DO NOT ABUSE THE XENOPHILIA OF ORDINARY AFRICANS! IL NE FAUT PAS ABUSER DE LA XÉNOPHILIE DES AFRICAINS ORDINAIRES!
English version
Xenophilia is the opposite of xenophobia, in
that it describes openness to other cultures of the world; as xenophobia is the
rejection of people from foreign cultures. By all accounts, because of history,
and also due to the fact that many African cultures straddle vast territories, Africans
in general and the Gabonese people in particular, have learned to put more
value in human relationships, and not to territory or given geographical location.
Despite the historical mood against
globalization and immigration in Europe and the western world, the vast bulk of
Africans remains staggeringly hospitable. The French, the English, the Portuguese,
the Dutch, the Spanish, etc., committed atrocities towards Africans for
centuries, yet today, that vast majority of Africans welcome them with open
arms into their countries and even allow them to become dominant in these
countries economies.
But more and more Africans of the younger
generations now believe that it is precisely this xenophilia that has allowed
Africa to be devoured by all kinds of predators. A reader recently messaged us
asking, "If Gabon offered China a vaccine, how many Chinese would be
injected with it?" This reader was asking Africans to close in on
themselves a little more and stop opening up to Westerners and Asians.
When Westerners and Asians come to Africa,
they come with their goals and apply them without qualms. It would be desirable
for Africans to do the same, by imposing on foreigners who choose to come to
Africa, the conditions for this coexistence. No more xenophilia; Africans must
now choose pragmatic cooperation.
Version française
La xénophilie est
l'opposé de la xénophobie, en ce qu'elle décrit l'ouverture à d'autres cultures
du monde; car la xénophobie est le rejet de personnes de cultures étrangères.
De toute évidence, à cause de l'histoire, mais aussi du fait que de nombreuses
cultures africaines chevauchent de vastes territoires, les Africains en général
et les peuples gabonais en particulier, ont appris à valoriser davantage les
relations humaines, et non l’attachement à un territoire ou à une situation
géographique donnée.
Malgré les sentiments
historiquement constants contre la mondialisation et l'immigration en Europe et
dans le monde occidental, la grande majorité des Africains reste incroyablement
hospitaliers. Les Français, les Anglais, les Portugais, les Néerlandais, les
Espagnols, etc., ont commis des terribles atrocités envers les Africains
pendant des siècles, mais aujourd'hui, une grande majorité d'Africains les
accueille à bras ouverts dans leur pays et leur permet même de devenir
dominants économiquement dans ces pays.
Mais de plus en plus d’Africains
des jeunes générations pensent désormais que c’est justement cette xénophilie
qui a permis à ce que l’Afrique soit dévorée par toutes sortes de prédateurs.
Un lecteur nous a envoyé récemment un message nous posant la question suivante :
« si le Gabon offrait un vaccin à la Chine, combien de Chinois s’injecteraient
avec ? » Ce lecteur demandait à ce que les Africains se ferment un
peu plus sur eux-mêmes et arrêtent de s’ouvrir aux occidentaux et asiatiques.
Quand les occidentaux et asiatiques
arrivent en Afrique, ils viennent avec leurs objectifs et les appliquent sans états
d’âmes. Il serait souhaitable que les Africains en fassent de mêmes, en
imposant aux étrangers qui choisissent de venir en Afrique, les conditions de
cette coexistence. Plus de xénophilie; les Africains devraient désormais
opter pour une coopération pragmatique.
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