ALI BONGO IS MANUFACTURING A MEMORY OF THE 1964 COUP. ALI BONGO SE FABRIQUE UNE MÉMOIRE DU COUP D’ÉTAT DE 1964



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English Version

The false birth certificates, fake photos, and the false testimonies from some Teale and Leon Mba family members, had to be accompanied with false memories of Ali Bongo himself about the 1964 coup.

All reliable documents and witnesses agree on the fact that the 1964 coup took place between 17 and 18 of February in that year, therefore lasted exactly 24 hours. Politicians of Leon Mba’s regime, including Albert Bongo, who were arrested and taken to the Baraka camp, would be released the next day.

When Ali Bongo said in the interview above, that he was a child at the material time of the coup and remembers the coming and going of soldiers searching their house and that family members came looking for food to take to his imprisoned father; this version cannot be true because no one had access to these figures of the regime until the French army intervened. Another fact, Ali Bongo spread events and the imprisonment of his father over several days, and even says that his family had to move after the first day. Again the story is false, because the French got involved on June 18 and ended the coup. There was no second day. Everything happens between February 17th at 5 am and the 18th of February. The story of Ali Bongo is a lie, a fable.

The worst lies occurs when Ali Bongo said that after they moved to the city, he remembered looking up to the sky and seeing the French paratroopers jumping over Libreville. This cannot be true because all documents are agreed on the fact that on February 18, fifty French soldiers landed by plane at Libreville International Airport and they landed under cover of a violent storm. In total, six hundred French soldiers arrived in an aerial ballet during that day. There has never been a legion paratroopers falling upon Libreville. They landed in the most normal way of the world, at Libreville airport. When Ali Bongo said to remember French paratroopers dropping from the sky, he must certainly have thought about the Biafran war, because in Gabon in 1964, the events did not go as he described.

Ali Bongo said further, that following this traumatic episode, his parents decided to send him to study in France in Ales. The problem is that Assélé had said that Ali Bongo was in Ales in 1963. Michel Teale said that the fake picture he condoned was taken in France in 1963. How can it be that Ali Bongo is sent in France only after the coup of 1964, but some witnesses and documents, all false, already put him in boarding school in Ales in 1963; while his own cousin Leo Paul Ngoulakia, ignores of his existence until 1967.

All it takes is a rigorous examination, for the scaffolding lies to collapse like a house of cards.





Version française

Il fallait bien accompagner les faux actes de naissance, les fausses photos, et les faux témoignages de certains membres des familles Teale et Léon Mba, de faux souvenirs d’Ali Bongo lui-même à propos du coup d’Etat de 1964.

Tous les documents fiables et les témoins sont d’accord sur le fait que le coup d’Etat de 1964 se déroula entre le 17 et le 18 février de cette année-là, donc dura exactement 24 heures. Les personnalités politiques du régime Léon Mba, dont Albert Bongo, qui furent arrêtés et conduits au camp Baraka, seront libérés dès le lendemain.

Quand Ali Bongo déclare dans l’interview ci-dessus, qu’il était enfant au moment des faits et se souvient des va et vient des militaires fouillant leur maison, et que des membres de sa famille venaient chercher de la nourriture pour l’apporter à son père incarcéré ; cette version ne peut être vraie car personne n’avait accès à ces personnalités jusqu'à ce que l’armée française intervienne. Autre fait, Ali Bongo étale les évènements et l’incarcération de son père sur plusieurs jours, et affirme même que sa famille a dû déménager après le premier jour. Encore une fois ce récit est faux, car les Français interviennent le 18 Juin et le putsch est terminé. Il n’y a donc pas de deuxième jour. Tout se passe entre le 17 février à 5 heures du matin et le 18 Février. Le récit d’Ali Bongo n’est qu’un mensonge, qu’une fable.

Le pire des mensonges survient quand Ali Bongo dit qu’après avoir déménagé vers le centre-ville, il a le souvenir d’avoir levé les yeux vers le ciel et vu les parachutistes français sauter sur Libreville. Cela ne peut être vrai car tous les documents sont d’accord sur le fait que le 18 février, cinquante soldats français débarquèrent par avion à l'aéroport international de Libreville et atterrirent sous le couvert d'un violent orage. Au total, six cents soldats Français arrivèrent dans un ballet aérien au cours de la journée. Il n’y a jamais eu de légion tombant en parachute sur Libreville. Ils atterrirent le plus normalement du monde, à l’aéroport de Libreville. Quand Ali Bongo dit se souvenir des parachutistes français tombant du ciel, il doit certainement penser à la guerre du Biafra, car au Gabon en 1964, les évènements ne se sont pas passés comme il les décrits.

Ali Bongo dit plus loin que suite à cet épisode traumatisant, ses parents décidèrent de l’envoyer étudier en France à Ales. Le problème c’est qu’Assélé a déclaré qu’Ali Bongo était à Ales en 1963. Michel Teale a affirmé que la fausse photo qu’il a cautionnée, a été prise en France en 1963. Comment Ali Bongo peut-il être envoyé en France seulement après le coup d’Etat de 1964, mais certains témoignages et documents, faux évidement, le placent déjà en pension à Ales en 1963 ; tandis que son propre cousin Léon Paul Ngoulakia, ignore tout de son existence jusqu’en 1967.

Il suffit d’un examen rigoureux, pour que l’échafaudage de mensonges s’écroule comme un château de cartes.

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