WE KNEW SMALTO’S CALL-GIRLS FOR OMAR; IT SEEMS THAT MICHEL TOMI PROVIDES BULGARIAN MASSEUSES TO ALI. ON CONNAISSAIT LES CALL-GIRLS DE SMALTO POUR OMAR; IL SEMBLE QUE MICHEL TOMI LIVRE DES MASSEUSES BULGARES À ALI



The Graziadiu proudly displaying the Gabonsese flag
Le Graziadiu battant fierement pavillon Gabonais
photo: superyachts.com



English Version

It is now established that the late Italian designer Francesco Smalto, was sending call girls to Omar Bongo, under the cover of delivery of clothing; but in reality to satisfy the president in exchange for substantial payments. The Italian was tried and convicted of "aggravated pimping".

Smalto's trial in France revealed all the sordid details of the case. It was learned that luxury call-Girls were paid between 30 and 50,000 French francs at the time (from 4573 to 7622 euros) for an evening with Omar Bongo. A juicy detail was that Omar Bongo abhorred condoms, which made the tour of newsroom.

Twenty years later, it seems that Ali Bongo is being delivered similar type of services, this time by the Corsican mafia boss Michel Tomi. Indeed, wiretapping of the French services, revealed by the press (Médiapart), have reported a conversation between Michel Tomi and Ali Bongo, to whom he lent his yacht, the Graziadiu, for holidays in Greece during the summer of 2013. During that conversation, Michel Tomi told Ali Bongo that unfortunately he would not enjoy the "massage" of the beautiful Bulgarian he reserved for him because Sylvia Bongo was on the yacht. The content of the conversation leaves no room for ambiguity as to the type of massage in question here; there is no doubt that this is the kind punctuated with "happy ending". Apparently with the Bongos, history repeats itself.



Version française

Il est désormais établi que feu le couturier Italien Francesco Smalto, envoyait des call-girls à Omar Bongo, sous couvert de livraison de vêtements ; mais en réalité, pour satisfaire ce dernier moyennant des paiements substantiels. L’Italien en fut jugé et condamné pour «proxénétisme aggravé».

Le procès de Smalto en France révéla tous les détails sordides de cette affaire. On apprit que les call-Girls de luxe étaient payées entre 30 et 50000 francs français de l’époque (de 4573 à 7622 euros) pour une soirée avec Omar Bongo. Un détail croustillant voulait qu’Omar Bongo abhorre le port du préservatif, ce qui fera le tour des rédactions.

Vingt ans après, il semble qu’Ali Bongo se fasse livrer le même type de services, cette fois par le mafieux Corse Michel Tomi. En effet, des écoutes téléphoniques des services français, révélées par la presse (Médiapart), font état d’une conversation entre Michel Tomi et Ali Bongo à qui il avait cédé son yacht, le Graziadiu, pour des vacances en Grèce pendant l’été 2013. Lors de cette conversation, Michel Tomi dit a Ali Bongo qu’il ne pourra malheureusement pas profiter des « massages » de la belle Bulgare qu’il lui a réservée, car Sylvia Bongo est sur le yacht. Le contenu de la conversation ne laisse aucune place a l’ambiguïté quant au type de massages dont il est question ici ; il n’y a pas de doute que ce sont des massages ponctuées « d’happy ending ». Apparemment, avec les Bongo, l’histoire se répète.

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