CHEAP PROPAGANDA CANNOT HIDE THE REALITY THAT THE GABONESE PEOPLE ARE LIVING! LA PROPAGANDE AU RABAIS NE PEUT MASQUER LA RÉALITÉ QUE VIVENT LES GABONAIS !
Propaganda has its
limits. When it's of poor quality, its weaknesses are even more pronounced.
On one hand, C’BON’s
promises full employment to the Gabonese by driving foreigners out of the
informal sector. On the other hand, while C’BON is awarding medals to his
sycophants in Tchibanga, workers in the country's most important formal sector,
the oil industry, are crying out in despair. Apparently, C’BON is unaware of
what's happening in this sector, being too busy making sure that Beninese women
no longer sell in the markets.
Low-quality
propaganda is often characterized by blatant lies that are easily refuted by
reality. C’BON’s regime may claim imaginary economic prosperity or that he has
paid off the debt, but if citizens are suffering from food shortages, high
unemployment, or blatant inequalities, they will never believe these claims.
This gap between the official discourse and the reality experienced by the
people continues to erode trust and delegitimize the regime.
Cheap propaganda that
fails to adapt to reality is quickly contradicted and ridiculed, and citizens
turn away from it. C’BON’s propaganda is so ubiquitous and farcical that it
generates widespread cynicism. Citizens no longer believe anything the
government says. Instead of being convinced, they disengage and develop
political apathy. This indifference, while it may seem favorable to the regime
in the short term by preventing dissent, is a long-term weakness, as the
propaganda loses all its effectiveness in mobilizing the population when
needed. Ultimately, it will no longer be able to rally the people around a
common cause.
C’BON's propaganda,
based on empty slogans or lies, easily collapses in the face of urgency. But it
continues unabated, because its courtiers and the regime itself don't know how
to operate any other way.
Version française
La propagande a ses limites. Quand elle est de mauvaise qualité, ses
faiblesses sont encore plus prononcées.
D’un côté, C’BON promet le plein emploi aux Gabonais en chassant les
étrangers du secteur informel. De l’autre, pendant que C’BON décore ses obligés
à Tchibanga, des travailleurs du secteur formel le plus important de l’économie
du pays, le secteur pétrolier, crient leur désespoir. Apparemment, C’BON ne
sait pas ce qui se passe dans ce secteur, trop occupé à faire en sorte que les
Béninoises ne vendent plus dans les marchés.
Une propagande de mauvaise qualité est souvent caractérisée par des
mensonges grossiers facilement démentis par la réalité. Le régime de C’BON peut
clamer une prospérité économique imaginaire ou d’avoir payé la dette, mais si
les citoyens souffrent de pénuries alimentaires, d'un chômage élevé ou
d'inégalités flagrantes, ils ne croiront jamais à ces affirmations. Ce fossé
entre le discours officiel et la réalité vécue par le peuple continue d’éroder
la confiance et délégitime le régime.
Une propagande au rabais qui ne s'adapte pas à la réalité est rapidement
contredite et ridiculisée, et les citoyens s’en détournent. La propagande de C’BON
est tellement omniprésente et caricaturale qu'elle génère un cynisme
généralisé. Les citoyens ne croient plus à rien de ce que dit le gouvernement.
Plutôt que d'être convaincus, ils se désengagent et développent une apathie
politique. Cette indifférence, bien qu'elle puisse sembler favorable au régime
à court terme en évitant la contestation, est une faiblesse à long terme, car
la propagande perd toute son efficacité pour mobiliser la population en cas de
besoin. À terme, elle ne parviendra plus à rassembler le peuple autour d'une
cause commune.
La propagande de C’BON, basée sur des slogans vides ou des mensonges,
s'effondre facilement face à l'urgence. Mais il continue de plus belle, car ses
courtisans et lui ne savent pas opérer autrement.

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