AFTER DESTROYING PEOPLE'S LIVES, WHAT MORE CAN BE SAID TO THEM? APRÈS AVOIR DÉTRUIT LA VIE DES GENS, QUE PEUT-ON LEUR DIRE DE PLUS?
English version
Pictures have
surfaced showing C’BON, in the middle of the night, visiting the people he has
just destroyed their homes, in their temporary shelters. This blog finds this
visit to be cynical and hypocritical.
The president, as the
head of state, is ultimately responsible for the actions of the government. If
the government ordered the destruction of homes, a visit to the displaced
victims without clear accountability or demonstrable efforts to rectify the harm
is highly disingenuous.
Such a visit is a
performative act rather than genuine concern. It shows a disconnect between the
decision-making process that led to the displacement and the human cost of
those decisions. This visit is a cynical attempt to mitigate negative public
opinion, gain political points, or deflect blame, rather than a sincere effort
to provide support or seek reconciliation.
For those who have
lost their homes and livelihoods, a visit from the person or administration
responsible for their displacement, especially if it doesn't come with concrete
solutions or apologies, must feel like an additional insult.
It is too late for C’BON
to genuinely visit the victims to assess the extent of the damage, understand
the needs of the displaced, and formulate a plan for assistance. This visit can
no longer be a symbolic gesture of the government's acknowledgement of the
suffering. If the C’BON still possesses a degree of humanitarian concern for
the affected individuals and genuinely wishes to see their conditions improve,
he must relocate them immediately. Without such measures, this visit would only
register as a cynical gesture.
Version française
Des photos ont fait surface montrant C'BON, au milieu de la nuit, visitant
les personnes dont il vient de détruire les maisons, dans leurs abris
temporaires. Ce blog estime que cette visite est cynique et hypocrite.
Le président, en tant que chef de l'État, est ultimement responsable des
actions du gouvernement. Si le gouvernement a ordonné la destruction de
maisons, une visite aux victimes déplacées sans prise de responsabilité claire
ni efforts démontrables pour réparer les dommages, est profondément insincère.
Une telle visite est un acte théâtral plutôt qu'une préoccupation sincère.
Elle révèle une déconnexion entre le processus de prise de décision qui a
conduit au déplacement et le coût humain de ces décisions. Cette visite est une
tentative cynique d'atténuer l'opinion publique négative, de marquer des points
politiques ou de détourner le blâme, plutôt qu'un effort sincère pour apporter
un soutien ou rechercher la réconciliation.
Pour ceux qui ont perdu leurs maisons et leurs moyens de subsistance, une
visite de la personne ou de l'administration responsable de leur déplacement,
surtout si elle ne s'accompagne pas de solutions concrètes ou d'excuses, doit
être ressentie comme une insulte supplémentaire.
Il est trop tard pour que C'BON visite sincèrement les victimes afin
d'évaluer l'étendue des dégâts, de comprendre les besoins des personnes
déplacées et de formuler un plan d'assistance. Cette visite ne peut plus être
un geste symbolique de reconnaissance, par le gouvernement, de la souffrance.
Si C'BON possède encore un degré de préoccupation humanitaire pour les
personnes affectées et souhaite réellement voir leurs conditions s'améliorer,
il doit les reloger immédiatement. Sans de telles mesures, cette visite ne
serait qu'un geste cynique.

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