DOMICIDE, OR DESTRUCTION OF HOME, IS A VIOLENCE AGAINST THE PEOPLE! LE DOMICIDE OU DESTRUCTION DE DOMICILE EST UNE VIOLENCE SUR LE PEUPLE !

 


 

 

English version

 

For several weeks, C’BON, by his own admission, has destroyed thousands of homes. The number of residents in Plaine Orety who are now homeless amounts to tens of thousands, as each Gabonese household generally shelters more than 10 people. For this blog, this massive destruction of homes is nothing short of a crime against the population; an act of unprecedented violence against them.

 

The UN defines domicide as a crime involving the deliberate and systematic destruction of homes, often on a large scale, thereby forcing the populations residing there to relocate. This word is a combination of the Latin "domus" (house) and "-cide" (deliberate killing). This term is not limited to the physical destruction of buildings; it also encompasses the destruction of the living environment as a whole, including the social, cultural, and psychological ties that individuals maintain with their homes and communities.

 

Domicide, or the destruction of homes, is used as a tactic to displace populations, break their morale, and deprive them of their resources. The intentional destruction of homes has profound consequences on the lives and well-being of affected individuals.

 

By ordering this destruction, C’BON has condemned thousands of families to witness how, in mere seconds, a house—the culmination of a lifetime's effort, the pride of the entire family—was annihilated and turned into rubble. It wasn't just dwellings that were destroyed. It was also the savings of entire families, their memories, their sense of belonging to a place. The domicide ordered by C’BON is causing a social and psychological trauma that is difficult to describe or even imagine.

 

By destroying a family's home, their comfort, access to water and electricity, security, etc., are also destroyed. In other words, the destruction of a home is traumatic for those who lived there.

 

Dear readers, the destruction of our fellow citizens' homes in Plaine Orety has led them to living conditions that will result in significant psychological consequences. Who will take care of the mental health of these compatriots?

 

 

 

 

 

Version française

 

Depuis plusieurs semaines, C’BON, de son propre aveu, a détruit des milliers d’habitations. Le nombre de résidents de Plaine Orety qui n’ont plus de domicile se compte en dizaines de milliers, car chaque foyer Gabonais abrite généralement plus de 10 personnes. Pour ce blog, cette destruction massive de domiciles n’est rien de moins qu’un crime contre la population ; un acte de violence inouïe contre celle-ci.

 

L’ONU qualifie le domicide comme un crime qui désigne la destruction délibérée et systématique des habitations, souvent à grande échelle, forçant ainsi les populations qui y résident à se déplacer. Ce mot est une combinaison du latin "domus" (maison) et "-cide" (meurtre délibéré). Ce terme ne se limite pas à la destruction physique des bâtiments ; il englobe également la destruction de l'environnement de vie dans son ensemble, y compris les liens sociaux, culturels et psychologiques que les individus entretiennent avec leur foyer et leur communauté.

 

Le domicide, ou la destruction des maisons, est utilisé comme une tactique pour déplacer des populations, briser leur moral et les priver de leurs ressources. La destruction intentionnelle des foyers a des conséquences profondes sur la vie et le bien-être des personnes affectées.

 

En donnant l’ordre de détruire, C’BON a condamné des milliers de familles à observer comment, en quelques secondes, une maison – l’aboutissement de l’effort de toute une vie, la fierté de la famille entière – était anéantie et transformée en décombres. Ce ne sont pas que des logements qui ont été détruits. Ce sont aussi les économies de familles entières, les souvenirs, les sentiments d’appartenir à un endroit. Le domicide ordonné par C’BON est en train de provoquer un traumatisme social et psychologique qu’il est difficile de décrire ou même d’imaginer.

 

En détruisant la maison d’une famille, on détruit aussi son confort, son accès à l’eau et à l’électricité, sa sécurité, etc. Autrement dit, la destruction d’une maison est traumatisante pour celui qui y habitait.

 

Chers lecteurs, la destruction des maisons de nos compatriotes de Plaine Orety les a conduits à des conditions d’existence qui entraîneront des conséquences psychiques importantes. Qui s’occupera de la santé mentale de ces compatriotes ?

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