WOMEN HAVE ALWAYS BEEN USED TO REACH AND KILL OFF INCONVENIENT MEN! LES FEMMES ONT TOUJOURS ÉTÉ UTILISÉES POUR ATTEINDRE ET ÉTEINDRE LES HOMMES GÈNANTS!
English version
Joseph Rendjambe Issani, a Gabonese opponent, was found dead in a room at the Dowé Hotel in Libreville on May 23, 1990. His highly suspicious death triggered a wave of violence across the country, directed against Omar Bongo.
Although no serious investigation was ever conducted, it is established that Joseph Rendjambe was lured to the Dowé Hotel by a woman supposedly named Brigitte Canon, a name likely to be a pseudonym. The true identity of this woman is suspected to be a prominent figure of the Republic whom the Omar Bongo regime allegedly used to achieve its ends.
After Rendjambe, Fabien Méré was also targeted through women and mysteriously died in France under circumstances that remain unexplained to this day.
Beyond our borders, Félix Moumié, the leader of the Cameroonian independence movement, was trapped and poisoned in Switzerland by a French secret service agent, William Bechtel. Bechtel used a blonde woman to arrange a meal with Moumié and distract him, allowing French agents to pour thallium into his glass of Pastis. Félix Moumié succumbed to the effects of the thallium on November 3, 1960, after a brutal agony. The Swiss investigation pointed to William Bechtel, but he was never brought to justice.
Further afield, in the United States, the FBI, under the direction of J. Edgar Hoover, led a campaign of discrediting and harassment against Martin Luther King Jr. in the 1960s. The FBI initially focused its efforts on collecting information about his private life, particularly his relationships with women. The agency hired women to seduce him and wiretapped King's and his associates' phones, while placing microphones in the hotel rooms he frequented. The goal was to collect recordings documenting his "sexual escapades."
The most notorious action was sending an anonymous package to King in November 1964. This package contained a threatening letter and an audio recording. The letter, written by a Hoover deputy, suggested that King should kill himself to prevent his "acts of adultery" and "sexual orgies" from being revealed to the public. The content of the letter was extremely insulting and aimed to morally and personally demean him, calling him a "fraud" and a "perverted animal." The FBI tried to leak this information and the recordings to the American press to discredit King and "neutralize" him as a leader of the civil rights movement. However, most journalists refused to publish them, deeming them newsworthy and sensing a setup. The goal of this campaign was to destroy the reputation of Martin Luther King Jr., who was perceived by J. Edgar Hoover as a threat to the internal security of the United States. Although this harassment campaign failed to break King's resolve or drive him to suicide, it is considered one of the darkest chapters in the FBI's history and its secret war against the African American civil rights movement.
Dear readers, watch, observe, and analyze what is happening in Gabon right now, and note the signatures of the intelligence services' modus operandi.
Version française
Joseph Rendjambe Issani, un opposant gabonais, a été retrouvé mort à Libreville le 23 mai 1990, dans une chambre de l’hôtel Dowé. Sa mort, hautement suspecte, a déclenché une vague de violences dans le pays, dirigée contre Omar Bongo.
Bien qu’aucune enquête sérieuse n'ait jamais eu lieu, il est établi que Joseph Rendjambe a été attiré à l’hôtel Dowé par une femme nommée Brigitte Canon, un nom probablement fictif. La véritable identité de cette femme est soupçonnée d'être celle d'une figure influente de la République que le régime d'Omar Bongo aurait utilisée pour arriver à ses fins.
Après Rendjambe, Fabien Méré a également été visé par l'entremise de femmes et a trouvé mystérieusement la mort en France dans des conditions non élucidées à ce jour.
Hors de nos frontières, Félix Moumié, leader du mouvement indépendantiste camerounais, a été piégé et empoisonné en Suisse par un agent des services secrets français, William Bechtel. Ce dernier a utilisé une femme blonde pour organiser un repas avec Moumié et le distraire, afin de verser du thallium dans son verre de pastis. Félix Moumié a succombé aux effets du thallium le 3 novembre 1960, après une brutale agonie. L'enquête suisse a désigné William Bechtel, mais il n'a jamais été jugé.
Plus loin de nous, aux États-Unis, le FBI, sous la direction de J. Edgar Hoover, a mené une campagne de discrédit et de harcèlement contre Martin Luther King Jr. dans les années 1960. Le FBI a d'abord orienté ses efforts vers la collecte d'informations sur sa vie privée, en particulier sur ses relations avec les femmes. L'agence a engagé des femmes pour le séduire et a mis sur écoute ses téléphones et ceux de ses associés, tout en plaçant des microphones dans les chambres d'hôtel qu'il fréquentait.
L'objectif était de collecter des enregistrements de ses « aventures sexuelles ».
L'action la plus notoire fut l'envoi d'un colis anonyme à King en novembre 1964. Ce paquet contenait une lettre menaçante et un enregistrement audio. La lettre, rédigée par un adjoint de Hoover, suggérait à King de se suicider pour éviter que ses « actes d'adultère » et ses « orgies sexuelles » ne soient révélés au public. Le contenu de la lettre était extrêmement injurieux et visait à le rabaisser moralement et personnellement, le qualifiant de « fraude » et d'« animal pervers ». Le FBI a tenté de diffuser ces informations et les enregistrements à la presse américaine pour discréditer King et le « neutraliser » en tant que leader du mouvement des droits civiques. Cependant, la plupart des journalistes ont refusé de les publier, les jugeant indignes d'intérêt et sentant le coup monté. L'objectif de cette campagne était de détruire la réputation de Martin Luther King Jr., perçu par J. Edgar Hoover comme une menace pour la sécurité intérieure des États-Unis. Bien que cette campagne ait échoué à briser sa détermination ou à le pousser au suicide, elle est considérée comme l'un des chapitres les plus sombres de l'histoire du FBI et de sa guerre secrète contre le mouvement des droits civiques des Noirs Américains.
Chers lecteurs, regardez, observez et analysez ce qui se passe au Gabon en ce moment, et notez les signatures du modus operandi des services de renseignements.
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