THE FRENZY OF DESTRUCTION IN LIBREVILLE SHOWS US THE LACK OF MORALITY OF THE C'BON REGIME! LA FRÉNÉSIE DE DESTRUCTION À LIBREVILLE NOUS DÉMONTRE LE MANQUE DE MORALITÉ DU RÉGIME C’BON!
English version
C’BON came to power promising to restore the right of Gabonese people
to live in dignity. Today, his regime is throwing thousands of families into
the streets, with no accommodation.
The consent to the obliteration of these Gabonese families homes, has
created an enormous gulf in the moral order between the governing and the
governed. The governing seem to have abandoned any concern for humanity, and
sometimes even brag that “you don’t make omelet without braking eggs” and that
they are ruthlessly applying realpolitik.
History will record that many people, journalists, intellectuals, parliamentarians,
civil servant, members of government, simple citizens, have supported this
destruction. This acquiescence in the devastation of these populations, will
leave an indelible trace in the memory of the Gabonese society and we will see
the effect of this traumatic event in the future.
The governed, some courageous political leaders, and intellectuals, are
only asking for an inquiry and careful examination of what led to this
catastrophic situation. It appears today that the lives of the average people
in Gabon are worth very little in the eyes of the C’BON regime. This is an
unacceptable situation for this blog.
We have a situation where some journalists even go as far as accusing
the victims for deserving what is happening to them, because apparently some
people were already compensated to vacate the premises. However, the reality is
that the Housing minister does not even have a list of who is purported to have
been compensated. The victims are being therefore dehumanized while their very
existence is on the balance.
So many of those who could have spoken, not to say stood up in
opposition, have chosen unfortunately to avert their eyes from the annihilation
of citizens, their families, their housing; and in many cases, are even
encouraging its continuation by the government.
Such an inversion of values, such a political dereliction, such an
intellectual collapse, demands examination. That the C’BON regime inflicts deliberate
cruelty upon the population unapologetically, just demonstrate how morally bankrupt
this regime really is.
Version française
C'BON est arrivé au pouvoir
en promettant de restaurer le droit du peuple gabonais à vivre dans la dignité.
Aujourd'hui, son régime jette des milliers de familles à la rue, sans aucun relogement.
Le consentement à la destruction
des foyers de ces familles gabonaises a créé un gouffre énorme dans l'ordre
moral entre les gouvernants et les gouvernés. Les gouvernants semblent avoir
abandonné toute préoccupation pour l'humanisme, et se vantent parfois même que
"l’on ne fait pas d'omelette sans casser des œufs" et qu'ils
appliquent impitoyablement la realpolitik.
L'histoire retiendra que de
nombreuses personnes, journalistes, intellectuels, parlementaires,
fonctionnaires, membres du gouvernement, simples citoyens, ont soutenu cette
destruction. Cette acquiescence à la dévastation de ces populations laissera
une trace indélébile dans la mémoire de la société gabonaise et nous verrons
l'effet de cet événement traumatisant à l'avenir.
Les gouvernés, quelques
leaders politiques courageux et des intellectuels, ne demandent qu'une enquête
et un examen attentif de ce qui a conduit à cette situation catastrophique. Il
apparaît aujourd'hui que la vie des gens ordinaires au Gabon a très peu de
valeur aux yeux du régime C'BON. C'est une situation inacceptable pour ce blog.
Nous avons une situation où
certains journalistes vont même jusqu'à accuser les victimes de mériter ce qui
leur arrive, car apparemment certaines personnes auraient déjà été indemnisées
pour quitter les lieux. Cependant, la réalité est que le ministre du Logement
ne dispose même pas d'une liste de ceux qui sont censés avoir été indemnisés.
Les victimes sont donc déshumanisées alors que leur existence même est en jeu.
Ainsi, beaucoup de ceux qui
auraient pu parler, pour ne pas dire s'opposer, ont malheureusement choisi de
détourner les yeux de l'anéantissement des citoyens, de leurs familles, de
leurs logements ; et dans de nombreux cas, encouragent même sa poursuite par le
gouvernement.
Une telle inversion des
valeurs, une telle défaillance politique, un tel effondrement intellectuel,
exige un examen. Le fait que le régime C'BON inflige délibérément et sans
remords une telle cruauté à la population ne fait que démontrer à quel point ce
régime est moralement en banqueroute.

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