AFTER INEXPLICABLY FREEING THEM, THEY NOW CLAIM TO WANT TO PUT THEM ON TRIAL. C’BON IS IN FULL MELTDOWN! APRÈS LES AVOIR INEXPLICABLEMENT LIBÉRÉS, ILS PRÉTENDENT DÉSORMAIS VOULOIR LES JUGER. C’BON EST EN PLEINE DÉBANDADE !

 

English version

 

Dear readers,

 

You may recall that Diddy, whose real name is Sean Combs, the famous American impresario, was accused by a former partner of sex trafficking and exploitation and racketeering. Immediately, American authorities conducted raids on Diddy's residences and arrested and incarcerated him.

 

Following the trial that just took place in the USA, Diddy was found not guilty of sex trafficking and racketeering, but he was declared guilty of "transporting individuals for the purpose of prostitution." This charge carries a potential prison sentence of up to 20 years. Diddy's request for bail was rejected, and he remains in custody while awaiting the court to set his sentence for the crime he was convicted of.

 

Dear readers, this is how true justice should work. Individuals considered dangerous are investigated, then arrested, before appearing before the courts to determine their fate before the law.

 

Conversely, in Gabon, we saw the transitional regime arrest the Bongo-Valentins by presenting serious charges. The same C'BON, in an interview with a French television channel, had affirmed that Gabonese magistrates held all the evidence of the Bongo-Valentins' guilt. Then, dramatically, the Angolan presidency's Facebook page informed us, in the middle of the night, that the Bongo-Valentins had been exfiltrated from Gabon to Angola.

 

A Gabonese prosecutor then appeared on state television to announce that this release was of a humanitarian and medical nature and that, after treatment, the Bongo-Valentins would return home to be judged.

 

However, we observe that once released, the Bongo-Valentins have instead gone on the offensive and are making sensational revelations that are shaking the C'BON regime to its foundations.

 

In response, seemingly to buy time and no longer knowing what to invent, the C'BON regime laconically announced that the Bongo-Valentins will be judged in November 2025. This will certainly be in absentia, as any sensible person knows that they will not return to Gabon as long as things remain as they are.

 

Dear readers, when you have a judicial system made up of junk, this is what you get!

 

 

 

 

 

Version française

 

Chers lecteurs,

 

Il vous souviendra que Diddy, de son vrai nom Sean Combs, le célèbre impresario américain, a été accusé par une ancienne compagne de trafic et exploitation sexuels et d'association de malfaiteurs. Immédiatement, les autorités américaines ont mené des perquisitions dans les domiciles de Diddy et l'ont arrêté et incarcéré.

 

Suite au procès qui vient de se dérouler aux États-Unis, Diddy a été reconnu non coupable de trafic sexuel et d'association de malfaiteurs, mais il a été déclaré coupable de "transport de personnes à des fins de prostitution". Ce chef d'accusation est passible d'une peine de prison pouvant aller jusqu'à 20 ans. La demande de libération conditionnelle de Diddy a été rejetée, et il demeure en détention en attendant que le tribunal fixe sa peine pour le crime dont il a été reconnu coupable.

 

Chers lecteurs, voici comment une vraie justice devrait fonctionner. Les personnes considérées comme dangereuses sont investiguées, puis arrêtées, avant de comparaître devant les tribunaux afin de déterminer leur sort devant la justice.

 

À l'inverse, au Gabon, nous avons vu le régime de transition faire arrêter les Bongo-Valentin en avançant de graves chefs d'accusation. Le même C'BO", dans une interview à une chaîne de télévision française, avait affirmé que les magistrats gabonais détenaient toutes les preuves de la culpabilité des Bongo-Valentin. Puis, coup de théâtre, la page Facebook de la présidence de l'Angola nous apprenait, en plein milieu de la nuit, que les Bongo-Valentin avaient été exfiltrés du Gabon vers l'Angola.

 

Un procureur gabonais est ensuite passé à la télévision d'État pour nous annoncer que cette libération était d'ordre humanitaire et médical et qu'après traitements, les Bongo-Valentin rentreraient au bercail pour être jugés.

 

Mais nous observons qu'une fois libérés, les Bongo-Valentin sont plutôt passés à l'offensive et font des révélations fracassantes qui ébranlent le régime C'BON dans ses fondements.

 

Pour toute réponse, comme pour gagner du temps et ne sachant plus quoi inventer, le régime C'BON annonce laconiquement que les Bongo-Valentin seront jugés en novembre 2025. Ce sera certainement par contumace, car toute personne sensée sait que ces derniers ne rentreront plus au Gabon tant que les choses resteront en l'état.

 

Chers lecteurs, quand on a un système judiciaire fait de bric et de broc, voilà ce que ça donne !