THE ENEMIES OF GABON ARE THOSE WHO CULTIVATE PANEGYRISM! LES ENNEMIS DU GABON SONT CEUX QUI CULTIVENT LE PANÉGYRISME!
Panegyrics, defined
as the excessive and often servile praise of a person, will never advance a
country or a society. Praise without reservation or criticism is a major
obstacle to progress because it stifles analysis and debate.
When panegyrics
reign, any dissenting voice is perceived as a lack of loyalty or an attack.
This prevents citizens from raising issues, proposing alternative solutions,
and holding their leaders accountable. Without constructive criticism, it is
impossible to identify mistakes and make the necessary corrections.
Panegyrics distort
reality by presenting an idealized and false image. Successes are amplified,
while failures and challenges are minimized or ignored. This illusion of
perfection prevents the recognition of shortcomings and the work needed to
address them.
Right now in Gabon,
dear readers, we are in a state of panegyrics. The debt continues to rise
dangerously, but the only person who insists on talking about it is Albert Ondo
Ossa. Even the Director of Debt offers his opinion on everything except on what
he is paid to do, which is manage our national debt.
The constant and
irrational praise of C'BON's existing methods and policies distracts people
from innovation and change. Why change a formula that is already presented as
being perfect? This atmosphere leads to stagnation and an inability to adapt to
an ever-evolving world.
Since C'BON is
constantly praised, the pressure on him to improve is nonexistent. Complacency
sets in, and with it, negligence and inefficiency.
Dear readers, the
progress of a nation or a society rests on the ability to self-evaluate, accept
criticism, and constantly seek improvement. Panegyrics are the exact opposite
of this approach. It is a poison that paralyzes development and stifles innovation.
How should we react
to the ologuists who only offer panegyrics around us?
It is important to
differentiate between legitimate support and panegyrics. A person who supports
C'BON can acknowledge his qualities while still being able to express
constructive criticism. Adulation, on the other hand, is blind praise that
ignores flaws. To these people, we must present reality and facts. This
approach can lead them to think for themselves.
For example: instead
of telling them "That's not true, he's made many mistakes," ask them:
"What is your opinion on the uncontrolled demolitions carried out by
C'BON? How do you think that was handled?" Let them elaborate on their answers;
you will find that they will get tangled in the carpet of their own illogic.
Instead of saying
"He's not perfect," ask them: "What do you think are the areas
where he could improve?"
Panegyrics often feed
on emotions and fables rather than concrete facts. You can counter this by
relying on verifiable information from reliable sources.
If the ologuists
praise a supposedly flawless economic policy, you could mention data on
unemployment or national debt. The idea is to reintroduce rationality into a
conversation dominated by emotion.
Dear readers, it's
important to acknowledge that sometimes, a constructive discussion is not
possible. If the person refuses to consider facts, gets angry, or simply
repeats slogans, it's best not to insist. Continuing the discussion would only
reinforce their position. In this case, it is wiser to end the conversation
while remaining calm and respectful.
Dear readers, the
goal of this blog is to pull Gabon out of the pervasive PDGism into which C'BON
is pushing us. We believe in a modern Gabon, with a population worthy of the
21st century, not people who run after and praise those who are impoverishing them
materially, intellectually, and socially.
Version française
Le panégyrisme, défini comme l'éloge excessif et souvent servile d'une
personne, ne fera jamais progresser un pays ou une société. L'éloge sans
réserve et sans critique est un obstacle majeur au progrès, car il étouffe
l'analyse et le débat.
Lorsque le panégyrisme règne, toute voix discordante est perçue comme un
manque de loyauté ou une attaque. Cela empêche les citoyens de soulever des
problèmes, de proposer des solutions alternatives et de tenir leurs dirigeants
responsables. Sans critique constructive, il est impossible d'identifier les
erreurs et d'apporter les corrections nécessaires.
Le panégyrisme déforme la réalité en présentant une image idéalisée et
fausse. Les succès sont amplifiés, tandis que les échecs et les défis sont
minimisés ou ignorés. Cette illusion de perfection empêche de reconnaître les
lacunes et de travailler à les combler.
En ce moment au Gabon, chers lecteurs, nous sommes dans une situation de
panégyrisme. La dette continue d’augmenter dangereusement, mais le seul qui en
parle avec insistance est Albert Ondo Ossa. Même le Directeur de la dette donne
son avis sur tout, sauf sur ce dont il est payé pour s’occuper, c’est-à-dire
notre dette nationale.
L'éloge constant et irrationnel des méthodes et des politiques existantes
de C’BON détourne les gens de l'innovation et du changement. Pourquoi changer
une formule qui est déjà présentée comme étant parfaite ? Cette ambiance mène à
la stagnation et à l'incapacité de s'adapter à un monde en constante évolution.
Puisque C’BON est constamment loué, la pression mise sur lui pour
s'améliorer est inexistante. La complaisance s'installe, et avec elle, la
négligence et l'inefficacité.
Chers lecteurs, le progrès d'une nation ou d'une société repose sur la
capacité à s'auto-évaluer, à accepter la critique et à rechercher constamment
l'amélioration. Le panégyrisme est l'exact contraire de cette approche. C'est
un poison qui paralyse le développement et étouffe l'innovation.
Comment devons-nous réagir face aux ologuistes qui ne font que du
panégyrisme autour de nous ?
Il est important de faire la différence entre un soutien légitime et le
panégyrisme. Une personne qui soutient C’BON peut reconnaître ses qualités tout
en étant capable d'exprimer des critiques constructives. L'adulation, en
revanche, est un éloge aveugle qui ignore les défauts. À ces gens, nous devons
opposer la réalité et les faits. Cette approche peut les amener à réfléchir par
eux-mêmes.
Par exemple : au lieu de leur dire "Ce n'est pas vrai, il a fait de
nombreuses erreurs", demandez-leur plutôt : "Quelle est votre opinion
sur les démolitions sauvages perpétrées par C’BON ? Comment pensez-vous que
cela a été géré ?" Laissez-les développer leurs réponses ; vous
constaterez qu’ils vont s'embourber dans leurs propres illogismes.
Au lieu de dire "Il n'est pas parfait", demandez-leur :
"Quels sont, selon vous, les domaines où il pourrait s'améliorer ?"
Le panégyrisme se nourrit souvent d'émotions et de fables plutôt que de
faits concrets. Vous pouvez contrer cela en vous appuyant sur des informations
vérifiables, issues de sources fiables.
Si les ologuistes font l'éloge d'une politique économique supposée sans
faille, vous pourriez mentionner des données sur le chômage ou la dette
nationale. L'idée est de réintroduire la rationalité dans une conversation
dominée par l'émotion.
Chers lecteurs, il faut reconnaître que parfois, il n'est pas possible
d'avoir une discussion constructive. Si la personne refuse de considérer des
faits, se met en colère ou se contente de répéter des slogans, il est
préférable de ne pas insister. Poursuivre la discussion ne ferait que renforcer
leur position. Dans ce cas, il est plus sage de mettre fin à la conversation en
restant calme et respectueux.
Chers lecteurs, l'objectif de ce blog est de sortir le Gabon du PDGisme
ambiant dans lequel C’BON est en train de nous enfoncer. Nous croyons en un
Gabon moderne, avec une population digne du 21e siècle et non des gens qui
courent derrière ceux qui les appauvrissent matériellement, intellectuellement
et socialement, tout en les encensant.
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