POWER IS A DRUG, THE PROOF...! LE POUVOIR EST UNE DROGUE, LA PREUVE…!
English version
What we are witnessing around C’BON is that indeed, intelligence takes many forms.
When they were still in France, opposed to Ali and Sylvia Bongo, people like Mays Mouissi and Laurence Ndong gave the illusion of operating with a high degree of analytical intelligence. However, now that they sit at the top of power in Gabon, they come across as abysmally mediocre. What happened ?
These people appear to us today to act as stupidly as did their predecessors under Ali Bongo. They cheats at elections, they talk a lot but say nothing in particular; they seem to only be interested in their own power and nothing else. Just like their predecessors, they are exploiting the naivety of the Gabonese people.
It is clear that power has led these people to becoming more self-interested and less attuned to others' perspectives, just like their predecessors under Ali Bongo.
These people are now regularly acting with hubris. While not the same as stupidity, hubris can correlate with it because it prevents individuals from recognizing their own limitations and leads to irrational decisions. Cognitive biases like the Dunning-Kruger effect explain how inflated self-perception can create a dangerous mix of overconfidence and ignorance.
It looks like normally intelligent people can still exhibit hubris, leading them to act foolishly, because hubris acts as a powerful inhibitor to rational thought, creating a feedback loop that reinforces poor judgment.
Just like their predecessors, Mays Mouissi and Laurence Ndong often dismiss criticism and ignore wise counsel, believing they are infallible. This refusal to listen blinds them to their own flaws and to the true risks of their actions, a trait that indicates that they are losing touch with reality.
Power seems to have inflated their a ego, causing them to believe they can do no wrong. For these people, this is a recipe for disaster.
Version française
Ce que nous observons autour du C’BON est qu'effectivement, l'intelligence prend diverses formes.
Lorsqu'ils étaient encore en France, opposés à Ali et Sylvia Bongo, des gens comme Mays Mouissi et Laurence Ndong donnaient l'illusion d'opérer avec un haut degré d'intelligence analytique. Cependant, maintenant qu'ils sont au sommet du pouvoir au Gabon, ils apparaissent comme d'une médiocrité abyssale. Que s'est-il passé ?
Ces personnes nous semblent aujourd'hui agir avec autant de stupidité que leurs prédécesseurs sous Ali Bongo. Ils fraudent aux élections, ils parlent beaucoup mais ne disent rien de particulier ; ils ne semblent s'intéresser qu'à leur propre pouvoir et à rien d'autre. Tout comme leurs prédécesseurs, ils exploitent la naïveté du peuple gabonais.
Il est clair que le pouvoir a conduit ces personnes à devenir plus égocentriques et moins attentives aux perspectives des autres, tout comme leurs prédécesseurs sous Ali Bongo.
Ces personnes agissent désormais régulièrement avec hubris (démesure/orgueil).
Bien que ce ne soit pas la même chose que la stupidité, l'hubris peut y être corrélée car elle empêche les individus de reconnaître leurs propres limites et conduit à des décisions irrationnelles. Des biais cognitifs comme l'effet Dunning-Kruger expliquent comment une perception de soi surgonflée peut créer un mélange dangereux de surconfiance et d'ignorance.
Il semble que des personnes normalement intelligentes puissent toujours faire preuve d'hubris, les amenant à agir de manière insensée, car l'hubris agit comme un puissant inhibiteur de la pensée rationnelle, créant une boucle de rétroaction qui renforce le mauvais jugement.
Tout comme leurs prédécesseurs, Mays Mouissi et Laurence Ndong rejettent souvent les critiques et ignorent les sages conseils, se croyant infaillibles. Ce refus d'écouter les aveugle face à leurs propres erreurs et aux risques de leurs actions, un trait qui indique qu'ils sont en train de perdre le contact avec la réalité.
Le pouvoir semble avoir gonflé leur ego, les amenant à croire qu'ils ne peuvent commettre aucune erreur. Pour ces personnes, c'est le prélude à un désastre.
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