ONE SCANDAL PER WEEK: THIS TIME WITHIN THE SECURITY OF C’BON! UN SCANDALE PAR SEMAINE : CETTE FOIS AU SEIN MÊME DE LA SÉCURITÉ DE C’BON!
English version
The Republican Guard (GR) is at the heart of a new scandal this week following the dismissal of Lieutenant-Colonel Lucamar Ankama, who is reportedly possibly a relative of C'BON.
Lieutenant-Colonel Ankama was allegedly involved in the kidnapping of a Chinese businessman, for which a ransom exceeding one billion CFA francs was demanded.
The case took on a critical dimension due to the victim's identity. The Chinese Embassy reportedly intervened directly with the highest authorities, compelling the Executive Branch to take immediate steps to guarantee the protection of the Chinese community and restore confidence. Ankama's fate was thus sealed.
This scandal highlights a deeper problem within Gabon's security forces. Despite attempts by authorities to contain the issue, the involvement of uniformed personnel in illegal activities and the fencing of goods is an open secret.
Numerous officers are reportedly engaging in illicit practices, appropriating equipment or goods seized during operations for resale. It is even suggested that some high-ranking officers demand that their subordinates meet illegal "daily financial revenue quotas."
This kind of involvement of members of a presidential security unit in criminal networks (through intermediation, protection, or fencing) constitutes a serious abuse of authority and a form of insider trading. These revelations corroborate accusations of widespread corruption within the state apparatus.
Version française
La Garde Républicaine (GR) est au cœur d'un nouveau scandale cette semaine suite au limogeage du Lieutenant-colonel Lucamar Ankama, dont il est rapporté qu'il est également possiblement un parent de C'BON.
Le Lieutenant-colonel Ankama aurait été impliqué dans l'enlèvement de l'homme d'affaires chinois, pour lequel une rançon de plus d'un milliard de francs CFA était exigée.
L'affaire a pris une dimension critique en raison de l'identité de la victime. L'Ambassade de Chine serait intervenue directement auprès des plus hautes autorités, obligeant l'Exécutif à prendre des mesures immédiates pour garantir la protection de la communauté chinoise et restaurer la confiance. Le sort d'Ankama a été ainsi scellé.
Ce scandale met en lumière une problématique plus profonde au sein des forces de sécurité gabonaises. Malgré les tentatives des autorités pour circonscrire l'affaire, l'implication des corps habillés dans des activités illégales et le recel de biens est un secret de polichinelle.
De nombreux officiers se livreraient à des pratiques illicites, s'appropriant des équipements ou des biens saisis lors d'opérations pour les revendre. Il est même suggéré que certains officiers hauts gradés exigeraient de leurs subordonnés l'atteinte de "quotas de recettes financières journalières" illégales.
Ce type d'implication de membres d'une unité de sécurité présidentielle dans des réseaux criminels (par l'intermédiaire, la protection ou le recel) constitue une grave dérive de l'autorité et une forme de délit d'initié. Ces révélations corroborent les accusations de corruption généralisée au sein de l'appareil d'État.

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