EVEN THE MOST SERIOUS CRIMINALS HAVE THE RIGHT TO A FAIR TRIAL! MÊME LES PLUS GRANDS CRIMINELS ONT DROIT À UN PROCÈS JUSTE ET ÉQUITABLE!

 


 

English version

 

For a few days now a video has appeared on social media that seems to indicate that the charges the C’BON’s regime had levelled upon the Bongo-Valentins were trumped up and fabricated, and more damaging that the Gabonese judicial system was deliberately used to level these charges and detain the Bongo-Valentins. The problem is that instead of having the Bongo-Valentins stand trial, C’BON released them in secret and had them leave the country.

 

Dear readers, it is because of the charges made in that video that he was important for C’BON to have the Bongo-Valentins stand trial. The principle that even the worst dictators deserve a fair trial and real justice is upheld by international law.

 

The Bongo-Valentins needed to stand trial to truly demonstrate that no one was above the law, and that the legal process itself was just, in Gabon. Denying a fair trial to the Bongo-Valentins has in fact undermined the very principles of justice and due process.

 

For the accusations against the Bongo-Valentins to be recognized and accepted by the preponderance of the Gabonese people, and for them to set precedents for future accountability, a fair and impartial trial should have occurred. This fair trial should have allowed for the systematic presentation of evidence, witness testimony, and legal arguments, which should have contributed to a comprehensive historical record of the atrocities committed by the Bongo-Valentins. This process was crucial for victims, for national healing, and for preventing future crimes by future leaders.

 

The application of fair trial principles to the Bongo-Valentins would have sent a message that impunity will no longer be tolerated in Gabon.

 

Dear readers, the purpose of a justice system is not merely to punish, but to ensure that punishment is proportionate to the crime and based on established legal procedures, rather than vengeance or political expediency.

 

Dear readers, this is why the recent revelations are so important for us to reevaluate C’BON legitimacy. Was C’BON afraid of a trial? Was he scared of what the Bongo-Valentins could have divulged?

 

 

 

 

 

 

 

Version française

 

Depuis quelques jours, une vidéo a fait son apparition sur les réseaux sociaux, semblant indiquer que les accusations portées par le régime de C'BON contre les Bongo-Valentin étaient montées de toutes pièces et fabriquées. Plus grave encore, elle suggère que le système judiciaire gabonais a été délibérément instrumentalisé pour formuler ces accusations et détenir les Bongo-Valentin. Le problème est qu'au lieu de faire comparaître les Bongo-Valentin devant un tribunal, C'BON les a libérés en secret et leurs a fait quitter le pays.

 

Chers lecteurs, c'est précisément à cause des accusations formulées dans cette vidéo qu'il était important pour C'BON de faire juger les Bongo-Valentin. Le principe selon lequel même les pires dictateurs ont droit à un procès équitable et à une véritable justice est d'ailleurs reconnu par le droit international.

 

Les Bongo-Valentin devaient être jugés pour démontrer véritablement que personne n'était au-dessus des lois et que le processus judiciaire lui-même était juste, au Gabon. Refuser un procès équitable aux Bongo-Valentin a en fait sapé les principes mêmes de justice et de procédure régulière.

 

Pour que les accusations contre les Bongo-Valentin soient reconnues et acceptées par la majorité du peuple gabonais, et pour qu'elles créent des précédents pour la reddition de comptes future, un procès juste et impartial aurait dû avoir lieu. Ce procès équitable aurait dû permettre la présentation systématique des preuves, des témoignages et des arguments juridiques, ce qui aurait contribué à établir un historique complet des atrocités commises par les Bongo-Valentin. Ce processus était crucial pour les victimes, pour la guérison nationale et pour prévenir de futurs crimes par de futurs dirigeants.

 

L'application des principes d'un procès équitable aux Bongo-Valentin aurait envoyé le message que l'impunité ne sera plus tolérée au Gabon.

 

Chers lecteurs, le but d'un système judiciaire n'est pas simplement de punir, mais de s'assurer que la punition est proportionnée au crime et basée sur des procédures légales établies, plutôt que sur la vengeance ou l'opportunisme politique.

 

Chers lecteurs, c'est pourquoi les récentes révélations sont si importantes pour que nous réévaluions la légitimité de C'BON. C'BON avait-il peur d'un procès ? Craignait-il ce que les Bongo-Valentin auraient pu divulguer ?

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