FRANÇOIS MITTERAND SAID: "IT IS ONLY FOOLS WHO INAUGURATE CHRYSANTHEMUMS!» FRANÇOIS MITTERAND DISAIT : « IL N’Y A QUE LES IMBÉCILES QUI INAUGURENT LES CHRYSANTHEMES ! »

 


 

 

 

English version

 

François Mitterrand undeniably embodied a certain presidential majesty in France, cultivating an image of a visionary and cultured leader, disdainful of superficialities, and deeply invested in the historical destiny of his country. He believed that the president should only dedicate their time to very important matters. It was he who famously retorted when offered to inaugurate a building of little importance: "Only fools inaugurate chrysanthemums."

 

This phrase by François Mitterrand is often quoted to illustrate his vision of the presidential function, which he wanted to be above trivial activities. The spirit of this statement is aligned with Mitterrand's conception of the head of state's role: to focus on major strategic directions, significant national challenges, and fundamental reforms, rather than on events of minor symbolic importance. François Mitterrand is indeed known for his disinterest, even annoyance, with inaugurations of little consequence. "Chrysanthemums" here serve as a metaphor for "small things" or inaugurations without significant impact.

 

This quote perfectly captures the essence of his vision for the presidential office. The idea behind this quip is that the role of a head of state should not involve engaging in purely symbolic and ceremonial activities, such as inaugurating events or places of minor significance, which are sometimes perceived as a waste of time or a dilution of authority. By making this remark, Mitterrand intended to emphasize that the President of the Republic must concentrate on major strategic directions, significant challenges, and fundamental reforms for the country, leaving more anecdotal tasks to other levels of power (ministers, local elected officials, etc.).

 

The presidential function, from this perspective, aims to rise above daily details to dedicate itself to the long-term vision and essential affairs of the State. It is not merely a simple administration, but the embodiment of the Nation, a sacred role that should be above the fray, a guarantor of institutions and the country's long-term vision. Presidential time should be devoted to "grand matters": foreign policy, institutional reforms, major projects, etc.

 

Unfortunately, C'BON is not a great reader, a man of culture. He is rather a very ordinary person, without a long historical perspective, but instead susceptible to the immediacy of fleeting concerns. C'BON is not a thoughtful, strategic, and distant President; he is a disorganized and messy man who loves superficialities and the mundane.

  

 

 

Version française

 

François Mitterrand a incontestablement incarné en France une certaine majesté présidentielle, cultivant une image de leader visionnaire et cultivé, dédaigneux des superficialités et profondément investi dans le destin historique de son pays. Il pensait que le président ne devait consacrer son temps qu'à des choses très importantes. C'est lui qui aurait fameusement répliqué, alors qu'on lui proposait d'aller inaugurer un bâtiment de peu d'importance : "Il n'y a que les imbéciles qui inaugurent les chrysanthèmes."

 

Cette phrase de François Mitterrand est souvent citée pour illustrer sa vision de la fonction présidentielle, qu'il voulait au-dessus des activités jugées triviales. L'esprit de cette déclaration s'inscrit dans la conception qu'avait Mitterrand du rôle du chef de l'État : se concentrer sur les grandes orientations stratégiques, les défis majeurs pour le pays, et les réformes de fond, plutôt que sur des événements de faible importance symbolique. François Mitterrand est effectivement connu pour son désintérêt, voire son agacement, pour les inaugurations de peu d'importance. Les "chrysanthèmes" sont ici une métaphore des "petites choses" ou des inaugurations sans portée significative.

 

Cette citation illustre parfaitement l'esprit de sa vision de la fonction présidentielle. L'idée derrière cette boutade est que le rôle d'un chef d'État ne devrait pas être de se livrer à des activités symboliques et de pure forme, comme l'inauguration d'événements ou de lieux de faible portée, qui sont parfois perçues comme une perte de temps ou une dilution de l'autorité. En faisant cette remarque, Mitterrand voulait souligner que le Président de la République doit se concentrer sur les grandes orientations stratégiques, les défis majeurs et les réformes de fond pour le pays, et laisser les tâches plus anecdotiques à d'autres niveaux de pouvoir (ministres, élus locaux, etc.).

 

La fonction présidentielle, selon cette perspective, se veut au-dessus des détails du quotidien pour se consacrer à la vision à long terme et aux affaires essentielles de l'État. Elle n'est pas qu'une simple administration, mais est l'incarnation de la Nation, un rôle sacralisé qui devrait être au-dessus de la mêlée, garant des institutions et de la vision à long terme du pays. Le temps présidentiel devrait être consacré aux "grandes choses" : la politique étrangère, les réformes institutionnelles, les grands projets, etc.

 

Malheureusement, C'BON n'est pas un grand lecteur, un homme de culture. Il est plutôt quelqu'un de très banal, sans perspective historique longue, mais sensible à l'immédiateté des préoccupations éphémères. C'BON n'est pas un Président réfléchi, stratège et distant ; c'est un homme brouillon et désordonné qui adore les superficialités et le terre-à-terre.

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