THE GABONESE HAVE ELECTED A PSYCHOPATH WHO WILL GENTRIFY THEM! LES GABONAIS ONT ÉLU UN PSYCHOPATHE QUI VA LES GENTRIFIER !
English version
C’BON was elected by
the Gabonese people with 95% of the votes. Since then, he has been on a tear, destroying
homes and making thousands of families homeless. All this in the name of
gentrification.
Gentrification is a
process of neighborhood change characterized by a significant economic and
demographic shift in a historically depressed and neglected area. It involves
an influx of capital through real estate investment, leading to new
construction and overall upgrading of the built environment. As the area
becomes more desirable and housing costs increase, more affluent individuals
and households move into the neighborhood. This influx of new residents leads
to changes not only in income levels but also in the social and cultural
character of the community.
The defining and
often controversial aspect of gentrification is the displacement of the
original, typically lower-income residents for the benefits of more affluent
residents. The neighborhood's original unique character is altered, eroded and
eventually lost. The displaced population often is left with nothing.
According to his
defenders, C’BON would like to make Libreville into a booming city with ocean
views and surrounding environment that will attract many visitors, developers
and wealthy foreigners each year. As a result, his is engaging in a gentrification
of Libreville that is becoming a serious issue in that it would increase the gap
between low-income people and those who are affluent such as those in power,
and rich communities such as the Chinese or the Lebanese.
People’s homes are
being destroyed so government buildings, hotels, shops and luxury apartments can
take over predominantly modest neighborhoods and threatening the livelihoods of
many longtime residents as wealthier people want to replace these communities.
As a result, many low-income residents are facing eviction. Due to the influx
of these wealthy investors, real estate prices are likely to skyrocket, pushing
low-income residents into more underdeveloped informal settlements at the periphery
of the city.
C’BON has decided to
segregate Libreville into rich and poor areas. The elite is brutally taking
ownership of land and assets that belonged to poor people and less influential residents.
It is increasingly clear that to get to this point, some rich lobbies such as
that of the Lebanese community purchased the power of the state, so they could
get their hands on prime real estate and turn them into commercial property.
As gentrification in Libreville
continues, the remnants of the population will continue to live in townships,
because the government is doing nothing to provide them with compensation or
new social housing. These people will go into townships on the edge of Libreville,
creating long, expensive work commutes for them. This means increased commuting
costs: gas, public transport fares and longer travel times, which will eat into
their already limited budgets and therefore, they will become poorer not richer.
Version française
C’BON a été élu par le peuple gabonais avec 95 % des voix. Depuis lors, il
s'est déchaîné, détruisant des maisons et laissant des milliers de familles
sans abri. Tout cela au nom de la gentrification.
La gentrification est un processus de transformation des quartiers
caractérisé par un changement économique et démographique significatif dans une
zone historiquement défavorisée et négligée. Elle implique un afflux de
capitaux par l'investissement immobilier, conduisant à de nouvelles
constructions et à une amélioration globale de l'environnement bâti. À mesure
que la zone devient plus attrayante et que le coût du logement augmente, des
individus et des ménages plus aisés s'installent dans le quartier. Cet afflux
de nouveaux résidents entraîne des changements non seulement au niveau des
revenus, mais aussi dans le caractère social et culturel de la communauté.
L'aspect essentiel et souvent controversé de la gentrification est le
déplacement des habitants d'origine, généralement à faibles revenus, au profit
de résidents plus aisés. Le caractère unique et original du quartier est
altéré, érodé et finalement perdu. La population déplacée se retrouve souvent
sans rien.
Selon ses défenseurs, C’BON voudrait faire de Libreville une ville en plein
essor avec des vues sur l'océan et un environnement qui attireront de nombreux
visiteurs, promoteurs et étrangers fortunés chaque année. En conséquence, il
s'engage dans une gentrification de Libreville qui devient un problème grave en
ce qu'elle creuserait l'écart entre les personnes à faibles revenus et celles
qui sont aisées, comme celles au pouvoir, et les communautés riches telles que
les Chinois ou les Libanais.
Les maisons des habitants sont détruites afin que des bâtiments
gouvernementaux, des hôtels, des magasins et des appartements de luxe puissent
prendre la place de quartiers majoritairement modestes, menaçant les moyens de
subsistance de nombreux résidents de longue date alors que des personnes plus
riches veulent remplacer ces communautés. En conséquence, de nombreux résidents
à faibles revenus sont confrontés à l'expulsion. En raison de l'afflux de ces
riches investisseurs, les prix de l'immobilier risquent de monter en flèche,
poussant les résidents à faibles revenus vers des bidonvilles informels plus précaires
à la périphérie de la ville.
C’BON a décidé de ségréguer Libreville en zones riches et pauvres. L'élite
s'approprie brutalement les terres et les biens qui appartenaient aux personnes
pauvres et aux résidents moins influents. Il est de plus en plus clair que pour
en arriver là, certains riches lobbies, comme celui de la communauté libanaise,
ont acheté le pouvoir de l'État afin de mettre la main sur des biens
immobiliers de premier ordre et de les transformer en propriétés commerciales.
À mesure que la gentrification se poursuit à Libreville, les déplacés continueront
à vivre dans des bidonvilles, car le gouvernement ne fait rien pour leur
fournir une compensation ou de nouveaux logements sociaux. Ces personnes iront
dans des bidonvilles à la périphérie de Libreville, ce qui entraînera de longs
et coûteux trajets domicile-travail pour eux. Cela signifie une augmentation
des coûts de déplacement : essence, tarifs des transports en commun et temps de
trajet plus longs, ce qui grignotera leurs budgets déjà limités et, par
conséquent, ils deviendront plus pauvres et non plus riches.
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