THE REAL QUESTION IS WHY THE RISK OF POLITICAL VIOLENCE IS SO HIGH IN GABON? LA VÉRITABLE QUESTION EST CELLE DE SAVOIR POURQUOI LE RISQUE DE VIOLENCE POLITIQUE EST-IL SI ÉLEVÉ AU GABON ?
English version
When one forces themselves on a people through violence, is it any wonder that violence becomes the common denominator of all elections?
Insurers tell us that the risks of political violence in Gabon during the next legislative elections would be 35%; that is one chance out of three. For example, the risk of a car accident in France is 1 per 100000 motorists; that is, a probability of 0.001%.
Dear readers, you understand the gravity of the political situation in Gabon. But what will the apologists for Ali Bongo’s violence and the legitimization of this regime; who still use today the circular argument saying that refusing to go to elections is to abdicate the country to Ali Bongo?
But in Gabon, the fundamental debate will never take place because they would want to lead the electoral cattle towards its next enclosure.
We will not give up !
Version française
Quand on s’impose à un peuple par la violence, peut-on s’étonner que la violence devienne le dénominateur commun de toutes les élections?
Les assureurs nous disent que les risques de violence politique au Gabon lors des prochaines législatives seraient de 35% ; c’est à dire une chance sur trois. A titre d’exemple, le risque de faire un accident de voiture en France est de 1 pour 100000 automobilistes ; c’est-à-dire une probabilité de 0,001%.
Chers lecteurs, vous comprenez la gravite de la situation politique au Gabon. Mais que nous dirons les apologistes de la violence d’Ali Bongo et de la légitimation de ce régime qui utilisent encore aujourd’hui le raisonnement circulaire qui consiste à nous dire que de refuser d’aller aux élections revient à laisser le champ libre à Ali Bongo ?
Mais au Gabon, le débat de fond n’aura jamais lieu car on voudra conduire le bétail électoral vers son prochain enclos.
On ne lâche rien !
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