narrow understanding of this proverb whose origins refer to medieval France. Indeed, thanks to the London press, we learn that the couple Ali and Sylvia Bongo continues to use the money of the Gabonese treasury to provide real treats to themselves, to meet their own needs in priority. This ironically, at a time when Ali Bongo says that he is going to war against poverty in Gabon. The Bongos have a sense of timing!

It is Richard Kay of the British Daily Mail who wrote on 30 January 2014 the following: “He is President Ali Bongo Ondimba, head of the tiny, oil-rich African country of Gabon where, although many of his subjects live below the poverty line, he himself has millions to spend. Indeed, I can reveal that four years ago Bongo spent £25 million (€30 million, or about 20 billion CFA francs)) buying the Mayfair home of failed Irish property magnate Derek Quinlan. The eight-bedroom house is now reckoned to be worth nearer to £40 million. Alas, the Bongo family has long been dogged by accusations of nepotism and money laundering. Gabon is a former French colony, and campaigners in Paris are calling for Britain to scrutinize the president’s activities.”

Another article published in the Sunday Times, informs us that the 10,000-sq-ft house in London that has five reception rooms, eight bedroom, a cinema, a gym and a large garage, was purchase by Ali Bongo through the use of an offshore entity belonging to him and the money was paid to the National Asset Management Agency (NAMA) which had bought Quinlan’s debt on the property at a discount from Bank of Ireland.

Only a few days ago, Ali Bongo said in a speech that: "As you can see, therefore, poverty and insecurity is a major issue... I will not practice the ostrich policy. To fight and defeat this multifaceted enemy, we must know it well. This is why the fight against poverty, inequality and insecurity compels us to take a lucid, objective, transparent and voluntary approach. It is in this sense that I ordered in October 2013, a report on the state of poverty in our country. Conducted under the authority of the First Lady, this investigative work poses an unprecedented diagnosis in the history of our country. Indeed, the preliminary report that has been presented to us, casts a harsh reality and highlights a map and an accurate description of the extent of this phenomenon in Gabon."

One can only laugh when reading these ridiculous pledges by Ali Bongo and his wife to alleviate poverty in Gabon, because since they came to power in 2009, they have done nothing but steal from the Gabonese people and purchase multi million dollars, euros, pounds homes in France, in England, in the USA etc., while crippling poverty continues to stifle the Gabonese people. Doesn’t Ali Bongo realize that the 20 billion CFA francs he used to buy the Quinlan home in London could have been better serve to help reduce that poverty he claim to be trying to alleviate? When since 2009, a president has bought 3 properties abroad for about 150 million euros (close to 100 billion CFA francs), could anybody really think that this president and their wife were very interested in solving poverty in their own country? In addition, these three properties are only the visible part of the iceberg, because no one really knows the extent of the real estate acquisitions made by these predators!

When Sylvia Bongo will come back from London, to take picture in the middle of Gabonese misery, trying to give an image of Mother Theresa, it would be good to remind her that Mother Teresa lived in Calcutta, among lepers, and not in a 20 billion CFA francs house in central London.


Version française

«Charité bien ordonnée commence par soi-même." Ali et Sylvia Bongo semblent avoir une compréhension très étriquée de ce proverbe dont les origines renvoient à la France médiévale. En effet, grâce à la presse Londonienne, nous apprenons que le couple Ali et Sylvia Bongo continue d’utiliser l’argent de la trésorerie gabonaise pour s’offrir des gâteries immobilières; pour combler en priorité leurs propres besoins. Ceci, ironiquement, au moment où Ali Bongo déclare aller en guerre contre la pauvreté au Gabon. Ils ont le sens du timing, les Bongo!

C'est Richard Kay, du quotidien britannique Daily Mail qui a écrit le 30 Janvier 2014, ce qui suit: "Lui c’est le président Ali Bongo Ondimba, chef du petit et riche en pétrole, pays africain du Gabon qui, bien que beaucoup de ses citoyens vivent en dessous du seuil de pauvreté, a des millions à dépenser. En effet, je peux vous révéler qu'il y a quatre ans, Bongo a dépensé 25 millions de Livres Sterling (environ € 30 millions ou 20 milliards de francs CFA) à l’achat de la maison de Mayfair du magnat de l'immobilier irlandais Derek Quinlan. La maison de huit chambres a maintenant une valeur de plus près à 40 millions de livres. Hélas, la famille Bongo a depuis longtemps été l’objet d’accusations de népotisme et de blanchiment d'argent. Le Gabon est une ancienne colonie française, et les militants de Paris appellent la Grande-Bretagne à scruter les activités de ce président."

Un autre article publié dans le Sunday Times, nous apprend que cette maison est de 1000 mètres carrés dans le quartier chic de Londres, qui dispose de cinq salles de réception, huit chambres, une salle de cinéma, une salle de sport et un grand garage; a été acquise par Ali Bongo grâce à l'utilisation d'une entité offshore lui appartenant et que l'argent a été versé à la National Asset Management Agency (NAMA), qui avait racheté la dette de Quinlan sur cette propriété à un prix au rabais, à la Banque d’Irlande.

Il y a seulement quelques jours, Ali Bongo dans un discours disait ce qui suit: «Comme vous pouvez donc le constater, la pauvreté et la précarité constituent un enjeu majeur… Je ne ferai pas la politique de l’autruche. Pour combattre et vaincre cet ennemi aux multiples facettes, il nous faut bien le connaître. C’est pourquoi, la lutte contre la pauvreté, la précarité et les inégalités nous impose une démarche lucide, objective, transparente et volontaire. C’est dans ce sens que j’ai commandé en octobre 2013 un rapport sur l’état de la pauvreté de notre pays. Conduit sous l’autorité de la Première Dame, ce travail d’enquête pose un diagnostic sans précédent dans l’histoire de notre pays. En effet, le rapport préliminaire qui nous a été présenté jette une lumière crue et met en évidence une cartographie et une description précise sur l’étendue de ce phénomène au Gabon.»

On ne peut que rire en lisant ces promesses ridicules faites par Ali Bongo et son épouse, de réduire la pauvreté au Gabon, parce que depuis leur arrivée au pouvoir en 2009, ils n'ont rien fait d’autre que de voler le peuple gabonais et acheter pour plusieurs millions de dollars, d’euros, de livres sterling, des résidences en France, en Angleterre, aux Etats-Unis, etc.; alors que la pauvreté paralysante continue à étouffer le peuple Gabonais. Ali Bongo ne se rend-t-il pas compte que les 20 milliards de francs CFA qu'il a utilisé pour acheter la maison Quinlan à Londres auraient pu mieux servir à aider à réduire la pauvreté au Gabon; qu’il prétend être en train d’essayer de soulager? Quand depuis 2009, un président a acheté en priorité trois propriétés à l'étranger pour environ 150 millions d'euros (près de 100 milliards de francs CFA), quelqu'un pourrait-il vraiment penser que ce président et son épouse soient très intéressés à la résorption de la pauvreté dans leur propre pays? En plus, ces trois propriétés ne sont que la partie visible de l’iceberg, car nul ne sait réellement l’entendue des emplettes immobilières faites par ces prédateurs!

Quand Sylvia Bongo reviendra de Londres, se faire filmer au milieu de misère gabonaise, en essayant de se donner une image de Mère Theresa, il serait bon qu’on lui rappelle que Mère Theresa vivait à Calcutta, parmi des lépreux, et non dans une maison de 20 milliards de francs CFA au centre de Londres.

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